mardi 10 octobre 2017

KATE UPTON : PROVOCANTE !


S'il faut en croire la Bible (Genèse 3,7), après que Adam et Ève eurent croqué le fruit défendu, leurs yeux s'ouvrirent et «ils connurent qu'ils étaient nus»...  Les conséquences de cette désobéissance au Dieu Tout-Puissant furent terribles.  Le mal prit en effet sa place au côté du bien et le premier couple humain fut chassé du Jardin d'Éden.  L'avènement du "mal" entraîna à son tour la nécessité de déterminer en quoi il consiste, c'est-à-dire, à le juger.  Et au "bras" de la Justice s'ajouta aussi la censure, une arme pour combattre le mal au nom de la morale ou du respect des bonnes moeurs...  Nous en sommes toujours là aujourd'hui.  Par exemple, on se demande toujours où il faut tracer la ligne qui sépare l'indécence de la décence.  Jusqu'à quel point peut-on exposer le corps humain en public ou dans les mass-médias ?


Oublions la genèse pour nous intéresser davantage à l'histoire plus récente.  Cette fameuse question concernant le "scandale" de la nudité "affichée" s'est posée avec encore plus d'acuité avec l'invention de la photographie et du cinéma.  Certes, dans les siècles précédents, les peintres du nu avaient eu maille à partir avec les autorités religieuses, mais, il y a une centaine d'années, en rendant possible une plus large diffusion d'images montrant des humains dans leur plus simple appareil, on a créé ce qui s'appelle aujourd'hui la pornographie.  Un genre d'obscénité qui n'a pas cessé de rejoindre de plus en plus de gens, surtout avec l'arrivée du phénomène de l'internet.


À partir des années folles (1920), la mode, plus audacieuse et poussée à l'avant-plan sur les grands écrans, a joué un rôle non négligeable pour enflammer l'imagination ou la libido des spectateurs présents dans les salles de cinéma.  Les nouvelles starlettes créées par le 7e art ont attisé le désir des cinéphiles en dévoilant de plus en plus leur corps.  Transformés parfois en voyeurs, ces amateurs de films "osés" ne rêvaient plus qu'à une chose : voir ces vedettes sexy et provocantes enlever tous leurs vêtements !  Leurs souhaits furent exaucés quand les premiers films "porno" furent projetés sur les écrans.  Mais la censure ne tarda pas à s'interposer...



Celle-ci aura à se pencher un peu plus tard sur un nouveau genre d'exhibitionnisme qui, selon certaines sources d'information, tire son origine du Festival espagnol LA TOMATINA.  Dans les années 1940, au cours de cet évènement annuel durant lequel les participants s'amusent à se lancer des tomates, on remarqua que le jus de ces dernières détrempait les vêtements et mettait en "relief" les attributs féminins des festivalières...

Cette hypothèse sur les origines historiques de la pratique du "gilet mouillé" (puisque c'est de ce sujet dont nous traitons ici), me semble pas mal "tirée par les cheveux".  Il est plus plausible que cette innovation ait été inspirée par l'impressionnante performance de Jacqueline Bisset, (photo ci-dessous) dans le film THE DEEP (1977).  Plusieurs scènes de ce long métrage montre l'actrice française nager sous l'eau avec un simple t-shirt.  L'effet "moulant" de l'eau sur la poitrine de Bisset a crevé le grand écran !



À peu près à la même époque, à Palm Beach (Californie), des concours de gilets mouillés commencent à agrémenter les soirées de la clientèle de certains restaurants et de quelques bars locaux.  Rapidement, des compétitions de plus importante ampleur sont organisées dans cet état avant-gardiste des USA.  Ce genre d'activités est taillé sur mesures pour les étudiants en mal de sensations fortes ! 

C'est pourquoi les filles sexy des collèges et des universités américaines vont être de plus en plus nombreuses à concourir dans ce genre "d'épreuves", soit pour satisfaire leur goût pour l'exhibitionnisme, soit pour le "fun" de relever un défi entre ami(e)s, soit pour participer à une activité de groupe dans le but de mieux s'intégrer à celui-ci.

Plaire aux garçons et les séduire sont également de bonnes raisons de faire preuve d'audace et d'impudeur en ces occasions spéciales !  La période du congé d'études printanier (spring break) est tout indiquée pour se laisser aller à ces "jeux érotiques"...  Les lieux de prédilection pour ces folies de jeunesse se situent surtout en Floride et au Mexique (Cancun).


KATE  UPTON
Une grande excitation entoure ces tournois de "wet t-shirts" au cours desquels les participantes se déhanchent, dansent, se secouent la poitrine et le popotin, ou adoptent des poses ultra-sexy.  Les candidates revêtent un t-shirt ou une camisole parfois découpée et resserrée autour du buste.  Des jeunes hommes les arrosent ensuite avec des boyaux ou des pichets contenant de l'eau.  Les plus "malins" choisiront de l'eau plutôt froide car elle a pour effet de faire dresser les seins (les mamelons, tout particulièrement) des concurrentes.  La gagnante du concours sera sélectionnée par l'assistance ou des juges.

Selon la sévérité ou le libéralisme des lois en vigueur dans l'état ou la localité où se déroulent ces spectacles, les jeunes femmes détrempées pourront enlever oui ou non leur gilet en public.  Tout dépend aussi de l'âge des concurrentes.  Des cas de filles d'âge mineur se dénudant dans ce genre de concours, ont provoqué la tenue de procès retentissants, aux États-Unis.



Au cours des dernières décennies, quand des femmes mannequins et des vedettes féminines très sexy ont voulu vraiment se démarquer, sans pourtant braver les règlements interdisant la nudité, elles ont parfois eu recours au "subterfuge" ou à l'artifice du "gilet mouillé".  Belle façon d'attirer sur elles les projecteurs et d'émoustiller leurs admirateurs.  Pour ces derniers, c'était un compromis entre leur désir de les voir nues et le plaisir de les observer quand elles portent le bikini...

Parmi ces "pin-up girls" qui ont fait les délices des amateurs de wet t-shirts, notons, entre autres, les noms suivants : Claudia Schiffer, Kylie Minogue, Alice Eve (ci-dessus dans SEX IN THE CITY), Nathalie Cardone, Sophie Marceau, Cindy Crawford, Britney Spears, Alicia Machado, Vida Guerra, Estella Warren, Stephanie Seymour et, plus récemment, la ravissante Kate Upton (photo sous le titre).  Oh !  J'allais oublier l'affriolante cyber girl de PLAYBOY, Kaya Danielle (ci-dessous) !



Attardons-nous sur le cas de Kate Upton, elle en vaut le coup !  C'est une américaine de 25 ans, née à St-Joseph au Michigan, qui, grâce à son corps de déesse, a fait une entrée fracassante dans le monde de la mode et dans les revues masculines.  Après seulement deux ans de carrière, elle a déjà atteint les premières places des palmarès des femmes les plus sexy de la planète.  Elle s'est particulièrement distinguée en posant en bikini pour la revue SPORTS ILLUSTRATED ainsi que dans le magazine GQ.  Les vidéos la mettant en vedette, notamment sur YouTube, ont suscité l'intérêt de plusieurs centaines de milliers d'internautes.  Ses prestations sexy sur diverses scènes de l'industrie du divertissement ont souvent soulevé des controverses et elles ont aussi fait tiquer la censure et l'Église catholique.  Plus de 370 000 admirateurs suivent la splendide Kate sur twitter.



Kate Upton explique sa popularité par le style de vie qu'elle mène depuis l'adolescence.  Elle a grandi en Floride en excellant dans le sport de l'équitation.  Superbe cavalière, elle a remporté plusieurs compétitions équestres.  Et son "look" à tout casser, combiné à son sport et au soleil de la Floride, a fait tourner bien des têtes, spécialement celles de la gent masculine...  «Toute ma vie j'ai été soit en jeans ou en costume de bain», dit-elle pour expliquer comment on a pu remarquer d'emblée ses formes sculpturales.

Pour Kate Upton, il n'y a rien de bien compliqué dans la vie, du moins en ce qui concerne la réussite dans son métier.  «C'est comme dans n'importe quel domaine.  Vous trouvez vos forces et vous les employez au maximum.»  Et à la contempler dans son gilet mouillé, on devine immédiatement quels sont ses principaux atouts !  Ça crève les yeux !  Voir autre article avec photos et diaporama sur mon site STARS ON BEACH : http://starsonbeach.blogspot.ca/2014/08/kate-upton-ultimate-beach-babe.html


dimanche 17 septembre 2017

LES BELLES DE L'OKTOBERFEST S'ÉCLATENT !


Parmi les substances liquides les plus importantes en ce bas monde, il y a bien sûr l'eau, source de vie, qui recouvre 75% de la terre. Il y a le pétrole, aussi surnommé l'or noir, source d'énergie -et de pollution- dont les humains sont trop dépendants. Et il y a la BIÈRE ! 

La bière de Munich et de l'OKTOBERFEST.  Cette fête de la bière allemande, qui a commencé hier et se poursuivra jusqu'au 3 octobre. 

C'est le plus festival populaire au monde.  Il est célébrée depuis plus de 200 ans. 

Entre six et sept millions de visiteurs participeront à ces réjouissances et ils ingurgiteront plus de six millions de litres de la populaire boisson alcoolisée.



Chaque année, des touristes viennent de partout afin de goûter à ce que bien des hommes définissent comme le bonheur parfait : boire de la bonne bière, entourés par de jolies femmes, au rythme d'une musique entraînante. 

En effet, que demandez de plus ? Les Italiens, les Américains sont au rendez-vous en grand nombre, tout comme les Japonais et les Australiens. Une fois au coeur de la fête foraine, ils oublient tous leurs soucis et c'est la belle vie ! On mange du poulet rôti (annuellement, 500 000 poulets sont dévorés à cette occasion) et des bretzels.  On chante, on danse, on joue, on s'amuse ! 

Mais, surtout, on boit de la bière. Parfois trop ! Comme ces 600 ou 700 personnes que l'on doit secourir chaque année parce qu'elles ont sombré dans un coma éthylique...


Il faut dire qu'on les encourage à boire en grandes quantités puisque le minimum que l'on peut commander, comme consommation, c'est la chope de bière d'un litre, que l'on vend tout près de 11 euros l'unité. C'est bougrement cher ! 

Voilà pourquoi l'acheteur tient à ce que la chope contienne bien la quantité vendue. Mais c'est rarement le cas. Plus souvent qu'autrement, il n'y a que 0,9 litre dans chaque verre. On tolère ce manque à gagner. Mais parfois, même ce minimum n'est pas respecté. On peut parler alors de fraude. 

Les propriétaires de brasseries se défendent de gonfler le prix de leurs produits durant l'oktoberfest. Mais en 2010 une bière coûtait 942 % plus cher que la même chope en 1950. À titre de comparaison pour la même période de temps, le prix de l'essence a augmenté de 347 %.


C'est peut-être pour ça que les buveurs de bière cherchent à récupérer une partie de leur argent en volant la chope elle-même. Ces dernières années, on a été obligé d'augmenter le nombre d'agents de sécurité pour contrer ce fléau. Leur nombre s'élève à 650 cette année, mais cette augmentation de 200 gardiens par rapport aux années précédentes s'explique surtout à cause des risques liés aux attentats terroristes.  En 2008, ce personnel, qui fait partie des 12 000 travailleurs engagés par l'oktoberfest, a saisi 200 000 chopes que les visiteurs tentaient de subtiliser.

Mais, en général, les participants à la fête ne regardent pas trop à la dépense. En moyenne ils dépensent chacun 54 euros, pour un total de 830 millions d'euros au bout du compte. Il y a bien des attractions (200 en tout) pour permettre aux gens de se divertir et d'avoir du plaisir. 

Parmi les jeux et les manèges qui sont offerts à la clientèle de type familial, la grande roue de 50 mètres de haut, permet à ceux et celles qui y montent, de voir tous les paysages environnants. Une expérience excitante !


Mais la plus merveilleuse attraction de l'oktoberfest est sans contredit les hôtesses de la fête, c'est-à-dire les Bavaroises dans leur magnifique costume traditionnel. Cette robe à manches bouffantes accompagnée d'un tablier de couleurs vives est faite pour mettre en valeur leurs magnifiques attributs féminins !

Autre texte sur le même sujet dans mon blogue BELLES À CROQUER (http://bellesacroquer.blogspot.com/2011/10/des-bavaroises-de-toutes-les-races-et.html ).

lundi 4 septembre 2017

DES BELLES À CROQUER CÉLÈBRES SE DÉSHABILLENT POUR PETA !


En démocratie, les groupes de pression (que l'on appelle aussi groupes d'intérêts ou d'influence), jouent un rôle important pour orienter les politiciens qui nous gouvernent. Ils sont le reflet des changements sociaux ou de l'évolution de la conscience collective. Ils militent pour les droits humains, leurs intérêts particuliers ou ce qu'ils estiment être primordial pour le bien de notre vie en société.

Ces organismes peuvent être des syndicats, des chambres de commerce, des associations de protection des consommateurs, des corporations professionnelles, des conseils du patronat, des groupes environnementaux ou de défense des droits des animaux comme PETA (People for the Ethical Treatment of Animals).


Cette organisation, fondée en 1980 et dont le quartier général est situé à Norfolk, en Virginie, est reconnue pour ses coups d'éclat et les moyens radicaux qu'elle prend pour se faire connaître et dénoncer la cruauté envers certaines espèces animales. Au nom des deux millions de membres qui la financent par leurs dons, elle vise tous les pouvoirs qui peuvent l'aider à atteindre ses objectifs.

Ses manifestations publiques souvent controversées et choquantes se déroulent presque toujours dans des lieux symboliques ou devant le siège même du pouvoir politique : Maison Blanche à Washington, parlements, palais royaux, etc. Lorsqu'il le faut, PETA ira jusque devant les tribunaux pour faire valoir ses arguments.


Ou cet organisme à but non lucratif persuadera certaines entreprises puissantes de boycotter un fournisseur coupable de cruauté envers les animaux. C'est arrivé en 2002 quand PETA a mis de la pression sur des sociétés internationales comme Nike, Reebok et Chrysler afin qu'ils boycottent le cuir en provenance de l'Inde.

Le groupe de pression en faveur des droits des animaux dénonçait à ce moment-là les conditions effroyables dans lesquelles étaient transportées les bêtes qui étaient plus tard écorchées vives avant que leur peau serve ensuite à faire du cuir.


Afin de sensibiliser le public à leur combat, PETA compte énormément sur les médias et le concours de personnalités connues, comme Pamela Anderson, (les photos sous le titre montre Sheridyn Fisher et -plus bas-Michelle Manhart; Olivia Munn apparaît ci-dessus) mises à contribution pour livrer leurs messages chocs.

Des manifestations retentissantes ou des coups d'éclat, c'est efficace dans la mesure où le plus de monde possible en aura connaissance. Il faut qu'on en parle dans les journaux, les revues, les reportages radiophoniques et télévisés. Sinon tout ce travail d'organisation et de mobilisation risque de se transformer en coups d'épée dans l'eau. 

PETA ne recule devant aucun moyen pour retenir l'attention des médias ou des gens dans la rue. Le résultat est parfois contesté parce qu'il déborde les limites de ce qui est acceptable aux yeux de certains groupes de personnes. L'Église catholique s'est ainsi opposée vivement à l'utilisation de symboles religieux dans la publicité ou les manifs de PETA. Même indignation chez les Juifs quand PETA a comparé la cruauté faite aux animaux aux massacres des Juifs dans les camps de concentration nazis lors de la Seconde Guerre Mondiale.


On peut juger si PETA dépasse les bornes lorsqu'on observe le regard des spectateurs qui croisent les activistes du groupe dans la rue. Quand les gens voient des protestataires nus (presque toujours des femmes), cela peut les indisposer, les gêner, les mettre mal à l'aise, les choquer (surtout quand les témoins du "show" sont accompagnées par des enfants) ou les transformer en voyeurs.

Ce furent probablement les effets produits par la "démonstration" des "nudistes" (photo ci-dessus) protestant contre l'utilisation de la peau des ours pour confectionner les fameux bonnets de fourrure dont se coiffent les gardes de la Reine d'Angleterre.


La réaction de la population a possiblement été encore plus déconcertée dans le cas de cette exposition de deux femmes enceintes, presque complètement dénudées, devant ce restaurant anglais (photo ci-dessus) servant de la viande de porc à ses clients.

Elles voulaient reproduire et dénoncer les conditions dans lesquelles des truies sont confinées avant de donner naissance à leurs porcelets.


On monte d'un autre cran dans ce qui est contestable au point de vue de l'éthique, quand PETA rassemble des activistes non seulement nus mais couverts de peinture ou de teinture pour simuler le sang (comme ci-dessus, en Espagne). Beaucoup de témoins de la scène détourneront leur regard ou condamneront même ce moyen extrémiste de sensibilisation du public.

Il est peut-être préférable pour PETA, afin de ne pas trop rebuter les gens et de faire mieux passer leur message, de soigner davantage leur "mise en scène" et de l'associer à une banderole ou une pancarte qui explique leur point de vue.


Quant à moi, je trouve plus agréable et intelligent l'emploi de l'humour dont fait fréquemment preuve PETA pour atteindre ses cibles auprès du public et des autorités politiques. Les féministes fulmineront certes en voyant des femmes (comme celles photographiées ci-dessus) se faire exploiter "sexuellement" en acceptant un rôle de racoleuse néfaste pour leur image et leur condition d'être humain. 

Au moins, si ces jolies activistes (souvent des mannequins ou des célébrités engagés par PETA ou qui adhèrent aux idées de l'organisation) scandalisent peut-être certaines personnes par un excès de provocation, elles livrent efficacement leur message avec le sourire. Un message et une mise en scène qui sont susceptibles de faire sourire à leur tour les passants dans la rue, à défaut de les faire réfléchir ou de vraiment attirer leur sympathie à la cause de PETA.

mardi 15 août 2017

ADRIANA LIMA LANCE...SON SOUTIEN GORGE !


Je sais, je sais... Mon titre est un peu trop accrocheur. En réalité, le 9 août dernier, dans une boutique du Herald Square à New York, la très sexy top modèle brésilienne Adriana Lima n'a PAS lancé SON soutien gorge à une foule d'admirateurs en délire, au cours d'un "strip tease" improvisé. Désolé messieurs !

Non, la charmante Adriana a simplement participé au lancement d'un nouveau soutien gorge, appelé le SHOWSTOPPER, pour Victoria's Secret, la très réputée compagnie de lingerie féminine américaine. 



Ahhhhh... manque de pot pour les quidams qui auraient souhaité ardemment la voir presque nue, vêtue seulement d'une micro-culotte et du fameux soutien gorge en question. Pour cette présentation spéciale, Lima a plutôt opté pour une robe blanche, tout ce qu'il y a de plus simple, mais une tenue tout de même sublimée par les formes voluptueuses de cette femme de trente ans qui fait toujours fantasmer les hommes qui ont pu la voir à la télé, en photos ou en personne.



Normalement, lors d'une promotion semblable, Victoria's Secret a recours à plusieurs de ses mannequins pour mettre en valeur le nouveau produit. Cette fois-ci, on a jugé que la prestance et l'expertise d'Adriana Lima suffisaient amplement pour dévoiler cette brassière du dernier cri au public de New York. Tenant le sous-vêtement de diverses façons en adoptant des poses qu'elle pratique depuis l'année 2000 avec cet employeur qui la paie des millions de dollars chaque année, l'épouse du joueur de basketball professionnel Marko Jaric, a fait travailler les photographes présents sur place, en plus de faire tourner les têtes des spectateurs qui assistaient au lancement. 



Sourire charmeur, poses et déhanchements sexy, reins bien cambrés ou poitrine bombée, baisers soufflés de la main : la vedette du show a sorti tous ses trucs de magie pour subjuguer l'assistance. Lima a vanté les qualités du nouveau soutien gorge en disant qu'il est "léger, doux, sexy, et invisible, tout en soutenant là où c'est nécessaire". 

Il est vrai cependant, qu'elle en a vu d'autres durant sa carrière. L'an dernier, l'égérie de Victoria's Secret a porté une brassière sertie de 3000 diamants (blancs, saphirs, topazes) dont on a estimé la valeur à deux millions de dollars. Une création de Diamani, qui a jugé que la poitrine de madame Lima représentait le plus magnifique écrin qui puisse exister pour faire briller ses somptueux bijoux.



Les gens qui ont été témoins de la prestation d'Adriana Lima dans la "Big Apple" ont peut-être remarqué qu'elle était bien bronzée, très animée et dans une forme du tonnerre. Ce surplus de vitalité, qui la rend encore plus ravissante, elle le doit à des vacances récentes à Miami ainsi qu'à sa fillette Valentina (photo ci-dessus) âgée de 21 mois, et qui parle déjà trois langues : le serbe de son père, le portugais de sa mère et l'anglais de son pays, les USA. La top modèle n'est pas peu fière de son adorable petit trésor. 


Véritable carte de mode ambulante, Adriana est souvent questionnée sur les créations qu'elle porte. Dernièrement, durant ses vacances, a-t-elle répondu en riant, les grands couturiers de ce monde ne l'ont guère habillée puisqu'elle n'a porté que des bikinis ! Oh ! Un rien l'habille ! Et moins elle est vêtue, plus elle est belle !


Pour en voir et en savoir davantage sur Adriana Lima (notamment pour découvrir ses secrets de beauté), consultez les deux articles que j'ai rédigés il y a quelques mois dans mes blogues PROFESSION : FEMME DE PRO DU SPORT et BELLES À CROQUER. Voici les liens :

http://bellesacroquer.blogspot.com/2010/09/adriana-lima-revele-son-principal.html

http://professionfemmedeprodusport.blogspot.com/2010/09/marko-jaric-sans-defense-contre-adriana.html

LE TOP-10 DES CHEERLEADERS DE NOËL DANS LA NFL ! Elles sont belles à croquer les cheerleaders de la Ligue Nationale de Football (NFL).  Et e...