dimanche 27 janvier 2019

L'EX-PLAYMATE JAIME EDMONDSON VIT LE RÊVE AMÉRICAIN AVEC LE BASE-BALLEUR EVAN LONGORIA.


Dimanche le 3 février, les yeux de plusieurs millions de personnes seront tournés vers le Super Bowl LIII.  Cet événement sportif, l'un des plus importants sur la planète, mettra aux prises les Rams de Los Angeles et les Patriots de la Nouvelle-Angleterre.  Le match se déroulera au Stade Mercedes Benz d'Atlanta.  Les gagnants seront couronnés champions du football professionnel américain.  (Voir mes prédictions sur mon blogue FOOTBALL MANIA AVEC HACKSAW -  http://footballmaniaavechacksaw.blogspot.com/). 

Jamais les couleurs des deux équipes qui s'affronteront n'ont été arborées avec autant de beauté et d'éclat que lorsqu'elles furent portées par la Miss Janvier 2010 du magazine PLAYBOY, Jaime Edmondson.

En effet, comme je l'écrivais dans un billet de mon blogue COVER GIRLS DU SPORT (http://covergirlsdusport.blogspot.ca/2012/05/jaime-edmondson-playboy-football-un.html), la très sexy rouquine de 35 ans avait déclenché une tempête, il y a quelques années, lorsqu'elle avait posé pour PLAYBOY, revêtue de pièces de linge fort attrayantes -tout en étant très légères !-, représentant certains clubs de la Ligue Nationale de Football des États-Unis.



Les partisans des équipes non représentées dans cette séance de photos avaient protesté avec véhémence en réclamant que l'injustice soit corrigée et qu'ils aient droit, eux aussi, aux charmes de Mlle Edmondson, ornés d'un mini-uniforme de leur club de football favori.  Ce qui fut fait, à leur plus grande satisfaction !

Mais la demande n'était pas épuisée !  Loin de là ! Bientôt, les fans de football universitaire et collégial exigèrent à leur tour que l'affriolante Jaime illustre le logo de leur équipe locale.

Celle qui a aussi percé l'écran dans la populaire télé-série THE AMAZING RACE, réalisa quelques-uns de leurs souhaits, mais on peut comprendre qu'elle ne pouvait pas tous les concrétiser.  Ce ne sont pas les clubs de football qui manquent aux USA !



Ceux qui, dans leurs rêves les plus fous, se voyaient un jour au bras de cette étourdissante "playmate", doivent renoncer à leur désir.  Jaime Edmondson a épousé la vedette de baseball Evan Longoria, le joueur de troisième but des Giants de San Francisco.

Les deux tourtereaux, qui ont commencé à se fréquenter en février 2011, sont déjà les parents de deux enfants, la petite Elle, 5 ans, et Nash, 4 ans.  Ils ne devraient pas avoir de soucis d'argent.  Le dernier contrat de Longoria avec les Rays de Tampa Bay a été signé pour la modique somme de 100 millions de dollars étalés sur six ans... 

samedi 22 septembre 2018

LES PRINCESSES DE L'OKTOBERFEST !


Quelle petite fille ne rêve pas d'être la plus belle des princesses ?  Comme ces ravissantes créatures imaginaires des contes de fées.  Quels parents ne désignent pas, un jour ou l'autre, du surnom de «princesse» leur petit trésor vêtu de rose dès sa prime enfance ?  Longtemps, au cours de leur vie, ces gamines devenues grandes seront habitées par ce rêve d'enfance qui ne s'évanouira peut-être que lorsqu'elles atteindront un âge avancé.

Mais il y a peut-être un moyen de réaliser ce rêve fantastique.  Oui, peut-être que la magie va opérer si ces rêveuses, devenues adultes, participent à l'Oktoberfest de Munich (qui commence aujourd'hui, 22 septembre 2018).  Ou si elles prennent part à ce genre de festival qui a été copié dans beaucoup de pays à travers le monde.


En se parant de l'une des fabuleuses dirndls qui enjolivent tellement le corps des femmes lors de ces fêtes populaires, elles se sentiront comme des princesses.  Ces robes magnifiques, véritables oeuvres d'art, trésors du patrimoine allemand, ont certes le pouvoir de les transporter au royaume de leur rêve de fillette ou de jeune femme. 

Cependant, si elles se rendent en Bavière, pour vivre leur rêve, sur le site d'origine du plus grand festival de la planète, elles risquent de perdre quelques illusions ou de constater un écart entre la réalité et leur idéal de personnage de princesse.


En effet, c'est fou ce qui peut vous arriver quand vous participez à un événement gigantesque comme l'Oktoberfest de Munich.  Les incidents qui se produisent lorsque vous vous frayez un chemin parmi les centaines de milliers de visiteurs qui foulent le terrain de cette immense foire commerciale, sont parfois heureux, parfois regrettables, ou pour le moins étranges.

Si vous êtes un homme de petite taille et que vous sortez trop rapidement de l'un des nombreux commerces où on vend des souvenirs, vous pouvez arriver face à face, ou plutôt face à...seins avec une grande allemande aux cheveux blonds vêtue d'une dirndl, cette robe traditionnelle au décolleté si profond que vous pouvez vous y noyer...


Mais vous ferez sans doute des rencontres moins intéressantes, comme par exemple, avec des individus passablement éméchés, qui vomiront sur vous ou demanderont votre femme en mariage après s'en être approchés d'un peu trop près en titubant... 

Bof !  Oubliez ça et soyez joyeux !  Vous êtes dans le plus gros party au monde et il y a tant d'opportunités pour vous amuser et avoir du bon temps.  À condition d'avoir pas mal de fric à dépenser...bien entendu !


Évidemment, si les jeux, les manèges, la densité de la foule, la musique assourdissante de la fête et la consommation excessive de bouffe et de bière vous font tourner la tête et l'estomac, vous risquez alors de perdre le contrôle et d'en manquer des grands bouts.   Ultimement, vous pouvez perdre "la carte" et plein d'autres objets utiles comme : votre casque de viking, votre portefeuille, vos cartes d'identité ou de crédit, votre passe-port, votre billet d'avion, votre téléphone intelligent, vos lunettes, votre caméra, vos bijoux ou votre montre, vos clefs et...votre conjointe, si vous faites vraiment trop le fou !

Sans être ivres pour autant, il arrive aussi que des parents égarent leur enfant, ou qu'un rigolo n'arrive plus à retrouver le lapin ou la sauterelle de huit centimètres qu'il avait apportés et qui ont abouti au kiosque des "objets" perdus (c'est arrivé l'an dernier).



Parmi ces objets égarés il y a notamment des instruments de musique.  Ils appartiennent à des membres des fanfares qui défilent lors des cérémonies d'ouverture de l'Oktoberfest.  Après leurs performances musicales, ils s'empressent d'aller boire quelques bières froides parce qu'ils ont vraiment soif après avoir sué à grosses gouttes à cause de leurs costumes faits de tissus épais.  Et pour avoir marché longtemps en portant leur instrument parfois assez lourd, sous un soleil ardent.  Souvent, ces musiciens assoiffés se saoulent et, arrivés chez eux, le soir, ils se demandent où diable peut bien se trouver leur instrument !



Les employés du Festival, affectés au kiosque des objets perdus, en voient de toutes les couleurs.  Ils reçoivent parfois la visite d'individus bien embarrassés qui viennent leur demander si leur bague de mariage n'aurait pas été retrouvée.  Ces hommes ou ces femmes ont parfois perdu le précieux objet en l'enlevant pour flirter plus à leur aise...


Il n'est souvent pas commode d'accueillir ces personnes en quête de biens égarés.  Certains "clients" se présentent encore en état d'ébriété et peuvent, par inadvertance, cracher une gorgée de bière ou de schnapps au visage d'un infortuné préposé aux renseignements, en ouvrant la bouche pour s'adresser à lui.

S'il n'est pas facile de comprendre ou de se faire comprendre quand on a affaire à des personnes ivres, ça se complique encore davantage lorsque ces mêmes individus ont déjà d'avance des difficultés d'élocution parce qu'ils sont atteints de paralysie partielle ou qu'ils bégaient.  Les employés qui servent de tels clients doivent s'armer de patience et répéter souvent les mêmes explications.  Lorsque la communication ne fonctionne pas, le client peut devenir frustré et même violent.  On doit parfois demander aux agents de sécurité de s'en occuper et d'essayer de convaincre ces récalcitrants de revenir plus tard, quand ils auront dégrisé...



Après un délai de six mois, si les objets perdus n'ont pas été réclamés par leur propriétaire, on vend à l'encan ceux qui ont de la valeur, et l'argent ainsi recueilli est distribué à des oeuvres de charité.  Ainsi, dans le fond, rien n'est vraiment perdu !

mercredi 12 septembre 2018

OKTOBERFEST DE MUNICH : DES FESTIVALIÈRES TROP SEXY SELON LES TRADITIONALISTES !


Cette année, le festival de la bière de l'Oktoberfest se tient du 22 septembre au 7 octobre à Munich.  C'est une tradition bavaroise qui revient à chaque automne depuis plus de deux siècles (il y a eu quelques exceptions à cause des guerres ou de divers autres évènements).  Elle remonte aux noces du futur roi de Bavière, Louis 1er, et de Therese von Sachsen Hildburghausen, célébrées le 12 octobre 1810.

Les hommes et les femmes qui participent à cette grande foire commerciale honorent encore la tradition en revêtant les costumes typiques de l'Oktoberfest : les très colorées dirndls - ou robes lacées aux décolletés plongeants - pour les festivalières, et les culottes de peau pour leurs compagnons masculins. 

Je ne sais pas si une telle étude a déjà été faite, mais je serais curieux de savoir comment ont évolué les moeurs ou les comportements des gens lors de cette fête qui est devenue l'une des plus importantes, puisqu'elle attire près de sept millions de visiteurs du monde entier.  La façon de se conduire, dans ces rassemblements monstres, est probablement le reflet des changements sociaux qui ont eu cours au fil du temps.  J'imagine que la mondialisation a aussi eu des conséquences sur ce gros party qui réunit des fêtards de tous les horizons, de toutes les races et de toutes les orientations sexuelles.



Le phénomène des réseaux sociaux et de l'hyper-sexualisation des jeunes femmes contribuent également à bousculer les moeurs et les traditions.  En Bavière, certains traditionalistes -des personnes plus âgées notamment- se plaignent que la tradition de l'Oktoberfest est de plus en plus malmenées ces dernières années.

Ces tenants de l'authenticité de la fête en ont surtout contre les changements malvenus apportés à la robe traditionnelle -la fameuse dirndl- que la plupart des festivalières portent lors des célébrations.  On reproche aux touristes féminines qui participent au Festival, particulièrement celles qui viennent d'Australie et de l'Italie, de revêtir de mauvaises imitations de la dirndl.  Une version trop courte, bien au-dessus de la norme qui la fixe au genou, exagérément décolletée, et fabriquée avec du tissus bon marché.  Trop sexy, de mauvais goût, irrespectueux, presque pornographique, en somme...

Selon ces gardiens de la tradition originale de la fête, ces étrangères trahissent son identité.  Ils en rajoutent en précisant que seules les Allemandes devraient avoir le droit de revêtir ce costume typique de la Bavière.  Les touristes étrangères devraient s'abstenir de vouloir se prendre pour des Bavaroises en adaptant malencontreusement leur robe de festival à leurs propres désirs d'être sexy.


Les marchands allemands font état de ce changement de mentalité chez leur jeune clientèle étrangère.  Si, dans leur boutique de vêtements, les acheteurs locaux choisissent toujours la dirndl classique, les jeunes touristes internationales veulent une robe semblable, peu dispendieuse mais plus sexy.  Beaucoup plus sexy.  

Elles veulent montrer leur poitrine -on commence à surnommer le festival «l'OktoberBreast» - et leurs cuisses, bien souvent pour se photographier (selfies) et publier ces clichés sur leurs comptes de médias sociaux (instagram).  C'est une grande tendance...

En trafiquant ainsi leur accoutrement, elles choquent certains Allemands qui trouvent qu'elles bafouent leur héritage et leur patrimoine.  D'autant plus que ces jeunes étrangères ont souvent un comportement déplorable lorsqu'elles se mêlent à la fête.



D'autres se formalisent moins des manifestations de cette tendance sexy en montrant les exemples extravagants des tenues de galas que l'on voit à des cérémonies de remises de prix à Hollywood.

De façon plus générale, au cours des dernières décennies, certains observateurs ont affirmé que l'Oktoberfest avait pris un mauvais tournant.  Beuveries, rixes, vols, verres ou bouteilles cassés jonchant le sol, problèmes sanitaires -odeurs de vomi et d'urine-, gâchent de plus en plus la qualité du Festival et écorchent la réputation de la  Bavière.

Ce côté négatif est certes réel, mais il est amplement contre-balancé par beaucoup d'aspects positifs.  L'Oktoberfest c'est bien plus que les 35 tentes immenses où l'on boit de la bière (7,5 millions de litres en moyenne par année) transportée par une armée de 12 000 serveurs et serveuses.

                                                                        

C'est avant tout un vaste terrain (26 hectares) de jeux, de manèges, de kiosques de restauration qui font le bonheur d'une grande partie de la clientèle qui est de type familial.  On fait aussi la fête entre amis et ce n'est qu'une minorité de célibataires esseulés qui s'y rencontrent dans l'espoir de trouver l'âme soeur.  Ce sont souvent eux qui causent du grabuge.

Du reste, la technologie dernier cri peut aider à contrer les désagréments de cette immense foire commerciale.  Par exemple, il n'est pas nécessaire de traîner portefeuille ou sacoche afin de payer comptant, ou par cartes de crédit, ce que vous achetez sur place.  Les commerçants acceptent les paiements effectués par l'intermédiaire des téléphones intelligents.  Ça permet de réduire le nombre de vols ainsi que la quantité de portefeuilles ou de cartes perdus.

D'ailleurs, parlant d'achats et de paiements, une association de consommateurs continue de dénoncer ce qu'elle appelle une collusion des marchands de l'Oktoberfest qui s'entendraient pour gonfler les prix de leurs produits.  Entre autres, le litre de bière frôle maintenant les dix euros, une augmentation de prix de 43 % sur dix ans.  Par surcroît, on accuse également les vendeurs de ne pas remplir suffisamment les verres.  L'association réclame qu'on fixe un prix plafond de sept euros par litre de bière.



Le prix de la bière a beau être exorbitant, ça n'empêche pas les festivaliers de boire le précieux liquide en quantités gargantuesques.  Tellement, en fait, que les brasseurs manquent de bouteilles vides à remplir.  D'ailleurs, des annonces dans les journaux locaux demandent aux lecteurs de rapporter les bouteilles vides qui pourraient traîner à leur domicile.  Cette situation contraste avec celle des verres de bière vides que les participants de l'Oktoberfest tentent de voler et de rapporter chez eux...  Lors d'un récent festival, les agents de sécurité ont trouvé 226 000 de ces bocks de bière que les visiteurs avaient caché sous leurs vêtements ou dans leur sac à dos...


Pour ceux et celles qui veulent éviter les ennuis liés à la consommation excessive d'alcool, il existe maintenant une application qui peut être téléchargée dans leur téléphone intelligent.  En saisissant des données comme leur taille, leur poids, et la quantité de bière ingurgitée, les utilisateurs de cette application peuvent connaître leur taux d'alcoolémie et le temps qu'il faudra pour le ramener à zéro après qu'ils auront arrêté de boire.

Ce qui attire tant les visiteurs à l'Oktoberfest c'est l'ambiance du tonnerre qui règne sur les lieux pendant toute la durée du Festival.  Les soirées de party, animées par des groupes musicaux qui font danser tout le monde, sont très courues.  Les 35 tentes qui logent les convives sont souvent remplies à pleine capacité.  Cela pose un problème et constitue souvent un irritant majeur pour ceux et celles qui essaient d'y entrer pour faire eux aussi la fête.


Encore une fois, la technologie peut venir en aide à ces malheureux, frustrés de se cogner le nez sur des portes closes.  Une application téléchargeable sur téléphone mobile permet maintenant de connaître, en temps réel, l'achalandage de chaque tente et le nombre de places disponibles.  Les festivaliers se dirigent naturellement vers les plus grandes tentes, en se disant qu'en raison de leur immensité, c'est à ces endroits qu'ils ont de meilleures chances de trouver des places libres.  Par conséquent, ce sont plutôt les plus petites tentes qui sont parfois les moins fréquentées.  Grâce à l'application, les fêtards savent où aller et ils ne perdent plus leur temps et leur énergie à chercher des places disponibles.  Déjà 75 000 personnes ont eu recours à cette aide technologique fort utile.

Si on peut ainsi économiser du temps et des efforts inutiles, il en va de même pour son argent.  Grâce à votre "kit" technologique spécialement conçu pour l'Oktoberfest, vous disposez d'un outil qui vous permet de comparer les prix demandés par la multitude de marchands qui vendent leurs produits sur les lieux.  Par exemple, le prix de la bière varie d'une tente ou d'un "stand" à l'autre.  Vous saurez où aller pour payer moins cher.  Et si vous avez profité de ces économies pour boire un peu trop, une sorte de GPS intégré dans vos applications de "smart phone" vous aidera à retourner chez vous sans vous perdre en chemin.

Les célibataires recherchant l'âme soeur, ou voulant célébrer en bonne compagnie, trouveront aussi leur compte dans l'outillage technologique conçu en fonction de l'Oktoberfest.  Sur son téléphone, l'utilisateur peut créer son profil et le partager avec d'autres personnes seules qui désirent, par exemple, faire un tour de montagnes russes ou boire une bière.  En entrant dans l'application des informations comme une photo, son âge et le genre de personnes que l'on recherche, votre appareil vous fournira une liste des personnes correspondant à votre profil, ainsi que le lieu où elles se trouvent présentement sur le site du festival.  Si le compagnon ou la compagne que vous avez choisis a du mal à comprendre la langue que vous parlez, pas de panique, un système de traduction est à votre disposition sur votre smart phone.


Vous êtes au coeur de la fête et vous aimeriez chanter sur les airs folkloriques typiques de l'Oktoberfest ?  C'est possible grâce au répertoire de paroles de chansons contenu dans le logiciel de votre téléphone.  Bien pratique ces petits bidules intelligents, mais une chose qu'ils ne peuvent pas faire, cependant, c'est de vous aider à retrouver votre conjointe si vous l'avez perdue parce que vous vous êtes trop enivré et...que vous avez mis le nez dans le décolleté trop profond d'une autre participante à cette fête endiablée !  Ci-dessous, un diaporama mettant justement en vedettes ce genre de charmantes créatures qui risquent de faire perdre la "boule" à plus d'un fêtard...  Et pour lire un autre article sur le même sujet, cliquez sur le lien suivant : http://bellesacroquer.blogspot.com/2011/10/des-bavaroises-de-toutes-les-races-et.html

              

jeudi 2 août 2018

QUELQUES CONSEILS POUR COMBATTRE LA CANICULE !


Encore cette année, l'Europe a été touchée par des chaleurs caniculaires extrêmes.  Même dans le nord, en Scandinavie, des records de température élevée ont été battus.

Que faire pour éviter le pire quand le soleil tape aussi fort ?  Jetons un clin d'oeil sexy sur la question...

Le premier conseil est de bien s'hydrater.  Boire huit verres d'eau par jour, ce n'est pas trop.  Et comme l'illustre la jolie baigneuse à la poitrine aussi volumineuse que les fruits qu'elle déguste (photo ci-dessus), il faut manger léger et frais !



Mais attention à ce que vous buvez !  Il est hors de question d'avaler des boissons alcoolisées.

Si, par exemple, une bonne bière froide semble tout indiquée quand le coup de chaud frappe, rappelez-vous que l'alcool qui accompagne cette mixture de houblon fait monter la température du corps, au lieu de l'abaisser.

L'alcool peut même aggraver la déshydratation.  Pour consommer de la bière en bonne quantité et en bonne compagnie, mieux vaut attendre à l'automne, lors de l'Oktoberfest (photo ci-dessus) !  

Essayer de se désaltérer avec des boissons sucrées ne représente pas non plus la solution quand le mercure culmine.  Le sucre donne soif au lieu de l'étancher.



Lors des chaleurs torrides, il faut se rafraîchir fréquemment.

Prenez des douches (comme Sarah, ci-dessus, qui est une cheerleader des Texans de Houston, de la Ligue Nationale de Football Américain) ou des bains frais chaque jour.

Passez au moins deux heures par jour dans des endroits frais ou climatisés (bibliothèques, centres commerciaux, etc).



Rafraîchissez votre peau avec une serviette mouillée plusieurs fois par jour.

Ou, comme cette femme (photo ci-dessus) participez à des concours de gilets mouillés, pour joindre l'utile à l'agréable !

Les spectateurs qui seront témoins de ces douches coquines apprécieront au plus haut point, et tout le monde va s'amuser à peu de frais !



La chaleur étouffante est peu propice aux efforts physiques.

Évitez si possible les travaux exigeant de trop grands efforts.

Aux couples, on recommande également de prendre ça "cool".  Ce n'est pas le temps des chicanes de ménage et des crises de jalousie.

Quand les tempéraments s'échauffent, la chaleur extérieure devient d'autant plus insupportable !



Portez des vêtements légers.

Choisissez des tissus qui laissent respirer la peau.  Le cuir ou le latex sont à proscrire !

Certains membres du groupe de pression PETA (protection et traitement éthique des animaux) ont trouvé des solutions vestimentaires originales (photo ci-dessus) pour composer avec les grandes chaleurs !

Pour vous protéger des rayons ultra-violets trop ardents, quelques accessoires sont de mise.

Les belles Européennes d'autrefois, voulant à tout prix préserver leur peau blanche, ne sortaient pas sans leur ombrelle.

Cet article n'est plus guère employé de nos jours.  Mais une fois mal pris, sous un soleil de plomb, pourquoi ne pas recourir au...parapluie !



Les "umbrella girls" (comme celle ci-dessus) apprécient ce cache-soleil, d'autant plus que les températures aux abords des pistes de course automobile sont souvent infernales avec tout ce bitume et la chaleur dégagée par la foule et les moteurs des engins qui tournent à plein régime. 

Fumez des cigarettes "gauloises" n'aidera cependant pas votre cause si vous cherchez à abaisser votre température corporelle...



Le centre de contrôle, qu'est votre tête, a tendance à surchauffer quand le mercure grimpe bien au-dessus de la normale.

Un chapeau de paille pourrait atténuer les effets néfastes d'un soleil impitoyable.

La cow-girl ci-dessus l'a bien compris.



Enfin, canicule et échauffement sexuel ne vont pas bien ensemble.  Messieurs, veuillez noter qu'observer trop longtemps et trop intensément les belles filles sur la plage, risque de vous donner le torticolis et la fièvre !

Surtout quand des reines de beauté comme la top modèle Irina Shayk (photo truquée ci-dessus) sont dans les parages ! 

dimanche 6 mai 2018

LE "TOP 5" DES «BALL GIRLS» DU MASTERS DE MADRID !



Le tennis a longtemps été étiqueté "sport de bourgeois". Un sport d'aristocrates. Un sport anglais où le conservatisme était de mise. Depuis le premier tournoi de Wimbledon en 1877, les joueurs ou les joueuses qui l'ont pratiqué professionnellement ont dû respecter des règles strictes et suivre un code vestimentaire rigoureux.

Jusqu'aux dernières décennies, les tenues classiques, tout en blanc, étaient de rigueur. Même chose pour celles des ramasseurs ou des ramasseuses de balles engagés par les organisateurs de tournois. Le plus souvent, ces employés étaient des adolescents, des étudiants ou des étudiantes formés dans les meilleurs collèges anglais. Ils devaient être discrets sur les courts. Et surtout ne pas faire de gaffes qui viendraient perturber le bon déroulement des matchs.





En 2004, cherchant un moyen d'attirer l'attention sur leur tournoi, les maîtres d'oeuvre du Masters de Madrid ont créé toute une commotion en recrutant des mannequins de la compagnie Hugo Boss pour remplir les fonctions de ramasseuses de balles. Des "cover girls" âgées de 19 à 28 ans envahirent les courts de tennis de Madrid vêtues de robes sexy, de mini-jupes, ou portant le short et le débardeur de façon très...décontractée !


Les réactions ne se firent pas attendre ! D'abord, on entendit la colère des parents dont les adolescents avaient perdu leur emploi au profit de ces beautés en espadrilles. Puis ce furent les protestations des puristes du tennis qui maugréaient contre ces "pin-up" qui allaient détourner l'attention du public aux détriments des joueurs et des joueuses.


L'affaire eut même des rebondissements au parlement espagnol où des politiciennes de gauche dénoncèrent cette autre exploitation sexuelle de la femme par des hommes.




La majorité des participants au tournoi assurèrent que ces ramasseuses de balles très spéciales ne nuisaient aucunement à leur concentration sur la surface de jeu.


Ils acceptaient la présence de ces jeunes femmes sexy comme un vent de fraîcheur ajoutant une touche moderne à leur sport.


Ils étaient conscients que cette audace des organisateurs était bonne pour le spectacle et...les cotes d'écoute de la télédiffusion du tournoi.



Certains observateurs émettaient toutefois des réserves quant à la formation de ces jolies modèles prêtées par Hugo Boss.


En deux semaines d'apprentissage, pouvaient-elles maîtriser toutes les subtilités des règlements du tennis ? Et savoir comment exécuter précisément le ballet savant de tous les déplacements aux abords des courts ?


Auraient-elles la résistance et la patience de demeurer accroupies sous un soleil ardent pendant de longues périodes de temps, tout en pouvant bondir énergiquement pour récupérer opportunément les balles ayant échoué dans le filet ou en fond de terrain ?



Force est de reconnaître que le temps et l'expérience ont donné raison aux gens du comité de direction du tournoi de Madrid au sujet de l'embauche de cette charmante main-d'oeuvre. Une seule fois a-t-on pu remarquer que l'arbitre d'un match ait réprimandé une "ball girl" parce qu'elle était mal placée ou avait mal agi.


Ce qui est certain cependant, c'est que les organisateurs du Masters de Madrid ont atteint leur but qui était de mousser la popularité de leur tournoi !


Autre texte (et un diaporama de photos de ball girls sexy), sur le même sujet, sur mon site TROP SEXY POUR LE SPORT :

http://tropsexypourlesport.blogspot.com/2011/04/ramasseuses-de-balles-trop-sexy-pour-le.html

jeudi 8 mars 2018

SPRING BREAK U.S. : DUR COUP POUR LA MORALITÉ ET LA SANTÉ !


Aux États-Unis, à partir de la fin des années 1960, les étudiants et les étudiantes sont devenus de plus en plus turbulents durant le Spring Break, cette semaine de vacances qui marque une pause au milieu du semestre de la deuxième partie de l'année scolaire.

Les jeunes collégiens américains ont imaginé toutes sortes de façons de s'amuser, et leurs festivités pas très sages étaient souvent très bien "arrosées" !

Si bien que les autorités des états du sud-est et de la côte du Pacifique, où les fêtards se rendaient pour célébrer leur congé de mi-session sur les plages de bord de mer, ont adopté des règlements leur défendant de consommer des boissons alcoolisées avant l'âge de 21 ans.



Les étudiants ont contourné ces règlements restrictifs en se rendant tout simplement faire la fête dans des endroits comme le Mexique où l'âge minimum pour "se saouler" est plus bas.

Au cours des dernières décennies, avec la révolution sexuelle et la libération de la femme, les collégiennes "en relâche" ont adopté des comportements et un "code" vestimentaire de plus en plus "osés".  Une pratique populaire est celle des "body shots".  Elle consiste à déguster des boissons alcoolisées sur le corps d'une compagne ou d'un compagnon.

Ci-dessus, c'est le nombril de cette collégienne sexy qui sert de "verre" de dégustation.  Une autre variante intéressante est l'utilisation de petits gobelets en plastique, remplis de bière ou de spiritueux, que l'on insère entre les seins d'une participante.  Son ou sa collègue étudiante va s'abreuver à cet endroit "délicat" en se servant uniquement de sa bouche.  Ce qui cause souvent de drôles de torsions du corps !


En poussant le concept coquin plus loin, on en arrive à un véritable exhibitionnisme.

Ce phénomène a gagné des adeptes sur les plages des destinations soleil des étudiants vacanciers.  Et avec la popularité des téléphones intelligents, capables de prendre des photographies ou de faire des vidéos, le web a été envahi d'images montrant les folies de ces jeunes en mal de sensations fortes ! 

Le fameux "auto-portrait" ci-dessus en est un exemple parmi bien d'autres !  Comme on peut le constater, un peu de "relief", sur la monotone surface plate des immenses plages de sable du sud, n'est pas à dédaigner !  

samedi 3 mars 2018

SPRING BREAK AMÉRICAIN : LES ÉTUDIANTS S'ÉCLATENT MALGRÉ LE DANGER...


Voici revenu la folle période de la semaine de relâche scolaire. Elle n'a pas la même signification d'un pays à l'autre ou...d'un étudiant à l'autre. Pour certains c'est un temps de repos, de ressourcement, de réflexion. Pour d'autres, c'est une semaine de lecture et de rattrapage dans les travaux scolaires.

Mais pour la majorité des collégiens américains, le "Spring Break" veut dire : vacances au soleil du sud, partys à n'en plus finir, et une foule d'activités permettant de s'amuser, de lâcher son fou, et de se changer les idées. Au diable la discipline et les études ! On n'obéit à rien ni à personne. On vit au rythme de ses fantaisies. On profite de la liberté et de la jeunesse, avec excès et insouciance.

Dans de telles circonstances et avec un état d'esprit semblable, on ne sera pas étonné que les directives ou les avertissements des autorités publiques, concernant d'éventuels dangers du Spring Break, soient pas mal ignorés par les collégiens en goguette.


Ainsi, pour la troisième année consécutive, le Département de la Sécurité Publique du Texas (DSPT) a mis en garde les jeunes de cet état du sud des USA contre les dangers de se rendre au Mexique pour la relâche. Le DSPT faisait spécifiquement référence à la violence engendrée par les activités criminelles des cartels de la drogue dans le pays voisin, situé au sud des États-Unis. On recommandait aux vacanciers étudiants d'éviter particulièrement certains bars et certains clubs de nuit de Cancun, Acapulco, Mazatlan, Cabo San Lucas et Tijuana.

Il y a trois ans, une fusillade avait fait plus d'une demi-douzaine de blessés lors du Spring Break à Panama City.

Évidemment, le département du tourisme mexicain, et les responsables à l'ambassade du Mexique, ont protesté vigoureusement contre ces avis du DSPT. Ils les jugent trop alarmistes et exagérés.

Il faut dire que les agents économiques mexicains tiennent beaucoup à cette clientèle américaine. Elle est payante puisque chaque étudiant dépense en moyenne $ 500 durant son court séjour au Mexique. Il est vrai que certains hôtels ne désirent pas accueillir ces jeunes souvent trop turbulents, qui font du vandalisme ou troublent la quiétude des autres clients.


Mais tout indique que les mises en garde du DSPT n'ont pas été entendues ni respectées. D'après les réservations d'hôtels (dont plusieurs affichaient complet), Cancun était déjà assurée d'être cette année la destination numéro 1 des étudiants pour le Spring Break.

L'an dernier c'est Punta Cana et la République Dominicaine qui avaient obtenu les faveurs des collégiens américains qui ont voyagé en dehors de leur pays, en cette période de relâche. Interrogés à savoir pourquoi ils voulaient passer leurs vacances à Cancun malgré les avertissements de danger à cet endroit, quelques étudiants ont répondu qu'ils avaient mis de l'argent de côté pendant des mois afin de se payer du bon temps là-bas. "Peu importe, ont-ils affirmé, nous aurons du plaisir malgré tout".

Parmi les moyens de se faire du fun, il y a les fameux concours de LA PLUS BELLE FILLE EN BIKINI ou ceux de LA FILLE QUI SECOUE LE MIEUX SON POPOTIN.

CHRISTINA  MILIAN  ET  MATT  POKORA  CÉLÈBRENT  SEPT  ANNÉES  DE  BONHEUR. Milti-talentueuse, la belle à croquer Christina Milian a connu to...