S'il faut en croire la Bible (Genèse 3,7), après que Adam et Ève eurent croqué le fruit défendu, leurs yeux s'ouvrirent et «ils connurent qu'ils étaient nus»... Les conséquences de cette désobéissance au Dieu Tout-Puissant furent terribles. Le mal prit en effet sa place au côté du bien et le premier couple humain fut chassé du Jardin d'Éden. L'avènement du "mal" entraîna à son tour la nécessité de déterminer en quoi il consiste, c'est-à-dire, à le juger. Et au "bras" de la Justice s'ajouta aussi la censure, une arme pour combattre le mal au nom de la morale ou du respect des bonnes moeurs... Nous en sommes toujours là aujourd'hui. Par exemple, on se demande toujours où il faut tracer la ligne qui sépare l'indécence de la décence. Jusqu'à quel point peut-on exposer le corps humain en public ou dans les mass-médias ?
Oublions la genèse pour nous intéresser davantage à l'histoire plus récente. Cette fameuse question concernant le "scandale" de la nudité "affichée" s'est posée avec encore plus d'acuité avec l'invention de la photographie et du cinéma. Certes, dans les siècles précédents, les peintres du nu avaient eu maille à partir avec les autorités religieuses, mais, il y a une centaine d'années, en rendant possible une plus large diffusion d'images montrant des humains dans leur plus simple appareil, on a créé ce qui s'appelle aujourd'hui la pornographie. Un genre d'obscénité qui n'a pas cessé de rejoindre de plus en plus de gens, surtout avec l'arrivée du phénomène de l'internet.
À partir des années folles (1920), la mode, plus audacieuse et poussée à l'avant-plan sur les grands écrans, a joué un rôle non négligeable pour enflammer l'imagination ou la libido des spectateurs présents dans les salles de cinéma. Les nouvelles starlettes créées par le 7e art ont attisé le désir des cinéphiles en dévoilant de plus en plus leur corps. Transformés parfois en voyeurs, ces amateurs de films "osés" ne rêvaient plus qu'à une chose : voir ces vedettes sexy et provocantes enlever tous leurs vêtements ! Leurs souhaits furent exaucés quand les premiers films "porno" furent projetés sur les écrans. Mais la censure ne tarda pas à s'interposer...
Celle-ci aura à se pencher un peu plus tard sur un nouveau genre d'exhibitionnisme qui, selon certaines sources d'information, tire son origine du Festival espagnol LA TOMATINA. Dans les années 1940, au cours de cet évènement annuel durant lequel les participants s'amusent à se lancer des tomates, on remarqua que le jus de ces dernières détrempait les vêtements et mettait en "relief" les attributs féminins des festivalières...
Cette hypothèse sur les origines historiques de la pratique du "gilet mouillé" (puisque c'est de ce sujet dont nous traitons ici), me semble pas mal "tirée par les cheveux". Il est plus plausible que cette innovation ait été inspirée par l'impressionnante performance de Jacqueline Bisset, (photo ci-dessous) dans le film THE DEEP (1977). Plusieurs scènes de ce long métrage montre l'actrice française nager sous l'eau avec un simple t-shirt. L'effet "moulant" de l'eau sur la poitrine de Bisset a crevé le grand écran !
À peu près à la même époque, à Palm Beach (Californie), des concours de gilets mouillés commencent à agrémenter les soirées de la clientèle de certains restaurants et de quelques bars locaux. Rapidement, des compétitions de plus importante ampleur sont organisées dans cet état avant-gardiste des USA. Ce genre d'activités est taillé sur mesures pour les étudiants en mal de sensations fortes !
C'est pourquoi les filles sexy des collèges et des universités américaines vont être de plus en plus nombreuses à concourir dans ce genre "d'épreuves", soit pour satisfaire leur goût pour l'exhibitionnisme, soit pour le "fun" de relever un défi entre ami(e)s, soit pour participer à une activité de groupe dans le but de mieux s'intégrer à celui-ci.
Plaire aux garçons et les séduire sont également de bonnes raisons de faire preuve d'audace et d'impudeur en ces occasions spéciales ! La période du congé d'études printanier (spring break) est tout indiquée pour se laisser aller à ces "jeux érotiques"... Les lieux de prédilection pour ces folies de jeunesse se situent surtout en Floride et au Mexique (Cancun).
KATE UPTON |
Selon la sévérité ou le libéralisme des lois en vigueur dans l'état ou la localité où se déroulent ces spectacles, les jeunes femmes détrempées pourront enlever oui ou non leur gilet en public. Tout dépend aussi de l'âge des concurrentes. Des cas de filles d'âge mineur se dénudant dans ce genre de concours, ont provoqué la tenue de procès retentissants, aux États-Unis.
Au cours des dernières décennies, quand des femmes mannequins et des vedettes féminines très sexy ont voulu vraiment se démarquer, sans pourtant braver les règlements interdisant la nudité, elles ont parfois eu recours au "subterfuge" ou à l'artifice du "gilet mouillé". Belle façon d'attirer sur elles les projecteurs et d'émoustiller leurs admirateurs. Pour ces derniers, c'était un compromis entre leur désir de les voir nues et le plaisir de les observer quand elles portent le bikini...
Parmi ces "pin-up girls" qui ont fait les délices des amateurs de wet t-shirts, notons, entre autres, les noms suivants : Claudia Schiffer, Kylie Minogue, Alice Eve (ci-dessus dans SEX IN THE CITY), Nathalie Cardone, Sophie Marceau, Cindy Crawford, Britney Spears, Alicia Machado, Vida Guerra, Estella Warren, Stephanie Seymour et, plus récemment, la ravissante Kate Upton (photo sous le titre). Oh ! J'allais oublier l'affriolante cyber girl de PLAYBOY, Kaya Danielle (ci-dessous) !
Attardons-nous sur le cas de Kate Upton, elle en vaut le coup ! C'est une américaine de 25 ans, née à St-Joseph au Michigan, qui, grâce à son corps de déesse, a fait une entrée fracassante dans le monde de la mode et dans les revues masculines. Après seulement deux ans de carrière, elle a déjà atteint les premières places des palmarès des femmes les plus sexy de la planète. Elle s'est particulièrement distinguée en posant en bikini pour la revue SPORTS ILLUSTRATED ainsi que dans le magazine GQ. Les vidéos la mettant en vedette, notamment sur YouTube, ont suscité l'intérêt de plusieurs centaines de milliers d'internautes. Ses prestations sexy sur diverses scènes de l'industrie du divertissement ont souvent soulevé des controverses et elles ont aussi fait tiquer la censure et l'Église catholique. Plus de 370 000 admirateurs suivent la splendide Kate sur twitter.
Kate Upton explique sa popularité par le style de vie qu'elle mène depuis l'adolescence. Elle a grandi en Floride en excellant dans le sport de l'équitation. Superbe cavalière, elle a remporté plusieurs compétitions équestres. Et son "look" à tout casser, combiné à son sport et au soleil de la Floride, a fait tourner bien des têtes, spécialement celles de la gent masculine... «Toute ma vie j'ai été soit en jeans ou en costume de bain», dit-elle pour expliquer comment on a pu remarquer d'emblée ses formes sculpturales.
Pour Kate Upton, il n'y a rien de bien compliqué dans la vie, du moins en ce qui concerne la réussite dans son métier. «C'est comme dans n'importe quel domaine. Vous trouvez vos forces et vous les employez au maximum.» Et à la contempler dans son gilet mouillé, on devine immédiatement quels sont ses principaux atouts ! Ça crève les yeux ! Voir autre article avec photos et diaporama sur mon site STARS ON BEACH : http://starsonbeach.blogspot.ca/2014/08/kate-upton-ultimate-beach-babe.html