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dimanche 23 mai 2021

JORDAN CARVER : UNE TOP MODÈLE PAS COMME LES AUTRES !

Ces dernières années, la profession de mannequin féminin a commencé à changer.  On voit un peu moins de modèles, à peine sortie de l'adolescence, affichant une silhouette super svelte, très maigres, frôlant l'anorexie...

Depuis la dernière décennie, les mouvements féministes ont dénoncé les exigences corporelles abusives et discriminatoires des riches producteurs de l'industrie de la mode, à l'endroit de ces jeunes femmes victimes d'une forme détournée d'exploitation qui les oblige à faire des sacrifices, et à observer une dure discipline, afin de respecter des standards physiques très stricts dont dépend leur emploi et leur carrière.

Peu à peu, petit à petit, les designers accordent des contrats à des mannequins "hors normes", de taille "forte", pour défiler dans leurs parades de mode.  Une mode et des vêtements qui peuvent convenir à la morphologie de beaucoup plus de femmes.  Pas seulement les grandes et minces...

La top modèle allemande Jordan Carver a pu bénéficier de cette évolution des mentalités des créateurs de mode, à ses débuts dans le métier, il y a une douzaine d'années.  Elle a ainsi pu faire son entrée et percer rapidement dans ce milieu pourtant très sélect, qui, selon les standards d'avant, lui aurait été interdit.

Après avoir quitté un emploi de gérante d'hôtel, qui ne l'intéressait plus, Carver s'était déniché une place de maquilleuse dans une agence française oeuvrant dans le domaine de la mode.  Côtoyant des mannequins à la silhouette "taillée au couteau" elle ne songeait même pas à devenir une des leurs.  Elle ne croyait pas avoir le physique de l'emploi.

Jusqu'à ce qu'un photographe, qui travaillait dans les studios de l'agence, la remarque et lui affirme qu'elle avait un excellent potentiel en tant que modèle.  

Remarquez que, lorsqu'on la regarde de dos, cette jolie femme, née Ina-Maria Schnitzer (de son vrai nom), près de Munich, le 30 janvier 1986, semble entrer dans les standards traditionnels du mannequinat : taille fine, petit fessier, longues jambes, ensemble bien proportionné.  Une physionomie semblable à tous les top modèles célèbres.

C'est lorsqu'elle se retourne que la  "différence" saute aux yeux !  Oubliez les filles maigrichonnes, au buste minuscule, qui paradent généralement sur les catwalks.  Jordan Carver arbore une poitrine énorme aux dimensions disproportionnées par rapport à ses autres mensurations (43-24-35 en pouces, ou 109-60-89 en centimètres).

Le plus drôle c'est qu'au début de son adolescence, cette fille, du genre "tomboy", faisait rire d'elle parce qu'elle avait de tout petits seins.  Selon ses propres dires, elle ressemblait à un "petit poulet"...

Cependant, vers l'âge de 14-15 ans, son buste explose !  Mais, considérant que les poitrines plantureuses et volumineuses étaient "courantes" du côté féminin de sa famille, Ina-Maria ne fut pas vraiment surprise de voir se développer autant et si "généreusement" cette partie de son corps.

Rendue à l'âge adulte, la jeune femme allemande, aujourd'hui mère d'un garçon de quatre ans, portait des brassières de grandeur "E".  Mais elle n'était pas encore satisfaite !  C'est alors qu'elle  recours à la chirurgie plastique pour se payer, entre autres interventions, une augmentation mammaire qui nécessitera ensuite des soutiens-gorge de taille HH (ou JJ, selon certaines rumeurs !).

Il va sans dire qu'avec de tels "attributs", Jordan Carver ne passe pas inaperçue !  Les hommes se retournent sur son passage, et les femmes en sont jalouses !  Cet imposant buste deviendra sa "marque de commerce" et la fera également remarquer par les agences de mannequins.  On comprend pourquoi on aura souvent recours à ses services pour des photos en bikini ou en lingerie fine.  

Surprendre, déroger aux canons de beauté habituels, plaît aux gens de l'industrie, ainsi qu'aux agences de publicité (elle est porte-parole pour certaines marques commerciales), aux magazines, et aux médias télévisuels.

Très rapidement, Jordan Carver réalise que son sex-appeal est très "vendeur".  Elle devient sa propre entreprise et apprend comment se mettre en valeur (marketing).

Elle quitte l'Allemagne pour les États-Unis (Californie) pour exploiter ce filon.  Les contrats s'accumulent : Redcom, Zoo magazine, Haute Shop LA, COBRA, ALUFEM, Slitz, Playboy, Bild magazine.

La télé la réclame aussi.  Elle fait de nombreuses apparitions au petit écran, dans des séries comme "Taff", au "WGN Morning News", à TMZ, et dans la télé-réalité "Wild Girl in High Heels Through Africa.

Le grand écran l'appelle également.  Elle tourne dans "Who killed Johnny".  Carver a d'ailleurs de nouvelles ambitions à titre d'actrice même si, présentement, c'est son "rôle" de mère qu'elle préfère et privilégie avant tout.

Elle est discrète en ce qui concerne sa vie amoureuse.  On ne lui connaît que des relations éphémères et elle refuse de révéler l'identité du père de son enfant.  Elle dément les rumeurs voulant qu'elle soit lesbienne.  Si elle n'a pas d'homme dans sa vie, du moins pour l'instant, c'est à cause de son métier, de sa réputation de sex-symbol, et parce que, selon ses dires, aucun conjoint ne supporterait de voir tous ces mille prétendants qui lui tournent sans cesse autour...

Elle connaît des hauts et des bas en début de carrière, mais cette travailleuse acharnée, au fort caractère, fait preuve de persévérance et capitalise sur une habile utilisation des réseaux sociaux.  Une stratégie qui lui rapportera gros.

Dès 2010-2011, Carver crée son propre site internet, qui sera suivi par l'élaboration de sa page Facebook (près de six millions d'abonnés maintenant), avant de se retrouver sur Instagram (deux millions de fans actuellement) et de faire de nombreuses publications sur Twitter (200 000 followers).

Ajouter à cela sa chaîne sur YouTube (JordanCarverTV) et vous comprendrez qu'on peut voir cette multi-talentueuse femme d'affaires partout, y compris dans des vidéos de yoga où on peut l'admirer en gourou du fitness et de la saine alimentation...  Deux éléments de bon ton et très à la mode chez les célébrités soucieuses de leur image de marque...

Pour augmenter son "exposition", attirer l'attention, et faire parler d'elle, Jordan Carver ne déteste pas la controverse.  Elle la recherche même.  C'est une autre façon de se démarquer et de réussir dans l'exigeant milieu du showbizz où les artistes qui échouent sont bien plus nombreux que ceux qui deviennent des stars.  Sa fortune personnelle, estimée à deux millions de dollars, prouve que son plan d'affaires est payant et couronné de succès.

Ce succès n'est pas uniquement attribuable à son physique "remarquable".  Elle le doit avant tout à sa personnalité et à ses origines.

L'arbre généalogique de Jordan Carver plonge ses racines non seulement en sol allemand mais également en territoire italien.  De ses ancêtres italiens elle pense avoir hérité son tempérament passionné et son goût pour "l'amore".

D'autre part, si elle est ponctuelle, ordonnée, et sait précisément et décidément ce qu'elle veut, elle le doit au caractère particulier de sa Bavière natale.  Jordan trouve que cette "mixité" la sert bien, tout comme la bonne génétique de ses parents.

Elle s'estime chanceuse d'avoir une bonne dose de ce sang chaud, typiquement italien, et, par ricochet, elle écorche un peu ses consoeurs allemandes qu'elle décrit comme étant froides, inexpressives, coincées, et ni belles, ni sexy !  Elle semble avoir une meilleure opinion de son pays d'adoption, les États-Unis d'Amérique...

Voici quelques "looks accrocheurs" de l'irrésistible top modèle Jordan Carver !


 

samedi 4 juin 2011

ALICIA MACHADO A BIEN PRIS SA REVANCHE SUR DONALD TRUMP...


Les réseaux sociaux, les Face Book et Twitter de ce monde, ont pris une importance démesurée ces dernières années. Un grand nombre de personnes semblent vouloir jouer à la vedette ou cherchent "à se tirer du grand" en étalant les détails de leur vie privée devant une foule "d'amis(es)" qu'ils ne connaissent pratiquement pas. Souvent, certaines révélations peuvent avoir des conséquences insoupçonnées. Votre employeur, par exemple, pourra vous congédier à cause d'une remarque désobligeante à son égard. Remarque que vous avez exprimée sur votre réseau d'amis, sans penser que votre patron pourrait en être informée. On en est venu à ignorer de précieux et sages adages comme : «La parole est d'argent, mais le silence est d'or». Ou bien : «Les paroles s'envolent mais les écrits restent».


Les vraies vedettes qui écrivent sur de tels réseaux dans le but d'accroître davantage leur popularité, ou parce que "les autres le font", peuvent encore moins écrire n'importe quoi. Prenez l'exemple de l'actrice, chanteuse, mannequin et "playmate" vénézuélienne Alicia Machado (photo ci-dessus). En "twittant" ou en gazouillant, elle a exprimé le souhait que les deux Chines fassent la paix. Tout le monde a compris qu'elle aurait plutôt dû parler des deux Corées. On ne lui a pas pardonné son erreur et l'ex-Miss Univers 1996 a été abreuvée d'insultes et de commentaires méchants. "Dinde", "conne", "ignorante", tous les mots blessants ont été employés pour la condamner. Tellement que la reine de beauté, âgée de 34 ans, a été dans l'obligation de fermer son compte twitter. Il n'y a pas si longtemps pourtant, l'ex-candidate à la vice-présidence des États-Unis, Sarah Palin, a erré elle aussi sur des points "géographiques", et ce en pleine campagne électorale. Cette gaffe ne l'empêchera pas prochainement de briguer à nouveau les suffrages, cette fois à titre de candidate à la présidence américaine. Et, après tout, pour venir à la défense de madame Machado, il y a bien deux Chines si on considère l'existence de Taïwan, une île et un état en marge de la Chine continentale ! Et les deux entités n'ont jamais eu des relations très cordiales...



Si Alicia Machado était aussi idiote que plusieurs de ses détracteurs le prétendent, elle n'aurait pas connu autant de succès en menant habilement plusieurs carrières parallèles. Car, comme elle l'a signalé en entrevues, il ne suffit pas d'être belle pour réussir dans le show business. Il faut surtout du talent, du travail acharné, une bonne préparation. Selon cette ancienne Miss Vénézuela (1995) originaire de Maracay : «la beauté est seulement un aspect d'une personne, elle est temporaire; mais votre esprit, lui, vous guide pendant toute votre vie.» C'est pourquoi elle dit que, chaque jour, elle cherche à s'améliorer intellectuellement. Cette image de femme fatale, sensuelle, sexuelle et superficielle, Alicia la traîne depuis ses dix-neuf ans, soit depuis son couronnement à titre de Miss Univers. Bien que les observateurs du déroulement de ce fabuleux concours ont certifié qu'elle avait dominé ses concurrentes, la jolie brune a été très étonnée de sa victoire. C'est quelques semaines après son triomphe qu'une controverse a éclaté au sujet de son poids. En peu de temps, elle a engraissé de vingt livres. Appelée à voyager dans plusieurs pays et bousculée par un horaire chargé, Machado a perdu ses points de repère, sa discipline et ses bonne habitudes alimentaires. Les autorités en charge du concours Miss Univers ont même songé à la déposséder de sa couronne avant qu'elle parvienne finalement à réduire un peu son embonpoint. Par-dessus le marché, entre-temps, le milliardaire Donald Trump était devenu propriétaire des droits du réputé concours de beauté. C'est lui qui devait organiser la présentation de ce prestigieux évènement l'année suivante (1997). Il va sans dire qu'il n'était guère enchanté de voir l'image de marque du concours être endommagée par les nouvelles "rondeurs" de la Miss Univers en titre. De passage à la populaire émission de radio du coloré animateur new-yorkais Howard Stern, Trump ne s'est pas gêné pour traiter Machado de "machine à manger" ("eating machine").



Loin de lui nuire et de la faire passer pour une irresponsable, ces attaques et cette controverse ont bien servi Alicia en attirant l'attention sur elle. Toute cette publicité l'a aidée à se faire connaître et à se distinguer du "lot" des autres gagnantes de concours de beauté. D'un seul coup, beaucoup de portes se sont ouvertes devant elle : offres pour participer à des séries télévisées, des télé-réalités, des émissions de variétés, des romans savons, des films... Des agences de mannequins lui font des propositions, tout comme des patrons de magazines qui désirent voir ses photos embellir leurs revues et leurs calendriers. On l'invite même à enregistrer un album de chansons. Soudain, comme par enchantement, tous les projets et les rêves qu'elle avait voulu faire ou réaliser depuis son enfance, semblent devenir possibles. Ils sont à sa portée au moment même où elle devient une femme. Et quelle femme ! Ses huit années à suivre des cours de danse (commencés alors qu'elle avait à peine quatre ans), la passion pour la musique qui a enflammé son adolescence, ses brèves études en administration et en droit (abandonnées après quinze mois), ses premières expériences en tant que mannequin et ses petits rôles initiaux dans des messages publicitaires l'auront donc conduite à ce tremplin qu'est le titre de Miss Univers. Le secret de son succès : une beauté envoûtante présentée avec une touche de sensualité dépourvue de vulgarité; une présence imposante qui fait vibrer toutes les fibres de sa féminité et qui captive tous les regards qui se posent sur elle; une chaleur torride qui émane des formes voluptueuses de son corps et qui embrase les sens de tous les hommes sur son passage...





Après son année de règne en qualité de Miss Univers, les rôles s'enchaîneront dans les séries télévisées et les télé-réalités, non seulement en Amérique latine mais en Europe. Sa performance dans le roman savon SAMANTHA (1998), à la télévision vénézuélienne, lui vaudra le prix de meilleure nouvelle actrice (ACE award). Mais en 2005, en Espagne, alors qu'elle participe à la télé-réalité intitulée THE FARM, une autre controverse éclate lorsqu'elle est filmée en train d'avoir une relation sexuelle avec un participant. On raconte que cet épisode sulfureux a causé sa rupture amoureuse avec le joueur de baseball professionnel Bobby Abreu qui, semble-t-il, souhaitait la fiancer. Plongée dans le tourment de cette nouvelle polémique, Alicia Machado a précisé plus tard qu'elle avait rompu avec Abreu avant cette histoire de sexe dans THE FARM. Amère, elle a ajouté que si c'était Abreu qui avait eu une telle aventure, on en aurait pas fait de cas, parce que tout semble permis aux hommes. Mais dans la mentalité des mâles latino-américains, c'est impardonnable qu'une femme se conduise aussi librement.






Encore une fois, cette esclandre crée des remous qui attirent les projecteurs sur elle. Cet autre coup publicitaire a peut-être contribué à lui ouvrir les pages de PLAYBOY. En effet, en février 2006, Alicia devient la première ex-Miss Univers à poser nue pour le magazine de Hugh Hefner. Elle le fait d'abord dans la version mexicaine puis, l'année suivante, dans l'édition originale américaine. Ne manquant pas de culot, et en savourant sans doute une douce revanche, elle dédie ces photographies splendides à Donald Trump, un puissant de ce monde, celui-là même qui l'avait qualifiée de "eating machine" dix ans plus tôt. Au cours des dernières années, la passion de la vedette sud-américaine pour la musique a pris plus d'importance dans sa vie professionnelle, elle a enregistré un second album de chansons et elle se produit en spectacle avec de plus en plus d'aplomb. Il y a trois ans, elle a interrompu ses projets de télé, de théâtre et de cinéma afin de donner naissance à son premier enfant, la petite Dinorah Valentina. Et, bien entendu, cet évènement a suscité un autre débat lorsque certaines sources d'information, citant le procureur général, ont rapporté que le père de cette petite fille était un baron de la drogue, Gerardo Alvarez Vasques. En conférence de presse, Machado a démenti cette nouvelle en affirmant que c'était plutôt l'homme d'affaires Rafael Hernandez Linares qui avait fait d'elle une mère.





Aujourd'hui, Alicia Machado vit à Mexico. L'an dernier, on lui a rendu hommage pour ses nombreuses réalisations dans plusieurs domaines de l'industrie du spectacle en lui faisant graver l'empreinte de sa main dans le PASEO DE LAS LUMINARIAS, l'équivalent mexicain du trottoir des célébrités à Hollywood (Walk of Fame). Elle intimide toujours les hommes par son immense pouvoir de séduction. Comme type de représentants de la gent masculine, Alicia dit préférer les Argentins, les Italiens, les Mexicains et les Espagnols. Ce que ses admirateurs trouvent le plus "sexy" chez elle ? Son sens de l'humour et... son derrière. Sa propre réponse à cette question ? Elle juge plutôt que c'est son sourire ainsi que ses jambes qui séduisent davantage ces messieurs... On se demande bien ce que Donald Trump en pense...


LE TOP-10 DES CHEERLEADERS DE NOËL DANS LA NFL ! Elles sont belles à croquer les cheerleaders de la Ligue Nationale de Football (NFL).  Et e...