lundi 7 novembre 2011

COWGIRLS CHARNELLES, MATERNELLES OU CRUELLES...

Avant la présente génération des enfants des ordinateurs et des jeux électroniques, avant les enfants de la télé qui ont grandi dans la dernière partie du 20e siècle, il y a eu les enfants des dernières grosses familles, ceux que l'ont a appelé les "baby boomers". Issus d'un monde encore rural, avant l'avènement du contrôle des naissances par la pilule anti-conceptionnelle, un monde déjà dépassé dont la population allait connaître un exil forcé vers les milieux urbanisés, au cours des années '60, ces enfants, du moins ceux de l'Amérique du Nord, ont découvert, exploré et apprivoisé leur environnement naturel, ils ont appris à socialiser, en jouant aux cowboys et aux indiens. Sans se douter, peut-être, que leurs jeux guerriers mimaient une partie de la vraie histoire des peuples du continent nord-américain, notamment celle de la conquête de l'Ouest au 19e siècle. Ces garçonnets, se prenant pour des cowboys ou des indiens, intégraient parfois leurs soeurs ou leurs amies dans leur monde imaginaire en leur réservant le rôle de "squaws". Curieusement, si la contre-partie féminine des indiens étaient présentes de temps à autres dans ces jeux d'enfants, on n'avait pas idée d'y associer des compagnes pour les pauvres cowboys solitaires... Pourtant, ces cowgirls ont bel et bien existé au temps de la conquête de l'Ouest. Si la grande majorité des femmes de cette époque mythique en avaient plein les bras à s'occuper de la maison familiale et de leur nombreuse progéniture, certaines savaient monter à cheval et se servir d'un lasso même si le métier de cowboy était alors réservé aux hommes. La vie de ces travailleuses de ranch auprès de bêtes à cornes n'avait rien de romantique. C'était une vie éreintante et rude, pleine de dangers. En récompense de leur dur labeur : une certaine liberté et un mode de vie passionnant pour celles qui avaient soif d'aventures et de défis.

Encore de nos jours, il y a des "ranchers" de sexe féminin qui mènent ce genre d'existence trépidante. Lorsque vous les voyez marquer au fer rouge des veaux capturés dans les grands pâturages du sud-ouest américain, vous vous dites que ces femmes n'ont pas froid aux yeux mais qu'elles pourraient avoir affaire aux militants de PETA, cet organisme oeuvrant pour le traitement éthique des animaux. Aux yeux de ces protecteurs de la race animale, certaines pratiques des cowboys et des cowgirls sont cruelles, y compris la maltraitance des animaux de fermes lors des rodéos. Pour eux, pourchasser un petit veau ou un agneau dans une arène, le rabattre au sol pour lui attacher les pattes ensemble, constituent des actes barbares. Ils s'opposent également à ce que les cowboys ou les cowgirls frappent leurs montures à coups de fouet ou de cravache dans le but d'accélérer leurs courses. Plusieurs villes, dont San Francisco et Fort Wayne, en sont d'ailleurs venues à interdire carrément les rodéos sur leur territoire. D'autres cités, comtés ou états ont banni certaines épreuves de rodéos dans lesquelles les animaux peuvent subir des blessures ou du stress.




À côté de ces vraies cowgirls, il y a aussi d'autres amantes de la race chevaline qui, bien qu'elles aiment tout ce qui est western ou country, ne désirent que pratiquer simplement leur sport préféré : l'équitation. Quiconque a eu, comme moi, la très grande chance d'observer la complicité et l'amour qui unissent une amie ou une proche parente à son cheval, comprendront qu'il s'agit d'un des plus beaux spectacles que l'on puisse imaginer. Il faut surtout les observer quand elles prennent soin de leur bête. Lorsqu'elles les nourrissent, les lavent, les étrillent, les caressent, leur parlent doucement à l'oreille ou y vont d'une accolade tête contre tête. Il faut voir et entendre ces grosses bêtes, domestiquées mais toujours un peu sauvages, répondre à leur bienveillante cavalière par des regards doux, des saluts de la tête et des hennissements de contentement. Splendide ! Des moments attendrissants, remplis de poésie et d'une grande beauté... Tant la belle que la bête resteront inconditionnellement loyales et fidèles l'une à l'autre, jusqu'à ce que la mort les sépare...


Enfin, assez loin des amatrices d'équitation ou des cowgirls de ranch et de rodéo, il y a toutes ces jeunes femmes sexy, ces mannequins ou ces artistes féminins qui ont adopté la mode country pour associer leur beauté à la légende du rêve américain. Dans leur cas, "adopter" est un bien grand mot. On devrait plutôt parler d'adaptation. On se déguise en cowgirl en modifiant pas mal son costume traditionnel. On troque le chemisier ample à manches longues pour un t-shirt sexy, un bustier ou une blouse décolletée. On porte les fameux blue jeans, mais ceux des cowgirls "pin-up" ont tendance à être très courts ! Une légèreté totalement proscrite par les règlements de la WPRA (Women's Professional Rodeo Association) ! Il n'y a que les chapeaux, les ceintures et les bottes qui peuvent être comparables chez ces deux catégories de cowgirls et encore... Il est intéressant de savoir que ces deux aspects, l'aspect esthétique des reines du rodéo et l'aspect athlétique des compétitrices de rodéo, ont été présents côte à côte dès le début du XXe siècle. Déjà, à la fin du 19e siècle, le célèbre Buffalo Bill avait engagé quelques femmes pour son spectacle de cirque combinant des démonstrations de tirs d'armes à feu et des numéros d'équilibristes à cheval. Ensuite, jusqu'aux années 1930, les organisateurs de rodéos ont fait de plus en plus appel aux cowgirls en élargissant le nombre d'épreuves auxquelles elles pouvaient participer. Beaucoup de promoteurs limitaient toutefois le rôle de la gent féminine à celui de reine du rodéo pour servir leurs objectifs de promotion. En 1929, la mort de la cowgirl Bonnie McCarroll a cantonné encore plus les femmes dans ce rôle de "sweetheart". En chutant de son cheval, la malheureuse a vu un de ses pieds se coincer dans un étrier. Pendue à sa monture, elle a été traînée sur le sol autour de l'arène de rodéo. En prenant le contrôle de plusieurs rodéos importants, à cette époque, Gene Autry a interdit aux femmes de prendre part aux compétions, sauf à celle de la course à obstacles autour de barils.


Frustrées de n'être souvent que des décorations ou des femmes objets, les cowgilrs ont pris leur revanche après la guerre 39-45. Elles ont organisé des rodéos réservés exclusivement aux personnes de leur sexe. Modifiant et adaptant les règlements du rodéo selon leurs propres exigences, elles ont créé une association (la "Girls Rodeo Association") pour défendre et promouvoir leurs intérêts. Cette association est l'ancêtre de la "Women's Professional Rodeo Association" qui régit maintenant leurs activités. Le métier de cowgirl de rodéo est un peu en déclin ces dernières années. Les coûts de participation aux rodéos (notamment le transport et l'entretien des chevaux) ont beaucoup augmenté alors que la valeur des bourses remises aux gagnantes des épreuves de rodéo ne suffit plus à équilibrer leur budget. Seules celles qui ont la "vocation", et suffisamment de persévérance, continuent à courir les rodéos un peu partout dans l'Ouest nord-américain. Elles ont aussi bien souvent le support de leur conjoint ou de proches parents qui pratiquent aussi le même métier. Que l'on soit favorable ou indifférent à leur cause, il serait dommage d'assister à la disparition des vraies cowgirls. Mais si jamais cela se produisait, il nous resterait quand même leurs "caricatures", ces belles cowgirls sans cheval mais si agréables à regarder, dans les magazines ou les lieux publics de cette Amérique profonde nimbée de rêves et de légendes mythiques.

Quoi de mieux que la chanson "American Honey", du fameux groupe country Lady Antebellum pour accompagner ce diaporama des plus belles cowgirls américaines. Un régal pour les oreilles et les yeux !

dimanche 2 octobre 2011

DES BAVAROISES DE TOUTES LES RACES ET DE TOUTES LES COULEURS À L'OKTOBERFEST DE MUNICH !!


Un peu partout dans le monde, en berçant leur poupée, des millions de fillettes rêvent d'être des princesses. Des princesses ravissantes dans leur robe splendide, ornées de brillants et de bijoux. De jolies princesses dotées de pouvoirs magiques, vivant dans un univers enchanté. En vieillissant, ces rêves s'estompent dans la réalité moins poétique de la vie quotidienne. Mais au mois d'octobre, ce rêve redevient possible grâce à l'Oktoberfest ! Que ce soit à Munich en Allemagne, là où a commencé cette grande fête populaire il y a 200 ans, ou que ce soit dans l'un ou l'autre des nombreux pays où on a copié ce concept de festival de la bière, des filles ou des femmes de toutes les couleurs et de toutes les races vivent leur rêve de princesse aussitôt qu'elles se glissent dans leur dirndl, les fameux costumes traditionnels des bavaroises. Si ces tenues possèdent des caractéristiques bien définis, elles sont pourtant très variées à cause du choix infini de couleurs, de tissus, d'ornements, et de la façon de les porter ! Et ce rêve de petite ou de grande fille pourrait devenir un véritable conte de fée si, par hasard, ces nouvelles princesses des temps modernes rencontrent une ou plusieurs des célébrités qui fréquentent cet évènement international. Qui sait si le prince charmant ne va pas se trouver dans la joyeuse foule qui les entoure ?!



Encore une fois cette année, l'Oktoberfest de Munich a été un succès retentissant ! La semaine dernière, le maire de la ville, ainsi que les organisateurs de cette super fête de la bière ont dressé un bilan fort satisfaisant des activités qui ont pris fin le 3 octobre. Quelques 6,9 millions de visiteurs ont participé à cet immense "happening". Ils ont englouti pas moins de 7,5 millions de litres de bière. En cette période d'incertitude économique, les maîtres d'oeuvre de l'Oktoberfest craignaient un peu la réaction des participants car ils avaient haussé le prix du bock de bière (minimum un litre) à $ 12 l'unité. Apparemment, cette augmentation de coût n'a pas suscité trop de grogne parmi les consommateurs... Mais elle explique peut-être pourquoi 226 000 clients ont été arrêtés par des agents de sécurité en tentant de quitter les lieux de la fête avec le verre dont ils avaient si chèrement payé le contenu ! À ce prix-là, se sont-ils dits, le coût du verre vide devait être compris dans la facture ! L'an passé, d'ailleurs, tout le système de sécurité a été renforcé pour prévenir les vols, les bagarres et les agressions sexuelles. Comme quoi, le conte de fée peut parfois se transformer en cauchemar pour certaines princesses vulnérables... Malgré ces mesures de prudence, 58 batailles à coup de bocks de bière ont éclaté cette année dans les tentes géantes pouvant contenir chacune 10 000 convives. Six de ces altercations impliquaient des représentantes du sexe féminin... Les autorités de l'Oktoberfest redoutaient même des attentats terroristes à la voiture ou au camion piégé. C'est la raison pour laquelle elles ont fait installer 170 blocs de béton autour du site des célébrations.



Avec un achalandage monstre comme celui de l'Oktoberfest de Munich, les problèmes de bouchons de circulation sont énormes, non seulement sur le réseau routier environnant, mais dans les toilettes qui desservent le site des festivités. Les fêtards ne s'y rendent pas uniquement pour soulager leur vessie, mais aussi pour y tenir des conversations téléphoniques sur leur cellulaire, dans un coin plus tranquille, à l'écart du bruit ambiant. Ces téléphones mobiles, on en dénombre d'ailleurs beaucoup (390 en 2011) dans la longue liste des objets perdus lors du festival. Cette liste comprend entre autres choses : des passeports (1 045), des portefeuilles non réclamés (520), des trousseaux de clefs (425) et des cartes d'identité. Si ces pertes peuvent occasionner des ennuis à leurs propriétaires, elles ne sont pas comparables au drame des enfants perdus (48) qui ont heureusement tous été retrouvés par leurs parents. Certains observateurs diront à la blague, que l'Oktoberfest de Munich est le meilleur endroit au monde pour se perdre quand on est enfant. Surtout si en attendant de retrouver vos parents, vous êtes consolés et chouchoutés par quelques jolies bavaroises dont vous aurez éveillé le fort instinct maternel !



Sur le site d'un évènement si gigantesque, où la consommation de produits de toutes sortes atteint des proportions incroyables, la gestion des vidanges n'est pas le moindre des problèmes. Chaque année, on ramasse environ 100 tonnes de déchets recyclables et 663 tonnes de déchets non recyclables. Et en faisant la cueillette de ces rebuts, les éboueurs "tombent" parfois sur une ou l'autre des "victimes" d'ivresse sévère, plongées dans un coma éthylique (777 en 2011) après avoir abusé des boissons alcoolisées. On les retrouve souvent couchées par terre ou en train de vomir dans les espaces verts bordant les lieux du festival. De plus en plus de ces personnes trop enivrées sont des femmes. Ces dernières années, elles consomment en effet davantage de bière, et on sait que, de par leur constitution physique, elles supportent moins bien l'alcool que les hommes. Les brasseurs de bière ont bien noté cette tendance de consommation à la hausse chez ces dames. Certains producteurs songent même à créer des bières spécialement destinées à la gent féminine. On parle même de bières roses ! De la bière rose ? Hiiiiiiii ! Allons donc ! Soyons sérieux !



Voici un montage audio-visuel montrant ces belles bavaroises, authentiques ou improvisées, qui vous en fera voir de toutes les couleurs, au rythme des chansons allemandes typiques de l'Oktoberfest. Peu importe leurs origines et leur nationalité, ces femmes de tous les pays ont la chance de concrétiser leurs rêves de princesse, dans la joie et la communion des coeurs ! N'est-ce pas justement cela que l'on fête et que l'on doit célébrer à l'Oktoberfest ?! Pour donner une idée de l'ambiance du tonnerre qui règne au cours de ce grand rendez-vous annuel, j'ai aussi joint une vidéo où on voit tout le monde s'éclater à l'occasion de cet important party. Trop de monde ? Peut-être aux yeux de certaines personnes... Mais plus il y a de fous, plus on s'amuse, non ?







lundi 11 juillet 2011

BYE BYE HUGH HEFNER : CRYSTAL HARRIS FÊTE SON MARIAGE "DÉCOMMANDÉ" !!!


Craignant de "subir" une existence enrégimentée, dans une perpétuelle ambiance de foire, la "playmate" Crystal Harris a tout simplement décommandé son mariage avec Hugh Hefner, le fondateur et éditeur de l'empire PLAYBOY, cinq jours seulement avant la cérémonie qui était prévue pour le 18 juin dernier. Soudainement, la pensée de vivre au domaine du vieil homme de 85 ans, entourée constamment d'une douzaine de ses copines en petites tenues, ne souriait plus à la blonde américaine de 25 ans, native de l'Arizona. Le jour même où elle annonçait la nouvelle de cette volte-face, Harris, qui avait été Miss Décembre 2009 dans la célèbre revue de Hefner, lançait son premier simple, CLUB QUEEN, à titre de chanteuse. Elle suivait ainsi les traces de son père Ray, lui-même chanteur et auteur de chansons, qui, en compagnie de sa femme, avait émigré aux USA à partir de l'Angleterre, avant la naissance de leurs enfants. Et le soir du 18 juin, au lieu de célébrer ses noces avec Hefner, Crystal en fêtait plutôt l'annulation avec des amis, dans une boîte de nuit de Hollywood. Holly Madison, ancienne amie de Hefner, qui a déjà été en vedette dans la série télévisée THE GIRLS NEXT DOOR, produite par PLAYBOY, n'a pas apprécié le comportement de Crystal Harris. Selon elle, celle qui devait devenir la troisième épouse de Hefner, aurait dû se garder une petite gêne !



Le "hic" dans cette histoire, c'est que le numéro de juillet de PLAYBOY était déjà imprimé et distribué quand le projet de mariage entre Harris et Hefner a avorté... En première page du fameux magazine on présentait officiellement la nouvelle Madame Hefner, presque totalement nue, bien entendu ! Qu'à cela ne tienne, les responsables de la publication ont envoyé des auto-collants aux marchands de revues pour qu'ils coiffent le magazine de la mention "the runaway bride" ("l'épouse qui a déserté" !). Par la suite, Crystal, qui a déjà étudié en psychologie à l'université San Diego State, a rencontré Hugh afin de lui remettre la bague de fiançailles (un diamant de $ 90 000 !) qu'il lui avait offerte. Bon prince, Hefner lui a dit de la garder, tout comme la voiture de luxe de marque Bentley qu'il lui avait aussi donnée. Par contre, le vieil homme a été soulagé de récupérer Charles, le chien du couple, dont il s'ennuyait énormément. Même s'il ne comprend pas pourquoi sa dulcinée a rompu sa promesse de mariage, Hefner a déclaré que lui et Crystal demeuraient des amis proches.



Somme toute, Hefner a pris cette déconvenue avec philosophie, en se disant que le célibat était peut-être sa meilleure option. Pour se consoler, il a invité deux autres superbes femmes à le rejoindre dans son riche domaine. Il s'agit de Anna Sophia Berglund et de la franco-ontarienne (Canada) Shera Béchard, dont il dit qu'elle est désormais sa nouvelle copine. En apprenant la nouvelle, Crystal Harris, qui en plus d'être chanteuse est aussi mannequin et comédienne à temps partiel (apparitions à la télé dans un épisode de THE GIRLS NEXT DOOR et dans THE HILLS), a avoué être un peu vexée, mais pas surprise (!), d'avoir été remplacée si rapidement par Hefner. C'est la vie ! Et elle change tellement vite à Hollywood !

samedi 4 juin 2011

ALICIA MACHADO A BIEN PRIS SA REVANCHE SUR DONALD TRUMP...


Les réseaux sociaux, les Face Book et Twitter de ce monde, ont pris une importance démesurée ces dernières années. Un grand nombre de personnes semblent vouloir jouer à la vedette ou cherchent "à se tirer du grand" en étalant les détails de leur vie privée devant une foule "d'amis(es)" qu'ils ne connaissent pratiquement pas. Souvent, certaines révélations peuvent avoir des conséquences insoupçonnées. Votre employeur, par exemple, pourra vous congédier à cause d'une remarque désobligeante à son égard. Remarque que vous avez exprimée sur votre réseau d'amis, sans penser que votre patron pourrait en être informée. On en est venu à ignorer de précieux et sages adages comme : «La parole est d'argent, mais le silence est d'or». Ou bien : «Les paroles s'envolent mais les écrits restent».


Les vraies vedettes qui écrivent sur de tels réseaux dans le but d'accroître davantage leur popularité, ou parce que "les autres le font", peuvent encore moins écrire n'importe quoi. Prenez l'exemple de l'actrice, chanteuse, mannequin et "playmate" vénézuélienne Alicia Machado (photo ci-dessus). En "twittant" ou en gazouillant, elle a exprimé le souhait que les deux Chines fassent la paix. Tout le monde a compris qu'elle aurait plutôt dû parler des deux Corées. On ne lui a pas pardonné son erreur et l'ex-Miss Univers 1996 a été abreuvée d'insultes et de commentaires méchants. "Dinde", "conne", "ignorante", tous les mots blessants ont été employés pour la condamner. Tellement que la reine de beauté, âgée de 34 ans, a été dans l'obligation de fermer son compte twitter. Il n'y a pas si longtemps pourtant, l'ex-candidate à la vice-présidence des États-Unis, Sarah Palin, a erré elle aussi sur des points "géographiques", et ce en pleine campagne électorale. Cette gaffe ne l'empêchera pas prochainement de briguer à nouveau les suffrages, cette fois à titre de candidate à la présidence américaine. Et, après tout, pour venir à la défense de madame Machado, il y a bien deux Chines si on considère l'existence de Taïwan, une île et un état en marge de la Chine continentale ! Et les deux entités n'ont jamais eu des relations très cordiales...



Si Alicia Machado était aussi idiote que plusieurs de ses détracteurs le prétendent, elle n'aurait pas connu autant de succès en menant habilement plusieurs carrières parallèles. Car, comme elle l'a signalé en entrevues, il ne suffit pas d'être belle pour réussir dans le show business. Il faut surtout du talent, du travail acharné, une bonne préparation. Selon cette ancienne Miss Vénézuela (1995) originaire de Maracay : «la beauté est seulement un aspect d'une personne, elle est temporaire; mais votre esprit, lui, vous guide pendant toute votre vie.» C'est pourquoi elle dit que, chaque jour, elle cherche à s'améliorer intellectuellement. Cette image de femme fatale, sensuelle, sexuelle et superficielle, Alicia la traîne depuis ses dix-neuf ans, soit depuis son couronnement à titre de Miss Univers. Bien que les observateurs du déroulement de ce fabuleux concours ont certifié qu'elle avait dominé ses concurrentes, la jolie brune a été très étonnée de sa victoire. C'est quelques semaines après son triomphe qu'une controverse a éclaté au sujet de son poids. En peu de temps, elle a engraissé de vingt livres. Appelée à voyager dans plusieurs pays et bousculée par un horaire chargé, Machado a perdu ses points de repère, sa discipline et ses bonne habitudes alimentaires. Les autorités en charge du concours Miss Univers ont même songé à la déposséder de sa couronne avant qu'elle parvienne finalement à réduire un peu son embonpoint. Par-dessus le marché, entre-temps, le milliardaire Donald Trump était devenu propriétaire des droits du réputé concours de beauté. C'est lui qui devait organiser la présentation de ce prestigieux évènement l'année suivante (1997). Il va sans dire qu'il n'était guère enchanté de voir l'image de marque du concours être endommagée par les nouvelles "rondeurs" de la Miss Univers en titre. De passage à la populaire émission de radio du coloré animateur new-yorkais Howard Stern, Trump ne s'est pas gêné pour traiter Machado de "machine à manger" ("eating machine").



Loin de lui nuire et de la faire passer pour une irresponsable, ces attaques et cette controverse ont bien servi Alicia en attirant l'attention sur elle. Toute cette publicité l'a aidée à se faire connaître et à se distinguer du "lot" des autres gagnantes de concours de beauté. D'un seul coup, beaucoup de portes se sont ouvertes devant elle : offres pour participer à des séries télévisées, des télé-réalités, des émissions de variétés, des romans savons, des films... Des agences de mannequins lui font des propositions, tout comme des patrons de magazines qui désirent voir ses photos embellir leurs revues et leurs calendriers. On l'invite même à enregistrer un album de chansons. Soudain, comme par enchantement, tous les projets et les rêves qu'elle avait voulu faire ou réaliser depuis son enfance, semblent devenir possibles. Ils sont à sa portée au moment même où elle devient une femme. Et quelle femme ! Ses huit années à suivre des cours de danse (commencés alors qu'elle avait à peine quatre ans), la passion pour la musique qui a enflammé son adolescence, ses brèves études en administration et en droit (abandonnées après quinze mois), ses premières expériences en tant que mannequin et ses petits rôles initiaux dans des messages publicitaires l'auront donc conduite à ce tremplin qu'est le titre de Miss Univers. Le secret de son succès : une beauté envoûtante présentée avec une touche de sensualité dépourvue de vulgarité; une présence imposante qui fait vibrer toutes les fibres de sa féminité et qui captive tous les regards qui se posent sur elle; une chaleur torride qui émane des formes voluptueuses de son corps et qui embrase les sens de tous les hommes sur son passage...





Après son année de règne en qualité de Miss Univers, les rôles s'enchaîneront dans les séries télévisées et les télé-réalités, non seulement en Amérique latine mais en Europe. Sa performance dans le roman savon SAMANTHA (1998), à la télévision vénézuélienne, lui vaudra le prix de meilleure nouvelle actrice (ACE award). Mais en 2005, en Espagne, alors qu'elle participe à la télé-réalité intitulée THE FARM, une autre controverse éclate lorsqu'elle est filmée en train d'avoir une relation sexuelle avec un participant. On raconte que cet épisode sulfureux a causé sa rupture amoureuse avec le joueur de baseball professionnel Bobby Abreu qui, semble-t-il, souhaitait la fiancer. Plongée dans le tourment de cette nouvelle polémique, Alicia Machado a précisé plus tard qu'elle avait rompu avec Abreu avant cette histoire de sexe dans THE FARM. Amère, elle a ajouté que si c'était Abreu qui avait eu une telle aventure, on en aurait pas fait de cas, parce que tout semble permis aux hommes. Mais dans la mentalité des mâles latino-américains, c'est impardonnable qu'une femme se conduise aussi librement.






Encore une fois, cette esclandre crée des remous qui attirent les projecteurs sur elle. Cet autre coup publicitaire a peut-être contribué à lui ouvrir les pages de PLAYBOY. En effet, en février 2006, Alicia devient la première ex-Miss Univers à poser nue pour le magazine de Hugh Hefner. Elle le fait d'abord dans la version mexicaine puis, l'année suivante, dans l'édition originale américaine. Ne manquant pas de culot, et en savourant sans doute une douce revanche, elle dédie ces photographies splendides à Donald Trump, un puissant de ce monde, celui-là même qui l'avait qualifiée de "eating machine" dix ans plus tôt. Au cours des dernières années, la passion de la vedette sud-américaine pour la musique a pris plus d'importance dans sa vie professionnelle, elle a enregistré un second album de chansons et elle se produit en spectacle avec de plus en plus d'aplomb. Il y a trois ans, elle a interrompu ses projets de télé, de théâtre et de cinéma afin de donner naissance à son premier enfant, la petite Dinorah Valentina. Et, bien entendu, cet évènement a suscité un autre débat lorsque certaines sources d'information, citant le procureur général, ont rapporté que le père de cette petite fille était un baron de la drogue, Gerardo Alvarez Vasques. En conférence de presse, Machado a démenti cette nouvelle en affirmant que c'était plutôt l'homme d'affaires Rafael Hernandez Linares qui avait fait d'elle une mère.





Aujourd'hui, Alicia Machado vit à Mexico. L'an dernier, on lui a rendu hommage pour ses nombreuses réalisations dans plusieurs domaines de l'industrie du spectacle en lui faisant graver l'empreinte de sa main dans le PASEO DE LAS LUMINARIAS, l'équivalent mexicain du trottoir des célébrités à Hollywood (Walk of Fame). Elle intimide toujours les hommes par son immense pouvoir de séduction. Comme type de représentants de la gent masculine, Alicia dit préférer les Argentins, les Italiens, les Mexicains et les Espagnols. Ce que ses admirateurs trouvent le plus "sexy" chez elle ? Son sens de l'humour et... son derrière. Sa propre réponse à cette question ? Elle juge plutôt que c'est son sourire ainsi que ses jambes qui séduisent davantage ces messieurs... On se demande bien ce que Donald Trump en pense...


mercredi 4 mai 2011

JAYDE NICOLE : UNE "PLAYMATE" CANADIENNE QUI FAIT DES SIENNES À HOLLYWOOD...


Maintenant, la resplendissante et très sexy Jayde Nicole doit croire au concept moderne de "Village Global", en plus de croire en sa bonne étoile. Elle sait que la mondialisation n'est pas qu'une idée floue ou une légende. Dans le monde d'aujourd'hui où les moyens de communications sophistiqués ont aboli les distances et fait sauter les barrières entre les nations, tout est possible, même l'impensable. C'est ainsi qu'une fille, issue d'un milieu modeste et conservateur, qui a grandi dans une petite municipalité de l'Ontario, peut, du jour au lendemain, devenir une vedette sur la planète Hollywood, au coeur du show business international. Pour chercher une explication à ce destin incroyable, qu'il suffise d'ajouter que pour accéder à ce statut de star de la mode et de la télévision américaine, Jayde Nicole a simplement envoyé quelques photos d'elle à une revue. Pas n'importe quel magazine toutefois puisqu'il s'agissait de PLAYBOY !



Bien sûr, pour en arriver là, celle qui, en 2008, est devenue seulement la troisième Canadienne dans l'histoire (après Dorothy Stratten en 1980 et Shannon Tweed en 1982) à mériter le titre de "playmate de l'année" de la célèbre publication de Hugh Hefner, avait tout de même quelques références à son curriculum vitae. D'abord, depuis l'âge de six ans, Jayde avait fait ses preuves en tant que mannequin, en tournant des commerciaux pour la télé, en participant à des spectacles de mode et en posant pour des catalogues canadiens. Déjà à cette époque, qu'une petite fille, aussi mignonne et aussi belle qu'elle puisse être, devienne un modèle dans un coin aussi peu connu que Port Perry, cela relevait de l'exploit ! Là-bas, dans ce territoire nordique, la mode se limitait pas mal aux costumes de motoneiges ! D'ailleurs, dès sa tendre enfance, refroidie par des hivers toujours trop longs, la fillette économisait tous ses sous en rêvant de pouvoir un jour se payer un voyage sur les plages, au chaud soleil de Hawaï... Malgré ses humbles origines, la jeune Jayde était bien en avance sur son âge et sur son milieu social. Elle ne se contentait pas d'habiller ses poupées. Elle avait des idées bien arrêtées sur la façon de se vêtir. On raconte qu'elle aimait décider elle-même de quels vêtements serait constituée sa garde-robe.



Jayde Nicole était loin d'être malheureuse dans son petit coin de pays, bien au contraire, elle en appréciait la tranquillité et le décor paisible. Mais si un bon soir de 2001, alors qu'elle avait quinze ans, elle n'était pas allée à ce concert au Air Canada Centre de Toronto, sa carrière n'aurait peut-être jamais pris son véritable envol. C'est en sortant de cet immense amphithéâtre qu'un éclaireur d'une agence de mode de Toronto la remarque. Jayde est engagée par cette agence et c'est en travaillant dans la métropole canadienne qu'elle fait des pas de géant dans le métier de mannequin. Beauté sexy précoce, sportive à ses heures (elle est une bonne joueuse de volley-ball), mademoiselle Nicole est également une jeune femme de tête et une entrepreneure dans l'âme. Quelques années plus tard, en 2005, elle possède et gère sa propre agence de mannequins, "A Touch of Class", chez elle, à Port Perry. À vingt ans, la jolie brune aux yeux noisette (mensurations : 34C - 24 - 35, taille : 5' 9", poids : 117 livres) est bien au fait des possibilités qui s'offrent à elle dans ce métier qu'elle exerce depuis déjà quatorze ans. Des connaisseurs dans son entourage professionnel lui font comprendre qu'elle aurait bien tort de ne pas profiter pleinement de son physique exceptionnel pour faire avancer sa carrière. Un jour ou l'autre, lui dit-on, des patrons de l'industrie lui demanderont de poser nue dans des magazines pour hommes. Tant qu'à le faire, on lui conseille de tenter sa chance avec les meilleurs pros dans le domaine, ceux de PLAYBOY. Lorsque Jayde parle de cette possibilité aux gens de sa famille et de sa petite localité, sa mère ainsi que la mairesse de la place lui font part de leurs réticences. Elle décide quand même d'envoyer quelques photographies de son porte-folio en Californie, aux bons soins des responsables du personnel de Hugh Hefner.



Peu de temps après, les gens de PLAYBOY lui demandent de s'amener à Los Angeles pour les rencontrer. Jayde ne connaît la revue que de nom. Elle n'en a jamais feuilleté un exemplaire. Lorsqu'on la complimente en lui confiant qu'elle possède une beauté très spéciale, elle ne sait que penser. En fait, elle se demande si ce n'est pas ce que l'on dit à toutes les filles qui intéressent ces hommes d'affaires. Mais dans son cas, il y a fort à parier que les déclarations des experts ne sont pas de simples paroles en l'air. Outre une silhouette presque parfaite, faite de courbes et de rondeurs idéales, le joli minois de la Canadienne de même que ses yeux de feu, découpés en amandes, et légèrement asymétriques, la distinguent des autres candidates. Face au gigantisme américain, étant données sa personnalité de type conservateur et les objections de certaines personnes de son entourage, Jayde est à la fois nerveuse, impressionnée et intimidée lorsqu'elle se présente à sa première séance de photos en tenue d'Ève, dans la capitale du "vice". Mais les pros de PLAYBOY la mettent rapidement à l'aise et ça se passe plutôt bien, pour une première expérience du genre. Les résultats sont fabuleux et, de retour chez elle, il suffit qu'elle montre ces clichés à ces proches qui n'étaient guère favorables à son projet, pour balayer instantanément leurs doutes. Renversée par le travail des photographes professionnels de PLAYBOY, la mairesse de Port Perry reconnaît que les photos de Jayde sont de véritables oeuvres d'art ! C'est pourquoi on ne s'étonne guère en apprenant qu'elle est consacrée "playmate" du mois de janvier 2007. Lorsque ce numéro de PLAYBOY est publié, les responsables du magazine reçoivent une avalanche de commentaires élogieux de la part des lecteurs au sujet de cette Canadienne aux charmes si singuliers. L'abondance et la nature de ces remarques flatteuses sont des indications qui ne trompent pas. Les gens de PLAYBOY en ont vu bien d'autres, et elles sont habituées à jauger rapidement les réactions du public. Dès lors, elles savent que Jayde Nicole a toutes les chances de s'emparer du titre de "playmate" de l'année 2008. Mais la jeune femme de 21 ans n'est pas du même avis, croyant que sa nationalité canadienne l'empêchera de triompher. Après tout, ça fait une éternité qu'une fille du pays n'a pas gagné... C'est ainsi que l'annonce de sa victoire la surprend totalement, tout autant que le prix de $ 100 000 et la Cadillac CTS de l'année qui viennent avec cette récompense inespérée. De plus, Jayde aura le privilège de vivre pendant six mois au fastueux domaine du grand patron de PLAYBOY Hugh Hefner.



Ce succès et ce coup publicitaire extraordinaires propulsent sa carrière de mannequin vers de nouveaux sommets. On la réclame partout afin qu'elle pose pour une multitude de calendriers et de revues prestigieuses comme Sports Illustrated, FHM, Elle, Cosmo, UMM, Vegas Mag, etc. La télévision lui offre des contrats pour apparaître dans des séries comme El's, The Girls Next Door, Million Dollar Poker Challenge, Family Fued, Bromance... Mais c'est son rôle de "bitch" dans la télé-réalité THE HILLS qui en fera une star et une résidente de West Hollywood, bien loin de Port Perry, même si elle prétend représenter non seulement PLAYBOY mais le Canada tout entier ! Elle qui rêvait de voyages et d'évasions pour découvrir toutes les cultures, voilà que sa renommée et son travail l'amènent à visiter des endroits comme la Grèce, Dubai, l'Australie, Londres, l'Irlande... Elle adore aussi se retrouver au soleil, à St-John Island dans les Îles Vierges. Jayde y est heureuse, entourée de palmiers, de sable blanc et de l'océan, même si elle a une peur maladive de l'eau ! Elle jure qu'un jour elle apprivoisera cet élément naturel... Elle n'a jamais vraiment songé à faire un autre métier que celui de mannequin, sa hantise étant d'avoir à passer sa vie derrière un bureau ! Sauf que maintenant, puisqu'elle est tellement sollicitée un peu partout, elle voyage presque trop et elle est très contente de pouvoir parfois revenir goûter à la vie paisible de Port Perry ! D'autant plus que la vie trépidante de Hollywood n'est pas reposante. Fille de party, Jayde Nicole fréquente assidûment les nombreuses boîtes de nuit de son deuxième chez soi, un milieu où la jalousie foisonne et où les aventures amoureuses sont brèves et se succèdent à un rythme fou... Certaines personnes confondent peut-être trop son rôle antipathique de "bitch" dans THE HILLS avec sa vraie personnalité. Ce qui lui vaut parfois certaines inimitiés et quelques ennuis. Comme il y a deux ans, alors qu'elle a été agressée et battue par Joe Francis dans un club de Hollywood. Une entente hors cour a mis fin à une poursuite judiciaire de un million de dollars intentée par Nicole contre son agresseur. Celui-ci l'aurait empoignée par derrière, par la chevelure, avant de la projeter au sol devant plusieurs témoins. L'ex-amant de Jayde, Brody Jenner, se serait porté à sa défense en se battant avec Francis.



Sur le plan personnel, Jayde Nicole aime la musique, mais pas le country. Elle préfère le rock. Un de ses groupes favoris est Rise Against. Après avoir renoncé à jouer de la batterie, elle tente actuellement d'apprendre à jouer de la guitare mais elle avoue que ses progrès sont très lents. L'amitié compte beaucoup dans sa vie. Elle dit s'investir énormément dans ses relations avec ses ami(e)s et elle exige un engagement semblable de leur part envers elle. À la fin de son adolescence, après une histoire d'amour qui a mal tourné et dont elle est ressortie meurtrie, elle s'était bien jurée qu'on ne la maltraiterait plus de cette façon. C'était avant qu'elle devienne célèbre. Têtue et n'écoutant pas les conseils de ses proches, elle décida de se faire tatouer le mot "RESPECT" sur le bas ventre pour marquer sa promesse de ne plus être blessée dans sa dignité de femme. À cette époque, l'agence de mannequins qui l'employait avait accepté ce coup de tête à condition que le tatouage ne soit pas visible lorsqu'elle était en bikini. Jayde ignorait alors qu'elle poserait nue dans le futur et que les bikinis rapetisseraient au point où ils sont aujourd'hui ! Elle déteste être reconnue dans des lieux publics comme les centres commerciaux parce qu'elle néglige justement son apparence physique et vestimentaire en croyant qu'ainsi on ne la reconnaîtra pas ! Mais les gens la reconnaissent quand même et se font photographier en sa compagnie même si elle est loin d'être à son mieux. Ça la choque. Pas parce qu'elle n'aime pas ses admirateurs et ses admiratrices, mais parce qu'ils la prennent en défaut alors qu'elle est mal coiffée, sans maquillage, et mal habillée... Elle se fait un devoir de répondre aux fans qui lui écrivent sur son site web. Beaucoup d'entre eux veulent connaître ses secrets de beauté. Tellement que Jayde a décidé d'écrire un livre à ce sujet ainsi que sur le conditionnement physique. Elle est végétarienne depuis l'âge de quatre ans. Elle mange surtout des fruits et des légumes. Pas de "fast food" ou de "junk food". Seulement un peu de chocolat noir pour se gâter un peu. Pour boissons : du thé vert, de l'eau et du GoYin. Elle n'aime pas le champagne... Même si elle sait qu'on ne la croit pas, la top model répète toujours qu'elle est naturelle à 100%. Pas de plastique, pas d'implants. Elle affirme que sa poitrine, dont la beauté trouble les hommes et fait l'envie de bien des femmes, s'est développée naturellement après son treizième anniversaire de naissance. L'ex-playmate s'implique dans plusieurs oeuvres de charité et elle est spécialement dédiée à la cause des animaux maltraités. Elle oeuvre souvent dans des organismes comme PETA, Ace of Hearts et la SPCA. Toujours célibataire, Jayde partage d'ailleurs sa vie avec un petit chien qu'elle adore et qui la suit partout. Parmi ses projets d'avenir, elle aimerait ouvrir son propre Spa. On peut admirer la sublime Jayde Nicole sous toutes ses coutures dans le montage ci-dessous, au son de la musique de Cosmosis. Une pièce appropriée qui a pour titre NAKED CHICKS !





Puis, dans une entrevue amusante réalisée en Irlande par Podge et Rodge, Jayde révèle des secrets croustillants qui font défaillir ses interlocuteurs !


lundi 21 février 2011

AU-DELÀ DE SON IMMENSE SUCCÈS COMME TOP MODEL, GEMMA ATKINSON SE CONCENTRE MAINTENANT SUR SA CARRIÈRE D'ACTRICE...


Il y a quelques semaines, quand la top model anglaise Gemma Atkinson a annoncé qu'elle désirait désormais privilégier sa carrière cinématographique et ne plus poser presque nue pour des magazines pour hommes (FHM, Loaded, Maxim, Zoo, Nuts), ses très nombreux admirateurs étaient un peu sceptiques. Les succès retentissants que la jeune femme de vingt-six ans a remportés comme mannequin de lingerie féminine (La Senza, Ultimo's, DG range) ces dernières années, et les ventes records de ses calendriers de photos sexy ne laissaient pas croire à une telle décision de sa part. Mais depuis le début de l'année 2011, c'est un fait que, contrairement à ce qu'ils ont connu dans le passé, les Britanniques n'ont vu de leur célèbre compatriote que des images ou des apparitions publiques où elle apparaît en version... habillée ! Et "Gem" ou "Gemmy", comme se plaisent à l'appeler familièrement ceux et celles qui l'aiment, ne manque pas de répéter que c'est pour être prise au sérieux qu'elle a choisi de mettre en veilleuse sa "glamoureuse" carrière de top model. Orienter sa vie professionnelle vers le métier d'actrice lui semble désormais la meilleure voie de valorisation et d'enrichissement pour son développement personnel. Comme la plupart des personnes qui connaissent du succès, Gemma Atkinson a sans cesse besoin de nouveaux défis et déteste la routine ou la stagnation.


Voilà pourquoi les personnes qui connaissent bien cette blonde sexy aux yeux radieux, ne s'étonnent guère de sa décision. Car, au-delà de ses apparences très "hot", Gemmy est une fille très terre à terre, possédant une dose généreuse du traditionnel flegme britannique ! C'est d'ailleurs pourquoi elle ne comprend pas que tout le Royaume Uni ait semblé développer, au fil des ans, une véritable obsession pour... sa poitrine ! Cet engouement peu ordinaire a surtout pris de l'ampleur en 2006, après que Gem ait eu recours à la chirurgie esthétique, pour augmenter le volume de ses seins, grâce à des implants mammaires. En fait, c'était une façon pour elle de récupérer ce qu'elle avait perdu. L'histoire commence au tournant du millénaire quand sa mère, prétextant une visite chez le dentiste, réussit à amener son adolescente dans une agence de mannequin. Plutôt du genre "garçon manqué" et très sportive, Gemma n'était guère intéressée, contrairement aux filles de son âge, à passer des heures devant son miroir à se maquiller et à se pomponner. Elle préférait de loin pratiquer des sports d'équipes comme le hockey, faire de la natation ou s'exercer à la course à pied, plutôt que de feuilleter des revues à potins ou des magazines de mode... À ses dires, elle était même plus musclée que les gars de son école ! Pourtant cette visite imprévue et involontaire dans cette agence anglaise changera rapidement sa vie. Dès l'année suivante, alors qu'elle n'a que dix-sept ans, Atkinson se retrouve dans une populaire télé-réalité intitulée HOLLYOAKS. La série cartonne, et ses nombreuses suites mettent de plus en plus Gemma en valeur et en vedette. Elle atteint vite un niveau de célébrité qui ne cessera plus de grandir.


Ainsi exposée aux regards du grand public, et à ceux encore plus "intéressés" des patrons de revues masculines, il va sans dire que sa grande beauté, et son statut de vedette de la télé, lui valent d'être approchée tout de suite par les gens de l'industrie de la mode et du show business. Mais la charmante jeune femme de 5'9", originaire de Bury près de Manchester, trouve qu'elle a un visage un peu trop joufflu et un ventre un peu trop potelé pour poser devant les caméras des magnats de la presse spécialisée dans la lingerie ou les photos de femmes sexy. Elle se met résolument à l'entraînement, un entraînement intensif comparable à celui des boxeurs, pour perdre les kilos superflus. Dans le processus, son buste fond également et sa grandeur de soutien-gorge passe de 34D à 34B. Gemma ne se serait guère formalisée de ce changement, mais pour les besoins de son nouveau métier, elle a jugé bon de recourir à la chirurgie afin de recouvrer ses "attributs" féminins d'avant. Très peu pour elle les mannequins squelettiques de la mode actuelle. À ses yeux, ses consoeurs maigres qui se privent de manger dans le seul but de garder leur ligne, ont plutôt l'air malades et sont à plaindre.


Dès les premières semaines qui suivent son opération, Gem est surprise des réactions et de l'impact que ses nouveaux "atouts" provoquent. Que ce soit dans l'opinion publique, dans les médias, ou dans son entourage, sa poitrine "remodelée" fait jaser et fait couler beaucoup d'encre. On parle de ses seins "massifs" qui doivent bien pousser ses mensurations dans le double F ! Il est vrai que l'enflure causée par l'ajout des implants contribuent pendant quelque temps à fausser les impressions. Les jeunes hommes de la famille Atkinson osent à peine jeter un coup d'oeil gêné sur les "appâts" redimensionnés de leur Gemmy. "Wo ! Qu'ils sont gros !" disent-ils, en baissant les yeux et en s'excusant presque de les garder ouverts. Lors de ses sorties dans les clubs de nuit, toutes ses amies, et même des inconnues de son âge, qui la croisent ou la reconnaissent lorsqu'elle va aux toilettes, lui demandent si elles peuvent "les" voir. Loin d'être prude, Gemma acquiesce naturellement à leur demande. Même chose en ce qui concerne ses camarades de travail masculins qui, poussés par la curiosité, demandent à tâter délicatement une petite partie de sa poitrine pour savoir si c'est bien vrai ce qu'on dit à propos de la dureté des seins refaits. Gem souligne que dans son cas, puisque les implants ont été insérés derrière les tissus naturels de ses seins, ceux-ci ont une consistance parfaitement normale. La même folie obsessionnelle fait rage du côté des journalistes qui, durant les entrevues qu'elle leur accorde, posent la moitié de leurs questions sur ce sujet... Ils veulent tout savoir. Doit-elle marcher un peu par en arrière ? A-t-elle des maux de dos ? Peut-elle voir ses pieds quand elle se tient debout ? Lequel de ses deux seins aime-t-elle le plus ? Ils n'en finissent plus d'approfondir ce dossier qui leur semble existentiel ! Les Anglais ont la réputation d'être un peuple de nature réservée, parfois même indifférente. C'est pourquoi Gemma ne comprend pas pourquoi ils font de l'élargissement de son buste une affaire d'État ! Elle trouve normal que les hommes soient portés à plonger davantage leur regard dans son décolleté, mais de là à en faire une maladie... Avant l'opération, son chirurgien lui avait offert le choix de quatre grosseurs d'implants. Il lui a déconseillé la première sélection qu'elle avait d'abord faite, disant que ces implants étaient trop petits pour son corps. Son deuxième choix fut également mis en doute, le docteur lui confiant qu'elle aurait l'air ridicule avec ces implants-là. Finalement, ceux qui furent utilisés ont plu à la vedette -et à ses amies qui veulent toutes en avoir !- ainsi qu'à son chirurgien. Gemma estime que ses seins ne sont pas disproportionnés par rapport à l'allure générale de sa silhouette. Dans sa famille, dont le père est écossais, les femmes sont larges d'épaules et assez robustes, sans être grasses.


Quoi qu'il en soit, même si la carrière de Gemma était déjà bien lancée après Hollyoaks et ses suites, elle explose littéralement après sa chirurgie esthétique. Toutes les portes s'ouvrent. On l'invite à participer à une foule de projets, y compris un album de chansons qu'elle écrirait et interpréterait. On la réclame pour la télévision dans toutes sortes d'émissions. Les réalisateurs de cinéma et les metteurs en scène de théâtre lui confient des rôles. Le Grand Prix de Formule 1 d'Angleterre l'associe à son image de marque pour faire de la promotion. Les agences de publicité se l'arrachent. Les compagnies de lingerie féminine l'engagent pour des défilés, des ouvertures de magasins ou des événements spéciaux visant à augmenter leurs ventes. Elle est représentante pour des firmes de jeux vidéos. À l'intérieur d'un court laps de temps, Gemmy réussit l'exploit sans précédent d'apparaître dans les principaux magazines pour hommes et de faire presque simultanément leur page couverture ! On voit ses photos partout dans les kiosques à journaux et à revues ! Elle participe à plusieurs oeuvres de charité. Bref, c'est un euphémisme d'affirmer qu'elle est en grande demande !


Vous ne serez pas surpris que Gemma Atkinson ait été sollicitée abondamment pour poser nue dans des revues comme Playboy ou Penthouse. On lui a offert des montants d'argent complètement fous ! Des fortunes qu'elle, sa mère, et son agent ont refusées parce qu'ils jugeaient que le moment n'était pas propice et que la progression de sa carrière allait très bien comme ça. Toutefois, si au cinéma, dans un scénario qui lui conviendrait bien, un réalisateur lui demandait de tourner des scènes "top less", Gem ne dirait pas non. Mais peu importe si cette occasion se présente ou pas, la belle anglaise désire se consacrer à sa carrière d'actrice, possiblement parce qu'elle trouve excessifs toute l'attention du public et tout le battage médiatique qui tournent autour de son apparence physique. Elle est peut-être lasse d'être photographiée nue, ou en petites tenues, sous tous les angles. Atkinson veut prouver qu'elle n'a pas seulement un corps de rêve. Elle veut démontrer qu'elle a d'autres talents. C'est une jeune femme très active, dynamique et confiante dans la vie. Une confiance qui a été affermie très tôt grâce à son caractère positif, à la pratique assidue de plusieurs sports dans sa jeunesse, et aux heures quotidiennes qu'elle passe encore à s'entraîner au gymnase...

Dans un prochain article sur mon blogue PROFESSION : FEMME DE PRO DU SPORT (http://professionfemmedeprodusport.blogspot.com), je vais répondre à des questions que tous les admirateurs de Gemma se posent : quel genre d'homme préfère-t-elle ? Comment peut-on l'approcher et la séduire ? Qu'est-ce qu'il ne faut PAS faire si on veut l'aborder ? Pour sa part, mademoiselle Atkinson a déjà déclaré que pour séduire un homme elle pourrait faire une danse lascive autour d'un poteau, un peu comme le font les strip-teaseuses dans les clubs de nuit. Elle s'exécuterait sur un enregistrement d'une chanson des Pussy Cat Dolls, un groupe qu'elle aime bien. J'ai justement choisi un de leurs grands succès remixés, Don'T you, pour se marier au montage photographique ci-dessous...


mardi 23 novembre 2010

LES FILLES-BONBONS DE LA NFL


La fête de l'Halloween a beau être passée depuis quelques semaines, des photographies toutes fraîches et à couper le souffle nous rappellent des moments inoubliables de cette amusante mascarade de personnages tantôt drôles, tantôt effrayants. Les cheerleaders de la Ligue Nationale de Football participent de belle façon à cette fête, à chaque automne. C'est une tradition à respecter ! D'autant plus que ces filles sexy se font encore plus jolies grâce aux couturiers américains qui rivalisent d'adresse et d'imagination pour les transformer en BELLES À CROQUER !

Défilent alors sous les yeux émerveillés des spectateurs présents aux matchs de la NFL, des jeunes femmes ravissantes revêtues de costumes aux styles fantaisistes et aux couleurs vives qui les métamorphosent en princesses, en personnages de films ou de contes, en membres des forces armées, en mignonnes fillettes, en diablesses, en pirates ou en filles-bonbons. La coupe de ces vêtements et l'agencement des accessoires qui les embellissent sont parfois de vrais chefs-d'oeuvres ! La richesse des décorations, des broderies, des dentelles, des fourrures et des fausses pierres précieuses qui ornent ces tenues "sexy" est quelque chose à voir ! Plusieurs genres de tissus sont utilisés pour faire de ces danseuses-mannequins de véritables créatures de rêve : soie, satin, lycra, taffetas, cuir, coton, paillettes, dentelle, tweed, etc. Tout un assortiment de faux bijoux, de matières plastifiées, de boutons dorés ou argentés enjolivent de charmantes épaulettes, des masques mystérieux, des bracelets étincelants, des corsages échancrés, des chapeaux aux formes audacieuses, des chevelures chatoyantes, des bas de robes aguichantes, de longues bottes "sexy" ou des souliers extravagants...

Voici quelques "portraits" de meneuses de claques que je trouve particulièrement irrésistibles. Je les ai divisés en différentes catégories... Le thème militaire ou "forces armées" est souvent repris. On connaît le fort sentiment patriotique qui anime la grande majorité des Américains. La plupart des Pom Pom Girls de la NFL sont des étudiantes d'université qui font ce boulot à temps partiel, bien que, pour bien paraître la journée des matchs, elles consacrent de nombreuses heures à leur entraînement et à la pratique de leurs routines, durant la semaine.

À plusieurs occasions, on leur demande de faire des spectacles outre-mer afin de remonter le moral des troupes militaires américaines. Pour rappeler aussi à la nation les sacrifices de leurs soldats se battant à l'étranger, on habille donc les cheerleaders de costumes qui font penser aux uniformes des forces armées.

Ci-dessus, cette sergente sexy incarne bien le titre de sa fonction ! C'est le moins que l'on puisse dire ! La casquette ornée d'une broche appropriée, l'encolure et la pochette luisantes, le noir de l'uniforme ainsi que la beauté du "modèle", font de l'ensemble du personnage une réussite à la fois classique et séduisante.


Les Patriotes qui aiment leur US AIR FORCE l'aimeront encore davantage en regardant à l'oeuvre cette magnifique cheerleader représentant avec tant de grâce et de fierté les pilotes de leurs puissants chasseurs ! Voilà une combinaison relativement sobre mais quand même élégante dans sa simplicité... De quoi inspirer les as volants à pousser leurs avions jusqu'au septième ciel ! Ahhhh ! Ces Texanes ! Elles vous font tourner la tête ! (il s'agit d'une meneuse de claques des Texans de Houston)...


Toujours sous le thème de l'aviation, cette pro du cheerleading a un peu l'allure d'une rockeuse avec son blouson de cuir identifié au film TOP GUN. Chaussée de ces longues bottes de cuir noir et avec un tel déhanché, on sent qu'elle peut assumer n'importe quelle mission périlleuse... Même observation pour l'autre sensuelle blonde en costume de super woman, que l'on aperçoit à l'arrière-plan. Si ce n'était du bustier bleu, elle ferait une compagne idéale pour la mascotte du Rouge et Or de l'Université Laval, à Québec...


Les troupes de l'infanterie n'ont pas à être jalouses des autres unités de l'armée américaine. Leur porte-couleur a du gallon à ses épaulettes, des étoiles à des endroits stratégiques, et des franges en bordure de costume qui lui donne un petit côté léger sans pour autant la faire basculer dans l'indiscipline ou lui faire manquer le pas dans sa marche militaire. Et avec un tel sourire désarmant, à faire fondre une banquise, l'ennemi n'a qu'à bien se tenir ! Cette demoiselle affriolante est membre des SaintSations, les meneuses de claques des Saints de la Nouvelle-Orléans.


Finalement, la US NAVY n'a rien à envier aux forces terrestres et aériennes car sa cheerleader navigatrice n'a pas le mal de mer et elle est solidement "bâtie" pour affronter les tempêtes au large. La casquette d'officier des forces navales, les symboles de la marine et le bleu marin lui vont si bien, qu'elle ne serait jamais recalée si elle décidait de se présenter pour obtenir un poste de choix dans la US NAVY. Elle aussi fait partie des SaintSations.


Sans rien ne vouloir enlever à la beauté des "déguisements" d'Halloween des autres Pom Pom Girls, il me semble que cette fête, célébrée à la fin du mois d'octobre, est liée à un aspect lugubre, fantomatique ou diabolique. Vampires, sorcières, zombies et autres personnages effrayants y tiennent des rôles prépondérants. C'est pourquoi cette splendide diablesse (ci-dessus) avec ses coquines cornes rouges a bien sa place au bal des cheerleaders de l'Halloween. Quel bustier et quel minois d'enfer ! Au point de vendre son âme au diable en personne ?!


En plein dans l'esprit, le ton et les couleurs de la mascarade halloweenienne, cette jeune femme masquée dégage quelque chose de mystérieux et d'envoûtant. Remarquez les lignes symétriques horizontales formées par la similitude des parures au cou, aux bras, au ventre et à la ceinture. Mêmes les volants à pois surplombant le buste participent à cet élément stylistique. Dans une moindre mesure, dans la partie centrale du déguisement qui va de la taille jusqu'au cou, une symétrie verticale et une autre en diagonale donnent une réplique superbe aux lignes horizontales tout en les réunissant. Le masque et la coiffure sont remarquablement bien agencés à ce concept bien équilibré et très esthétique.


Pour les meneuses de claques des Buccaneers de Tampa Bay, pas besoin de chercher midi à quatorze heures afin de trouver un costume de circonstance. La tenue de pirate s'impose en vertu du nom de l'équipe de football. Reste quand même à dénicher la candidate à qui pareil accoutrement va comme un gant. Dans ce cas-ci (photo ci-dessus), aucune hésitation, les formes épousent parfaitement la fonction ! À l'abordage, mille sabords !


Les chauves-souris font également partie du folklore de l'Halloween. Cette "bat girl" ne détonne donc pas dans le décor. Voici une autre "belle à cornes", dont la brassière noire à motif caractéristique jaune, et la cape suggérant les ailes de chauve-souris, ne devraient toutefois pas inquiéter personne, même dans la profondeur des ténèbres des soirs d'Halloween. Concédons cependant que, à prime abord, en cas de rencontre fortuite avec cette étrange créature, on ne pourrait probablement pas réprimer un petit frisson... C'est dans la troupe de cheerleaders des Cardinals de l'Arizona qu'évolue notre "bat girl"...


Pour sûr, lorsqu'il est question de Batman ou de son pendant féminin, Robin n'est pas très loin. Et l'émule de ce héros de cinéma, de télé et de bandes dessinées, ne passera certes pas incognito dans ses vêtements flamboyants (photo ci-dessus). Encore une fois, le masque vient grandement renforcer l'allusion au personnage. Ou créer l'illusion du vrai Robin... Les déguisements aux couleurs franches, des autres meneuses de claques qui apparaissent sur le cliché, s'harmonisent bien avec celui de notre protagoniste.


Selon les renseignements que je possède, cette attrayante pirate se prénomme Marisa. Je ne peux affirmer que le collier de perles qui pend à sa ceinture fait partie du butin qu'elle a volé, mais pas de doute que c'est une plus-value pour son "look". Le détail de l'ornementation et de la découpe de la jupette de notre chasseuse de trésors est un festin pour les yeux. Tout comme le beau travail des couturiers pour magnifier ce tricorne qui ne manque pas de panache, ce corsage dont le plantureux contenu attendrirait le plus sanguinaire des corsaires, et ces manches "ennoblies" d'un style et d'un dessin typiques du XVIIIe siècle.


Poursuivons maintenant notre excursion dans le monde imaginaire et fantastique des Pom Pom girls de l'Halloween. Nous entrons sur le territoire de ce que j'appellerais les filles-bonbons ou filles-poupées. Avec leurs robes de fillettes, genre Alice au pays des merveilles, ces spécialistes dans l'art d'amener les spectateurs à encourager leur club de football, ressemblent en effet à des personnages de contes de fée, à des sucreries givrées ou à des emballages de cadeaux... Ci-dessus, cette meneuse de claques accentue son air de jeunesse avec ses lulus enrubannées... Charmant !


Au royaume de l'originalité, du rêve et de l'inattendu, il ne faut pas s'étonner de rencontrer une beauté velouté ayant une bien curieuse façon de transporter sa tasse de chocolat chaud et sa soucoupe. Avec cette boucle en évidence sur la poitrine et des vêtements qui semblent fabriqués en papier glacé, oui on pourrait se méprendre et croire que cette cheerleader est camouflée dans un emballage cadeau. Les pompons qu'elle agite sont de même nature et contribuent à certifier notre impression. Il s'agit d'une autre "production" de l'organisation des Cards de l'Arizona.


Ahhhh !!!! La voici notre "candy girl", notre fille-bonbon par excellence ! Pas de doute, le rose lui sied à ravir ! Et que de délectables friandises sont offertes sur ce justaucorps appétissant ! Boucles, bottes, bonbons, sucettes, cornet de glace, dentelle et tutu, meneuse de claques enjouée, tout concourt à faire de cet assortiment un délice pour les yeux ! Directement de la confiserie des Patriots de la Nouvelle-Angleterre !


Maintenant, place à la cheerleader femme-enfant ! Wow ! Quel tableau de grand maître ! Une explosion de couleurs savamment ordonnées et agencées. Un usage judicieux de boucles, de rubans et de frisons vient couronner un ensemble spectaculaire ! Le jupon de dentelle rouge délicatement ouvré apporte une touche sexy qui trahit l'innocence du blanc des bas collants. Les manches bouffantes et striées de bandes rouges complètent adorablement cette tenue de rêve... Une gracieuseté des Cardinals de l'Arizona...


Puisque les Pom Pom Girls "travaillent" en groupe, il fallait au moins choisir quelques exemples patents de leur capacité de joindre leurs charmes pour éblouir la galerie... Ici, trois princesses d'horizons divers s'unissent pour nous en faire voir de toutes les couleurs ! Encore une fois merci aux bonnes gens de l'Arizona pour ce superbe cadeau d'Halloween.


En confectionnant ces costumes bigarrés, les couturiers mis à contribution par l'organisation des Patriots de la Nouvelle-Angleterre pour célébrer de brillante façon la fête de l'Halloween, ont voulu satisfaire tous les goûts et tous les groupes d'âge. Pour les enfants, à l'Halloween, déguisement et cueillette de bonbons vont de paire. Notre fille-bonbon (au centre) est certaine de frapper leur regard, tout comme la gentille souris à pois blancs (en arrière-plan) et la libellule verte qui prend la pose, à gauche. La confrérie masculine, parmi les spectateurs, ne sera pas moins intéressée par ces personnages mais ne portera pas le même genre de regard sur eux. Ces messieurs reconnaîtront avec plaisir Marilyn (à droite) dans sa pose et sa robe légendaires, ainsi que cette joueuse de baseball (portant une casquette rouge, à gauche) dont le "swing" est tout à fait enjôleur même en l'absence de bâton et de balle !


Au tour des meneuses de claques belles comme des coeurs d'entrer dans la danse. Le pique, le carreau et le trèfle ne sont pas oubliés dans la décoration de cette robe soigneusement lacée. Génial ! Haut les mains, haut les mains, haut les mains, donne-moi ton coeur... chanteraient en choeur les gens des clubs med... Encore tout à l'honneur des Cards de l'Arizona....


Autre admirable variation sur le même thème, qui fera battre bien des coeurs, surtout chez les hommes impressionnés par cette beauté. Impossible de rester insensible à la splendeur de cette abondante chevelure couronnée, de ce collet monté épatant, et de tout ce qu'il y a d'excitant en-dessous ! La bordure inférieure de la robe est sensationnelle, mais pas autant que le sourire éclatant de notre mannequin d'un jour !


Nous évoquions, un peu plus haut, la présence de princesses parmi nos cheerleaders du "spécial Halloween". En voici une, orientale, sortie directement des contes des mille et une nuits. Les imitations de bijoux qui mettent en valeur la taille et le buste rehaussent l'allure et la beauté de cette tenue d'un bleu enchanteur. Quel prince hindoue ou quel grand calife ne désirerait pas cette belle ingénue dans son harem ?


Les mêmes remarques s'appliquent dans le cas de cette autre princesse pour qui, je le confesse, j'ai eu un coup de coeur. Tout, que ce soit dans le choix des tissus et des parures, ou dans l'art de les assembler, concourt à faire de cette meneuse de claques une fiesta pour les yeux et le coeur... Un chef-d'oeuvre dont nous sommes redevables aux Saints de la Nouvelle-Orléans.


Une cousine de notre précédente dame en bleu. Toute aussi séduisante et grâcieuse. Les pompons blancs contribuent de manière non négligeable à augmenter l'effervescence et la joie qui animent cette cheerleader manifestement très douée pour la danse et la séduction.


Chez les Pom Pom Girls des Cardinals de l'Arizona, les déguisements d'halloween sont souvent calqués sur l'habillement de personnages célèbres du petit comme du grand écran. On l'a vu plus haut, notamment avec Batgirl et l'incarnation féminine de Robin. Ci-dessus, nous avons droit à une sorte de réplique de Wonder Woman. Mais vous serez d'accord avec moi pour conclure que, si le maillot et le bustier sont difficiles à ne pas remarquer à cause de leurs couleurs éclatantes, ce n'est pas ce qui "saute" aux yeux, à première vue... Hum ! Hum !


Si Robin Hood recherchait une compagne dynamique et exubérante, il pourrait choisir cette meneuse de claques tellement resplendissante avec son chapeau à plume rouge et sa robe verte si sexy. Il pourrait aussi s'en servir comme diversion pour voler les riches afin d'aider les pauvres...


Notre dernière illustration préférée des cheerleaders de l'Halloween n'est pas la moindre. Dans cette représentation plus achevée de Wonder Woman, on savoure particulièrement le rouge, comme dans la chanson "Savoure le rouge", du groupe musical français Indochine. Les dorures à la ceinture, aux poignets, à la poitrine et à la tête deviendront objets de contemplation et de ravissement pour les amateurs de symétrie et d'équilibre...


Évidemment, cet incroyable guide illustré des cheerleaders de l'Halloween reflète mes goûts personnels. Les vôtres peuvent différer des miens. C'est pouquoi je vous offre la possibilité de choisir vos propres coups de coeur grâce au diaporama suivant. Sur une chanson appropriée qui parle de filles "delicious" et "yummy yummy" !

CHRISTINA  MILIAN  ET  MATT  POKORA  CÉLÈBRENT  SEPT  ANNÉES  DE  BONHEUR. Milti-talentueuse, la belle à croquer Christina Milian a connu to...