lundi 4 septembre 2017

DES BELLES À CROQUER CÉLÈBRES SE DÉSHABILLENT POUR PETA !


En démocratie, les groupes de pression (que l'on appelle aussi groupes d'intérêts ou d'influence), jouent un rôle important pour orienter les politiciens qui nous gouvernent. Ils sont le reflet des changements sociaux ou de l'évolution de la conscience collective. Ils militent pour les droits humains, leurs intérêts particuliers ou ce qu'ils estiment être primordial pour le bien de notre vie en société.

Ces organismes peuvent être des syndicats, des chambres de commerce, des associations de protection des consommateurs, des corporations professionnelles, des conseils du patronat, des groupes environnementaux ou de défense des droits des animaux comme PETA (People for the Ethical Treatment of Animals).


Cette organisation, fondée en 1980 et dont le quartier général est situé à Norfolk, en Virginie, est reconnue pour ses coups d'éclat et les moyens radicaux qu'elle prend pour se faire connaître et dénoncer la cruauté envers certaines espèces animales. Au nom des deux millions de membres qui la financent par leurs dons, elle vise tous les pouvoirs qui peuvent l'aider à atteindre ses objectifs.

Ses manifestations publiques souvent controversées et choquantes se déroulent presque toujours dans des lieux symboliques ou devant le siège même du pouvoir politique : Maison Blanche à Washington, parlements, palais royaux, etc. Lorsqu'il le faut, PETA ira jusque devant les tribunaux pour faire valoir ses arguments.


Ou cet organisme à but non lucratif persuadera certaines entreprises puissantes de boycotter un fournisseur coupable de cruauté envers les animaux. C'est arrivé en 2002 quand PETA a mis de la pression sur des sociétés internationales comme Nike, Reebok et Chrysler afin qu'ils boycottent le cuir en provenance de l'Inde.

Le groupe de pression en faveur des droits des animaux dénonçait à ce moment-là les conditions effroyables dans lesquelles étaient transportées les bêtes qui étaient plus tard écorchées vives avant que leur peau serve ensuite à faire du cuir.


Afin de sensibiliser le public à leur combat, PETA compte énormément sur les médias et le concours de personnalités connues, comme Pamela Anderson, (les photos sous le titre montre Sheridyn Fisher et -plus bas-Michelle Manhart; Olivia Munn apparaît ci-dessus) mises à contribution pour livrer leurs messages chocs.

Des manifestations retentissantes ou des coups d'éclat, c'est efficace dans la mesure où le plus de monde possible en aura connaissance. Il faut qu'on en parle dans les journaux, les revues, les reportages radiophoniques et télévisés. Sinon tout ce travail d'organisation et de mobilisation risque de se transformer en coups d'épée dans l'eau. 

PETA ne recule devant aucun moyen pour retenir l'attention des médias ou des gens dans la rue. Le résultat est parfois contesté parce qu'il déborde les limites de ce qui est acceptable aux yeux de certains groupes de personnes. L'Église catholique s'est ainsi opposée vivement à l'utilisation de symboles religieux dans la publicité ou les manifs de PETA. Même indignation chez les Juifs quand PETA a comparé la cruauté faite aux animaux aux massacres des Juifs dans les camps de concentration nazis lors de la Seconde Guerre Mondiale.


On peut juger si PETA dépasse les bornes lorsqu'on observe le regard des spectateurs qui croisent les activistes du groupe dans la rue. Quand les gens voient des protestataires nus (presque toujours des femmes), cela peut les indisposer, les gêner, les mettre mal à l'aise, les choquer (surtout quand les témoins du "show" sont accompagnées par des enfants) ou les transformer en voyeurs.

Ce furent probablement les effets produits par la "démonstration" des "nudistes" (photo ci-dessus) protestant contre l'utilisation de la peau des ours pour confectionner les fameux bonnets de fourrure dont se coiffent les gardes de la Reine d'Angleterre.


La réaction de la population a possiblement été encore plus déconcertée dans le cas de cette exposition de deux femmes enceintes, presque complètement dénudées, devant ce restaurant anglais (photo ci-dessus) servant de la viande de porc à ses clients.

Elles voulaient reproduire et dénoncer les conditions dans lesquelles des truies sont confinées avant de donner naissance à leurs porcelets.


On monte d'un autre cran dans ce qui est contestable au point de vue de l'éthique, quand PETA rassemble des activistes non seulement nus mais couverts de peinture ou de teinture pour simuler le sang (comme ci-dessus, en Espagne). Beaucoup de témoins de la scène détourneront leur regard ou condamneront même ce moyen extrémiste de sensibilisation du public.

Il est peut-être préférable pour PETA, afin de ne pas trop rebuter les gens et de faire mieux passer leur message, de soigner davantage leur "mise en scène" et de l'associer à une banderole ou une pancarte qui explique leur point de vue.


Quant à moi, je trouve plus agréable et intelligent l'emploi de l'humour dont fait fréquemment preuve PETA pour atteindre ses cibles auprès du public et des autorités politiques. Les féministes fulmineront certes en voyant des femmes (comme celles photographiées ci-dessus) se faire exploiter "sexuellement" en acceptant un rôle de racoleuse néfaste pour leur image et leur condition d'être humain. 

Au moins, si ces jolies activistes (souvent des mannequins ou des célébrités engagés par PETA ou qui adhèrent aux idées de l'organisation) scandalisent peut-être certaines personnes par un excès de provocation, elles livrent efficacement leur message avec le sourire. Un message et une mise en scène qui sont susceptibles de faire sourire à leur tour les passants dans la rue, à défaut de les faire réfléchir ou de vraiment attirer leur sympathie à la cause de PETA.

mardi 15 août 2017

ADRIANA LIMA LANCE...SON SOUTIEN GORGE !


Je sais, je sais... Mon titre est un peu trop accrocheur. En réalité, le 9 août dernier, dans une boutique du Herald Square à New York, la très sexy top modèle brésilienne Adriana Lima n'a PAS lancé SON soutien gorge à une foule d'admirateurs en délire, au cours d'un "strip tease" improvisé. Désolé messieurs !

Non, la charmante Adriana a simplement participé au lancement d'un nouveau soutien gorge, appelé le SHOWSTOPPER, pour Victoria's Secret, la très réputée compagnie de lingerie féminine américaine. 



Ahhhhh... manque de pot pour les quidams qui auraient souhaité ardemment la voir presque nue, vêtue seulement d'une micro-culotte et du fameux soutien gorge en question. Pour cette présentation spéciale, Lima a plutôt opté pour une robe blanche, tout ce qu'il y a de plus simple, mais une tenue tout de même sublimée par les formes voluptueuses de cette femme de trente ans qui fait toujours fantasmer les hommes qui ont pu la voir à la télé, en photos ou en personne.



Normalement, lors d'une promotion semblable, Victoria's Secret a recours à plusieurs de ses mannequins pour mettre en valeur le nouveau produit. Cette fois-ci, on a jugé que la prestance et l'expertise d'Adriana Lima suffisaient amplement pour dévoiler cette brassière du dernier cri au public de New York. Tenant le sous-vêtement de diverses façons en adoptant des poses qu'elle pratique depuis l'année 2000 avec cet employeur qui la paie des millions de dollars chaque année, l'épouse du joueur de basketball professionnel Marko Jaric, a fait travailler les photographes présents sur place, en plus de faire tourner les têtes des spectateurs qui assistaient au lancement. 



Sourire charmeur, poses et déhanchements sexy, reins bien cambrés ou poitrine bombée, baisers soufflés de la main : la vedette du show a sorti tous ses trucs de magie pour subjuguer l'assistance. Lima a vanté les qualités du nouveau soutien gorge en disant qu'il est "léger, doux, sexy, et invisible, tout en soutenant là où c'est nécessaire". 

Il est vrai cependant, qu'elle en a vu d'autres durant sa carrière. L'an dernier, l'égérie de Victoria's Secret a porté une brassière sertie de 3000 diamants (blancs, saphirs, topazes) dont on a estimé la valeur à deux millions de dollars. Une création de Diamani, qui a jugé que la poitrine de madame Lima représentait le plus magnifique écrin qui puisse exister pour faire briller ses somptueux bijoux.



Les gens qui ont été témoins de la prestation d'Adriana Lima dans la "Big Apple" ont peut-être remarqué qu'elle était bien bronzée, très animée et dans une forme du tonnerre. Ce surplus de vitalité, qui la rend encore plus ravissante, elle le doit à des vacances récentes à Miami ainsi qu'à sa fillette Valentina (photo ci-dessus) âgée de 21 mois, et qui parle déjà trois langues : le serbe de son père, le portugais de sa mère et l'anglais de son pays, les USA. La top modèle n'est pas peu fière de son adorable petit trésor. 


Véritable carte de mode ambulante, Adriana est souvent questionnée sur les créations qu'elle porte. Dernièrement, durant ses vacances, a-t-elle répondu en riant, les grands couturiers de ce monde ne l'ont guère habillée puisqu'elle n'a porté que des bikinis ! Oh ! Un rien l'habille ! Et moins elle est vêtue, plus elle est belle !


Pour en voir et en savoir davantage sur Adriana Lima (notamment pour découvrir ses secrets de beauté), consultez les deux articles que j'ai rédigés il y a quelques mois dans mes blogues PROFESSION : FEMME DE PRO DU SPORT et BELLES À CROQUER. Voici les liens :

http://bellesacroquer.blogspot.com/2010/09/adriana-lima-revele-son-principal.html

http://professionfemmedeprodusport.blogspot.com/2010/09/marko-jaric-sans-defense-contre-adriana.html

vendredi 23 décembre 2016

DANIELLE LLOYD : BELLE À CROQUER POUR NOËL !


Joyeuses Fêtes à tous les lecteurs de BELLES À CROQUER ! .

Pour nos souhaits de Joyeux Noël, c'est la somptueuse Danielle Lloyd (photo) qui a été mise à contribution, dans son costume très sexy de "mère" Noël. Ouf ! Assez époustouflant merci !  Même si ces clichés datent déjà de quelques années, ils sont toujours aussi magnifiques. 


J'imagine que le caractère sacré de la fête de Noël ne prédispose guère les célébrités à trop se dévêtir pour poser devant les photographes.  Surtout en ces temps où, dans nos sociétés laïques et multi-ethniques, l'affichage de signes religieux est souvent proscrit.

Mais depuis cette fameuse séance de photographies sexy, la vie de Danielle Lloyd a bien changé.  Le controversé mannequin britannique de 32 ans a notamment donné trois enfants à son ex-conjoint, le footballeur Jamie O'Hara.  Chez elle, la fête de Noël est forcément devenue plus familiale.  La mère qu'elle est maintenant s'est peut-être assagie au point de mériter d'être associée à Noël pour de plus nobles raisons, Noël étant une fête liée aux thèmes de la paix et de la joie...plus qu'au "sex-appeal" !




On sait que la splendide modèle, ex-Miss Angleterre et ex-Miss Grande-Bretagne, a déjà été accusée d'avoir tenu des propos racistes à l'endroit d'une actrice Indienne et elle a également vécu des épisodes de violence au cours de sa vie. Elle avait aussi fait scandale en posant nue pour PLAYBOY (décembre 2006) et pour une liaison amoureuse avec un juge.  Elle a aussi fait parler d'elle à cause des trois chirurgies qu'elle a subies pour des augmentations mammaires.


Après une incursion en tant qu'actrice de cinéma dans le film "CUT", il y a quelques années, Danielle Lloyd a été moins présente dans l'actualité, si ce n'est de deux apparitions dans des émissions de télé. Il faut dire que Lloyd, née le 16 décembre 1983 à Liverpool, est fort occupée à élever sa jeune famille, d'autant plus qu'elle a divorcé de O'Hara, il y a un an.

samedi 17 décembre 2016

POUR ÊTRE BELLE À CROQUER, LES CONSEILS DE : BEYONCÉ, HILARY RHODA ET AMERICA FERRERA.


Shampoing à la bière, pour une chevelure resplendissante.  Massage facial avec un cube de glace, chaque soir avant d'aller au lit, pour prévenir ou combattre le gras, l'acné et les rides.  Usage d'une solution à base de citron pour adoucir les coudes un peu rugueux.  Ce n'est là qu'un petit échantillon des trucs utilisés par des célébrités féminines pour être belles à croquer.

Puisqu'elles sont des modèles pour leurs admirateurs et leurs admiratrices, ces beautés -qu'elles soient des actrices renommées, des mannequins adulées ou des chanteuses populaires-, sont écoutées et copiées par leur large public.  La plupart de ces vedettes conseilleront des crèmes hydratantes, des lotions pour écran solaire, des façons de se maquiller, ou d'autres moyens originaux (coiffures remarquables, vêtements de style, accessoires à la mode, bijoux de marque) pour bien paraître en toutes occasions.



Pour Beyoncé, la super star de la chanson américaine (photo sous le titre), ce qui fait surtout le charme et la beauté d'une femme c'est tout simplement son sourire.  Des sondages d'opinions et de nombreuses études auprès de la gent masculine confirment cette vérité.  Mais le sourire n'est pas ce qui attire ou retient l'attention d'une femme par rapport aux hommes.  Dans ce cas on parle davantage de la forme du visage, particulièrement de la mâchoire; de la musculature; ou même de l'odeur que monsieur dégage.

L'actrice America Ferrera, (photo ci-dessus) née aux États-Unis mais d'origine hondurienne, a trouvé la recette parfaite pour être encore plus ravissante : boire plus d'eau.  «Quand j'ai commencé à boire plus d'eau, ma peau, mes cheveux, mes ongles se sont tous améliorés», a-t-elle constaté.  La top modèle Carolyn Murphy (photo ci-dessous) a elle aussi vanté les bienfaits d'une meilleure hydratation sur son apparence générale.


  
Pour sa part, sa collègue Hilary Rhoda (photo ci-dessous) soulève l'importance d'adopter de saines habitudes de vie afin d'être à son mieux.  Comme, par exemple : dormir suffisamment.  Cette exigence peut sembler bien élémentaire, mais la fatigue ou le manque de repos sont synonymes de teint blême, d'humeur maussade, de yeux vitreux et de traits tirés; ce qui est loin d'embellir qui que ce soit...



Mais, au fait, qu'est-ce qui fait qu'une fille ou une femme est jolie et sexy ? Ce n'est pas seulement la beauté de ses traits ou de ses attributs physiques. Ou ses mensurations idéales, et sa silhouette bien proportionnée.  Non.  Son pouvoir de séduction peut aussi transparaître dans sa façon de marcher, de porter ses tenues vestimentaires.  Dans sa manière de bouger, dans ses gestes, son attitude ou son regard... Dans l'art de révéler son corps. Dans son "talent" pour exprimer sa sensualité. Dans le petit extra d'originalité, de charme personnel qui distingue sa beauté de celle des autres.

samedi 31 octobre 2015

BELLES À CROQUER MÊME DANS...LA BOUE !


Depuis la nuit des temps, on a associé la terre à la femme. Que ce soit dans les mythologies des peuples anciens ou dans les écrits des poètes célébrant la mère nature, terre et femme sont unies dans le destin de l'humanité. La terre fertile et nourricière produit les moissons et les plantes qui guérissent. La femme est la terre que l'homme laboure et ensemence. Au cours des cinquante dernières années, dans les sociétés occidentales modernes, le mode de vie jadis intimement lié à la nature et à l'agriculture, s'est transformé radicalement. L'industrialisation à grande échelle, la mécanisation, la technologie et les télécommunications ont changé totalement le rapport des gens avec la nature. Combien d'enfants ou d'adolescents ne jouent presque plus dehors et préfèrent rester enfermés dans leur chambre à jouer à des jeux électroniques ? Le lien au monde extérieur et à la terre est rompu en faveur du cyberespace.


La femme subit également cette rupture avec la nature et elle risque de devenir artificielle en se maquillant à outrance ou en recourant abusivement à la chirurgie plastique. Pourtant, comme en témoignent les photos de ce billet, lorsque la gent féminine renoue avec la terre en s'enduisant le corps de boue ou de vase, les résultats sont parfois spectaculaires et étrangement sexy ! Comme pour prouver que les éléments terrestres se marient tellement bien avec le corps de la femme. Comme pour prouver que les anciens avaient raison de les associer symboliquement... Ce n'est pas déraisonnable de considérer la terre et la femme comme des synonymes, comme des sources de vie et d'énergie. Les deux donnent la vie qu'elles portent en elles. En fait, ces boues et cette vase peuvent sembler repoussantes et répugnantes à première vue. Mais elles peuvent contenir des minéraux et être riches d'éléments naturels dont on se sert d'ailleurs pour fabriquer des... cosmétiques !


Ces cosmétiques servent non seulement de produits de beauté mais ils peuvent aussi soigner des maladies de peau comme l'eczéma. Ce serait exagéré de pousser l'allusion aux cosmétiques jusqu'à l'illusion parfaite en prétendant qu'en prenant un bain de boue, la femme, en quelque sorte, soigne sa beauté ! Mais le miracle, le secret, le mystère de la beauté, c'est qu'une jolie femme puisse rester belle même lorsqu'elle est couverte de boue ! J'oserais même affirmer que le corps de ces belles, maculées de vase, peut éveiller chez les hommes un instinct primitif, une sorte d'atavisme remontant aux temps anciens où la femme était une terre à labourer et à ensemencer !  Mais ces dames, surtout les féministes, sont sûrement en désaccord...



Ce qui est formidable, c'est qu'en Amérique du Nord, il y a de plus en plus d'activités de plein air où les gens prennent plaisir à s'asperger ainsi de boue.  En effet, on aime sans cesse davantage participer ou assister à ces joyeuses courses à obstacles qui permettent de se salir en alliant : sain exercice physique, bienfaits du plein air, compétition amusante, belle persévérance, chaleureuse entraide, et franche camaraderie.  Il faut voir comment ces personnes s'excitent et retombent en enfance !  Et, de plus, ces excellents exutoires s'accomplissent souvent afin d'amasser des fonds pour des oeuvres de charité.  Fantastique !

Les "Mud Fest" et les courses à obstacles dans la boue sont très populaires dans les pays anglo-saxons comme les États-Unis et la Grande Bretagne.  Certaines compétitions sont plus sérieuses et difficiles.  Elles comportent parfois des dangers pour la santé des participants.  Parmi les plus célèbres Mud Fest, celle de Boryeong, en Corée du Sud, se distingue particulièrement.  En Angleterre, il faut mentionner le festival de Glastonbury.  L'Allemagne est fière de son Festival de Brunsbüttel, et les Suisses ont également leur occasion de se vautrer dans la vase avec leur festival national.



Les courses dans la boue connaissent un essor encore plus fort avec des rendez-vous comme la Spartan Race, la Tough Mudder, la Dirty Girl Mud Run (une course réservée aux femmes et qui a pour objectif d'amasser des fonds afin de financer la recherche pour combattre le cancer du sein), la BattleFrog, la Savage Race, la Mudderella...

Voici un montage de quelques jolies femmes croquées sur le vif en participant à des festivals de bains de boue ou à des courses à obstacles dans la vase...  La musique d'accompagnement est signée MUD SLINGERS, et leur pièce est intitulée "Mud Digger". Avec la participation de leur invité spécial Colt Ford.  Enjoy !




vendredi 31 juillet 2015

VAGUE DE CHALEUR ET...DE JOLIES FILLES PRESQUE NUES SUR LES PLAGES !


Cette année, l'inde en a particulièrement souffert...  Il y a deux ans c'était l'Afrique du Nord qui devait l'endurer.  Puis ce fut au tour des États-Unis d'être touchés.  À ce temps-ci de l'année, la canicule ou les vagues de chaleur accablantes, finissent par affecter des gens un peu partout sur la planète.  Et avec le phénomène du réchauffement climatique, nous ne sommes pas prêts d'y échapper dans le futur.  

Dans plusieurs villes autour du globe les températures peuvent atteindre jusqu'à 106 ° F (40 ° C) et le fort taux d'humidité empire encore plus la chaleur ressentie. Les morts attribuables à la canicule se comptent par dizaines, voire des centaines, dans certaines régions.  Les gens, incommodées par la chaleur extrême, vont au cinéma, dans les musées, dans les centres d'achat climatisés ou empruntent plusieurs fois le métro, pour trouver un peu de fraîcheur.

L'autre moyen pour fuir la "fournaise" des grandes villes, où on peut faire cuire un oeuf sur l'asphalte des stationnements ou sur la tôle brûlante des voitures, c'est de courir à la plage et s'immerger sous l'eau. Les parcs où il y a des fontaines ou des jets d'eau sont aussi fort populaires.


Comme si cette situation, qui perdure souvent de façon inhabituelle, n'était pas suffisante, la chaleur très humide rencontre parfois des masses d'air plus froid, ce qui, à certains endroits, provoque des tempêtes de vent ou des orages courts, mais violents. Résultats ? Des arbres ou des branches cassés touchent des fils électriques, ce qui cause des pannes de courant, et bien d'autres ennuis. Sans électricité, pas moyen de faire fonctionner l'air climatisé pour combattre la vague de chaleur.

Les personnes qui travaillent dehors, ou dans des endroits déjà chauds d'avance, comme les boulangeries, sont parfois à la limite de l'évanouissement.  D'autres se procurent des cubes de glace, et font fonctionner un ventilateur derrière, pour se rafraîchir. 


Mais il n'y a pas que des désagréments causés par de telles canicules.  Les badauds qui fréquentent les plages peuvent en effet se rincer l'oeil, avec toutes ces jolies filles en bikini, qui, avec leurs courbes superbes, changent diamétralement la topographie de ces lieux...normalement plats !  Mais attention messieurs, à trop regarder ces beautés presque nues, vous risquez d'être frappés par un coup de chaleur d'un autre genre, ou...par votre conjointe, si elle vous accompagne sur la plage ! 

Hum... Ne nous laissons pas emporter ! Les créatures de rêve sont de moins en moins nombreuses sur ces étendues de sable chaud.  Par exemple, aux USA, l'obésité et le diabète de type 2 font de plus en plus de ravages. Ce sont des montagnes de graisse et de cellulite qui envahissent plutôt les berges des lacs ou le bord des océans.



Après la création du bikini en 1946, par l'ingénieur français Louis Réard, (voir à ce sujet mon blogue BIKINI AND POM POM GIRLS -www.bikiniandpompomgirls.blogspot.ca-) ces minuscules costumes de bain ne furent pas adoptés par tout le monde. Bien au contraire ! La religion et les bonnes moeurs de l'époque condamnaient ou restreignaient son usage. À la fin des années 1940, seules les femmes appartenant à la classe supérieure de la société, le portaient parfois. Il était alors inconvenant, voire scandaleux, de dévoiler autant son corps, surtout...le nombril !



Plus tard, dans les années 1950 et 1960, certains esthètes ont fait campagne pour que le bikini soit réservé uniquement aux femmes possédant une belle silhouette (les Belles à Croquer, quoi !).

De nos jours, la promotion d'un tel idéal serait impossible. Le bikini est devenu, dès les années '60, un symbole de la libération de la femme. Sa popularité se constate dans le chiffre des ventes qui atteint plus de 820 millions de dollars par année... Sans compter le surplus de crème à bronzer nécessaire pour protéger toute cette peau mise à nue, surtout quand la vague de chaleur s'abat...

Dans ce temps-là, mieux vaut faire comme Jessica (photo ci-dessus) et chercher de l'ombre pour prendre une petite douche d'eau froide... 

lundi 15 décembre 2014

ANGELINA JOLIE : LE PLUS GROS TROPHÉE DE CHASSE DES PAPARAZZI.


«Everybody is a star
I can feel it when you shine on me
I love you for who you are
Not the one you feel you need to be».

Cet extrait d’une vieille chanson de Sly and the family Stone me revient parfois en tête quand je vois toutes ces personnes autour de moi se prendre en « selfie » à tout moment, pour accompagner souvent les brefs messages de 140 mots et moins qu'elles envoient à leurs parents et amis sur Twitter.  Comme si tout ce beau monde avait besoin de communiquer et de partager immédiatement la moindre expérience qui leur arrive.  Devenus esclaves ou dépendants des réseaux sociaux et des nouvelles technologies, ces individus inventent même des occasions, à partir de rien, pour se faire voir, seulement pour rappeler à tout le monde qu'ils existent et qu'ils sont à tel endroit, avec telles gens, en train de faire n'importe quoi.  Ce désir et ce besoin assez vaniteux d’être vus, suivis et appréciés par le plus grand nombre de personnes possibles, fait penser aux comportements des stars et des célébrités qui occupent en permanence nos écrans de télé ou ceux de nos multiples gadgets électroniques.

Ces images de vedettes ou de personnes renommées sont attribuables à leur initiative personnelle, ou elles proviennent des photographes officiels qui ont assistés à leurs spectacles, ou à des événements auxquels elles ont participé.  Ces clichés ou vidéos qui font parfois la manchette aux nouvelles télévisées ou dans les journaux à potins peuvent aussi être crédités à ces curieuses « bibittes » que sont les paparazzi.  Les célébrités entretiennent toutes sortes de relations avec ces chasseurs d'images.  Pour certaines vedettes, ce sont des calamités ambulantes, des vautours, des plaies d’Égypte qui les harcèlent sans cesse et qui ne respectent pas leur droit à une vie privée légitime.  Pour d'autres, surtout en début de carrière, ces as de la photo sont, au contraire, les bienvenus, pour les aider à obtenir cette visibilité essentielle à la promotion de leurs projets, à la vente de leurs productions artistiques ou économiques, ou tout simplement pour créer l'image qu'elles veulent projeter d'elles-mêmes auprès d'un public qu'elles cherchent à agrandir continuellement.


C'est ainsi que les paparazzi se feront tour à tour, tantôt complices, tantôt espions et cascadeurs pour arriver à leurs fins : monnayer pour le montant le plus élevé possible les images qu'ils réussissent à capturer avec leurs appareils.  Ce sont les lois du libre marché qui détermineront la valeur de leurs photos.  Évidemment, plus la photographie sera exclusive, rare, et mettant en vedette une personnalité populaire et recherchée, plus ils pourront en obtenir un bon prix de la part de l'acheteur et du diffuseur.  Pour ces «chasseurs de tête » modernes, il existe une liste d'individus, classés « A +», qui valent particulièrement leur pesant d’or.  Par exemple, les membres de la famille royale de Grande-Bretagne, sont souvent des cibles de choix pour les paparazzi, surtout quand ils ont la chance extraordinaire de croquer le portrait d’un prince Harry flambant nu et ivre, qui anime une fête endiablée, ou encore une Kate Middleton « top less » qui s’enduit de lotion à bronzer durant ses vacances avec le prince William, en France.  C'est facile de comprendre que la reine Elizabeth II et son entourage détestent ce genre de «lèse-majesté» qui peut rapporter $ 20 000 à son auteur.  Ce type d’incidents fâcheux rappellent aussi la tragédie qui a coûté la vie à Lady Diana, en 1997, à Paris.  L'accident de voiture, dans lequel l'ex-épouse du prince Charles a péri, a été imputé indirectement aux paparazzi qui la pourchassaient.

En haut de la liste « A » des paparazzi se trouve Angelina Jolie, dont les photos se vendent fréquemment pour plus d’un million de dollars.  On ne comprend pas bien pourquoi les clichés de cette « enfant gâtée » valent si chères, mais c’est la réalité du marché.  Madame Jolie fait partie des gens riches et célèbres qui peuvent toutefois se payer le luxe d’échapper aux paparazzi quand elle part en vacances.  En compagnie de son mari Brad Pitt elle peut s’envoler en hélicoptère sur une île du sud qui est inaccessible aux photographes.

JENNIFER  LOPEZ
Les photographies de célébrités qui font grimper le plus les enchères sont souvent celles de leur mariage ou de leur nouveau-né.  L'an passé, on a dit que Jessica Simpson a fait le tour des magazines de vedettes afin de vendre les premières photos de son bébé pour au moins $ 500 000.  Celles des jumeaux de Jennifer Lopez et de Marc Anthony ont valu six millions de dollars à leurs heureux parents, il y a quelques années.  Pour celles de leur poupon, Matthew McConaughey et Camila Alves se sont contentés de la moitié de cette fabuleuse bourse.

Kim Kardashian en est une autre qui aime bien se faire croquer le portrait.  Tellement que le marché est inondé de ses photos et que ça fait forcément baisser les prix que les paparazzi peuvent obtenir en les vendant.  Néanmoins, les photos de la star aux formes généreuses, prises pendant qu'elle se baignait en bikini, lors de sa plus récente lune de miel, ont été adjugées pour la rondelette somme de $ 100 000.  Dire qu’au commencement de sa carrière, lorsqu'elle cherchait à se faire reconnaître du public et du milieu du show business, c'est elle qui payait les paparazzi pour qu’ils la photographient un peu partout.  En son temps, Britney Spears a recouru au même stratagème.

Ironiquement, cette recherche du concours ou de la complicité des paparazzi se produit également dans le cas des « étoiles» pâlissantes ou en déclin, dans des tentatives pour réanimer leur carrière.  Ainsi, on sait que Denise Richards et Tori Spelling ont fait ce type d’arrangements avec des photographes pour être prises en photos avec leurs enfants.  Parce que les enfants... on le sait, ça fait «vendre» et ça fait parler d'elles.  Et c’est justement ce qu'elles veulent, pour qu’on ne les oublie pas.


En certaines occasions, ce sont les circonstances et les conditions entourant la prise de photos qui font qu’elles se vendent à prix d’or.  La chance et le bon « timing » sont alors au rendez-vous.  Comme pour ce paparazzo qui a rencontré par hasard Amanda Bynes (photo ci-dessus) dans un restaurant.  Celle-ci, ne voulant absolument pas être photographiée ce jour-là, s’en est prise physiquement au photographe qui la mitraillait de son appareil.  Ce dernier en a fait une vidéo et un ensemble de clichés exclusifs qu’il est parvenu à vendre pour $ 85 000.  Bynes a dû recevoir de l'aide psychiatrique, peu de temps après cette altercation.  Oui, parfois, les paparazzi harceleurs peuvent vous rendre dingues...  Parlez-en à Lindsay Lohan, dont les photos ne valent cependant plus rien...

En général, les meilleurs paparazzi réussissent à bien vivre de leur métier en accumulant des revenus annuels dans les six chiffres (plus de $ 100 000).  S'ils sont plusieurs à prendre le même cliché d’une vedette, ça leur vaut une centaine de dollars.  Mais dans le cas d’une exclusivité, la même photo peut trouver preneurs à dix fois ce prix.

Cependant, leur gagne-pain représente souvent une activité compliquée, intense, compétitive et dangereuse.  Ils se retrouvent parfois dans des poursuites en voiture, dignes des films d’action.  Ils peuvent se heurter à des agents de sécurité engagés par des célébrités qui ne veulent pas être importunées ou qui tiennent jalousement à protéger leur vie privée.  Ils doivent aussi être très bien informés des déplacements ou de l’agenda des personnalités ciblées.

Somme toute, c'est un métier difficile qui ne leur vaut pas une bonne réputation chez les artistes et le public, en général.  Mais ça n’empêche pas ces gens de se précipiter pour acheter des revues où sont exposées les photos de paparazzi montrant toutes ces vedettes dans des situations ou des positions plus ou moins heureuses; que ce soit à l'occasion de mariages, de naissances, de scandales, ou pour illustrer le résultat de leur dernière chirurgie plastique...  On est loin des anciennes croyances des Amérindiens qui refusaient de se faire prendre en photo pour ne pas se faire voler leur âme...

CHRISTINA  MILIAN  ET  MATT  POKORA  CÉLÈBRENT  SEPT  ANNÉES  DE  BONHEUR. Milti-talentueuse, la belle à croquer Christina Milian a connu to...