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samedi 3 mars 2018

SPRING BREAK AMÉRICAIN : LES ÉTUDIANTS S'ÉCLATENT MALGRÉ LE DANGER...


Voici revenu la folle période de la semaine de relâche scolaire. Elle n'a pas la même signification d'un pays à l'autre ou...d'un étudiant à l'autre. Pour certains c'est un temps de repos, de ressourcement, de réflexion. Pour d'autres, c'est une semaine de lecture et de rattrapage dans les travaux scolaires.

Mais pour la majorité des collégiens américains, le "Spring Break" veut dire : vacances au soleil du sud, partys à n'en plus finir, et une foule d'activités permettant de s'amuser, de lâcher son fou, et de se changer les idées. Au diable la discipline et les études ! On n'obéit à rien ni à personne. On vit au rythme de ses fantaisies. On profite de la liberté et de la jeunesse, avec excès et insouciance.

Dans de telles circonstances et avec un état d'esprit semblable, on ne sera pas étonné que les directives ou les avertissements des autorités publiques, concernant d'éventuels dangers du Spring Break, soient pas mal ignorés par les collégiens en goguette.


Ainsi, pour la troisième année consécutive, le Département de la Sécurité Publique du Texas (DSPT) a mis en garde les jeunes de cet état du sud des USA contre les dangers de se rendre au Mexique pour la relâche. Le DSPT faisait spécifiquement référence à la violence engendrée par les activités criminelles des cartels de la drogue dans le pays voisin, situé au sud des États-Unis. On recommandait aux vacanciers étudiants d'éviter particulièrement certains bars et certains clubs de nuit de Cancun, Acapulco, Mazatlan, Cabo San Lucas et Tijuana.

Il y a trois ans, une fusillade avait fait plus d'une demi-douzaine de blessés lors du Spring Break à Panama City.

Évidemment, le département du tourisme mexicain, et les responsables à l'ambassade du Mexique, ont protesté vigoureusement contre ces avis du DSPT. Ils les jugent trop alarmistes et exagérés.

Il faut dire que les agents économiques mexicains tiennent beaucoup à cette clientèle américaine. Elle est payante puisque chaque étudiant dépense en moyenne $ 500 durant son court séjour au Mexique. Il est vrai que certains hôtels ne désirent pas accueillir ces jeunes souvent trop turbulents, qui font du vandalisme ou troublent la quiétude des autres clients.


Mais tout indique que les mises en garde du DSPT n'ont pas été entendues ni respectées. D'après les réservations d'hôtels (dont plusieurs affichaient complet), Cancun était déjà assurée d'être cette année la destination numéro 1 des étudiants pour le Spring Break.

L'an dernier c'est Punta Cana et la République Dominicaine qui avaient obtenu les faveurs des collégiens américains qui ont voyagé en dehors de leur pays, en cette période de relâche. Interrogés à savoir pourquoi ils voulaient passer leurs vacances à Cancun malgré les avertissements de danger à cet endroit, quelques étudiants ont répondu qu'ils avaient mis de l'argent de côté pendant des mois afin de se payer du bon temps là-bas. "Peu importe, ont-ils affirmé, nous aurons du plaisir malgré tout".

Parmi les moyens de se faire du fun, il y a les fameux concours de LA PLUS BELLE FILLE EN BIKINI ou ceux de LA FILLE QUI SECOUE LE MIEUX SON POPOTIN.

jeudi 22 février 2018

DES COLLÉGIENNES BELLES À CROQUER QUI LÂCHENT LEUR FOU DURANT LA RELÂCHE SCOLAIRE !


Les plages choisies par les collégiennes américaines pour y passer leur semaine de relâche sont parfois le théâtre d'excès.  À cette période de leur vie, que l'on peut nommer "adulescence", les complexes et les remises en question de l'adolescence sont choses du passé, et les obligations qui correspondent au monde des adultes n'imposent pas encore leur fardeau. On s'émancipe de l'autorité parentale, on lâche son fou, on vit à cent milles à l'heure au cours de cette courte semaine de liberté printanière. La chaleur de la plage, l'influence du groupe d'amis, et la consommation abusive de boissons alcoolisées aidant, on participe à toutes sortes d'activités, dont plusieurs à connotation sexy. Il suffit d'ailleurs de se promener tout simplement sur les plages pour avoir droit à un spectacle assez "olé olé" avec tous ces corps dénudés livrés au soleil et aux regards indiscrets. Certaines étudiantes en congé n'ont pratiquement rien à cacher lorsqu'elles prennent un bain de soleil... En relâche, on relâche tout !


Cette semaine de pause durant l'année scolaire, appelée aussi semaine d'études ou de lecture, a commencé à devenir une tradition aux États-Unis, après la seconde guerre mondiale. Selon les états ou selon la date de certaines fêtes comme celles de Pâques, le "spring break" américain a lieu en février, mars ou avril. Au début, la grande majorité des étudiants convergeaient vers les plages de la Floride, celles de Fort Lauderdale en particulier, pour oublier le stress des études. C'est un dénommé George Warren "Bob" Gill Jr qui a été le principal instigateur de cette fameuse semaine de "vacances" pour les jeunes des collèges et des universités du pays de l'oncle Sam. Il est reconnu comme le "père" du "spring break" à Fort Lauderdale. En 1935, l'équipe masculine de natation de Colgate University a commencé à se rendre dans cette localité pour s'y entraîner, à ce moment de l'année scolaire. Cette habitude a tracé la voie et a incité d'autres membres d'institutions d'enseignement à l'imiter. Ce qui a eu un effet d'entraînement qui a fait boule de neige (bien qu'il soit curieux de parler de neige dans ce cas !) et qui a attiré de plus en plus de jeunes à Fort Lauderdale lors du congé d'études.


En 1960, Fort Lauderdale s'ancra encore davantage dans sa vocation de capitale du "spring break" grâce au film "WHERE THE BOYS ARE", dont le scénario tourne justement autour de collégiennes qui rencontrent des garçons lors d'une semaine de relâche sur les plages de la station balnéaire floridienne. Mais au fil des années, avec la libération sexuelle et le relâchement des moeurs, les résidents de la place ont commencé à trouver moins drôle les folies des étudiants. Des jeunes bruyants et dérangeants, constamment sur le "party", causant de plus en plus de dommages aux propriétés publiques et privées. En 1985, sous la pression des citoyens, les autorités municipales ont dû mettre en vigueur des lois et des règlements restreignant les "parties" et les célébrations de toutes sortes qui troublaient l'ordre public. C'est également cette année-là que le gouvernement américain a adopté la loi fixant à 21 ans l'âge minimum pour consommer des boissons alcoolisées sur son territoire.


Ces mesures législatives plus sévères ont eu pour conséquence directe de déplacer le "spring break" vers des destinations étrangères plus accueillantes pour les "frasques estudiantines"... Le Mexique, entre autres, est devenu une terre hospitalière pour les jeunes en mal de liberté et de sensations fortes lors de la semaine de relâche... Sur ces nouveaux sites en dehors des USA, ou bien l'âge légal pour se saouler était plus bas, ou bien les lois et les règlements régissant cette norme n'étaient tout simplement pas appliqués... En tout cas, l'effet des restrictions promulguées à Fort Lauderdale a été brutal. Dès 1989, quatre ans après avoir été mises en vigueur, ces contraintes légales avaient fait passer le nombre de visiteurs de 350 000 à 20 000 durant la relâche.


Bref, cette semaine de congé est tout, sauf reposante, pour ces jeunes hommes et ces jeunes femmes qui imaginent toutes sortes de concours et d'activités pour s'amuser ferme. Ça va des concours de bikinis jusqu'aux concours de gilets ou de camisoles mouillés, en passant par le calage de bière ou de spiritueux, le "crush it" (un jeu consistant à crever des ballons sur une autre joueuse à l'aide de son corps, sans utiliser les mains), et les "body shots", cette extravagance qui consiste à boire ou à lécher diverses substances ou boissons directement sur le corps de jolies filles (photo ci-dessus). Une façon littérale de croquer quelques belles !

Le "twerking" (déhanchements et mouvements du bassin ou du popotin) est également une autre manière populaire de dépenser son énergie sur les plages ensoleillées ou lors des super parties du spring break.  Se lancer de la boue ou de la bière fait aussi partie du "plaisir" que l'on peut se donner durant ces vacances scolaires.

Oui, il n'y a pas à dire, on en voit réellement de toutes les couleurs lors de cette incroyable relâche printanière ! Il faut bien que jeunesse se passe, mais, à certains endroits, elle se passe parfois de manière plus spectaculaire qu'ailleurs...

LE TOP-10 DES CHEERLEADERS DE NOËL DANS LA NFL ! Elles sont belles à croquer les cheerleaders de la Ligue Nationale de Football (NFL).  Et e...