lundi 15 décembre 2014

ANGELINA JOLIE : LE PLUS GROS TROPHÉE DE CHASSE DES PAPARAZZI.


«Everybody is a star
I can feel it when you shine on me
I love you for who you are
Not the one you feel you need to be».

Cet extrait d’une vieille chanson de Sly and the family Stone me revient parfois en tête quand je vois toutes ces personnes autour de moi se prendre en « selfie » à tout moment, pour accompagner souvent les brefs messages de 140 mots et moins qu'elles envoient à leurs parents et amis sur Twitter.  Comme si tout ce beau monde avait besoin de communiquer et de partager immédiatement la moindre expérience qui leur arrive.  Devenus esclaves ou dépendants des réseaux sociaux et des nouvelles technologies, ces individus inventent même des occasions, à partir de rien, pour se faire voir, seulement pour rappeler à tout le monde qu'ils existent et qu'ils sont à tel endroit, avec telles gens, en train de faire n'importe quoi.  Ce désir et ce besoin assez vaniteux d’être vus, suivis et appréciés par le plus grand nombre de personnes possibles, fait penser aux comportements des stars et des célébrités qui occupent en permanence nos écrans de télé ou ceux de nos multiples gadgets électroniques.

Ces images de vedettes ou de personnes renommées sont attribuables à leur initiative personnelle, ou elles proviennent des photographes officiels qui ont assistés à leurs spectacles, ou à des événements auxquels elles ont participé.  Ces clichés ou vidéos qui font parfois la manchette aux nouvelles télévisées ou dans les journaux à potins peuvent aussi être crédités à ces curieuses « bibittes » que sont les paparazzi.  Les célébrités entretiennent toutes sortes de relations avec ces chasseurs d'images.  Pour certaines vedettes, ce sont des calamités ambulantes, des vautours, des plaies d’Égypte qui les harcèlent sans cesse et qui ne respectent pas leur droit à une vie privée légitime.  Pour d'autres, surtout en début de carrière, ces as de la photo sont, au contraire, les bienvenus, pour les aider à obtenir cette visibilité essentielle à la promotion de leurs projets, à la vente de leurs productions artistiques ou économiques, ou tout simplement pour créer l'image qu'elles veulent projeter d'elles-mêmes auprès d'un public qu'elles cherchent à agrandir continuellement.


C'est ainsi que les paparazzi se feront tour à tour, tantôt complices, tantôt espions et cascadeurs pour arriver à leurs fins : monnayer pour le montant le plus élevé possible les images qu'ils réussissent à capturer avec leurs appareils.  Ce sont les lois du libre marché qui détermineront la valeur de leurs photos.  Évidemment, plus la photographie sera exclusive, rare, et mettant en vedette une personnalité populaire et recherchée, plus ils pourront en obtenir un bon prix de la part de l'acheteur et du diffuseur.  Pour ces «chasseurs de tête » modernes, il existe une liste d'individus, classés « A +», qui valent particulièrement leur pesant d’or.  Par exemple, les membres de la famille royale de Grande-Bretagne, sont souvent des cibles de choix pour les paparazzi, surtout quand ils ont la chance extraordinaire de croquer le portrait d’un prince Harry flambant nu et ivre, qui anime une fête endiablée, ou encore une Kate Middleton « top less » qui s’enduit de lotion à bronzer durant ses vacances avec le prince William, en France.  C'est facile de comprendre que la reine Elizabeth II et son entourage détestent ce genre de «lèse-majesté» qui peut rapporter $ 20 000 à son auteur.  Ce type d’incidents fâcheux rappellent aussi la tragédie qui a coûté la vie à Lady Diana, en 1997, à Paris.  L'accident de voiture, dans lequel l'ex-épouse du prince Charles a péri, a été imputé indirectement aux paparazzi qui la pourchassaient.

En haut de la liste « A » des paparazzi se trouve Angelina Jolie, dont les photos se vendent fréquemment pour plus d’un million de dollars.  On ne comprend pas bien pourquoi les clichés de cette « enfant gâtée » valent si chères, mais c’est la réalité du marché.  Madame Jolie fait partie des gens riches et célèbres qui peuvent toutefois se payer le luxe d’échapper aux paparazzi quand elle part en vacances.  En compagnie de son mari Brad Pitt elle peut s’envoler en hélicoptère sur une île du sud qui est inaccessible aux photographes.

JENNIFER  LOPEZ
Les photographies de célébrités qui font grimper le plus les enchères sont souvent celles de leur mariage ou de leur nouveau-né.  L'an passé, on a dit que Jessica Simpson a fait le tour des magazines de vedettes afin de vendre les premières photos de son bébé pour au moins $ 500 000.  Celles des jumeaux de Jennifer Lopez et de Marc Anthony ont valu six millions de dollars à leurs heureux parents, il y a quelques années.  Pour celles de leur poupon, Matthew McConaughey et Camila Alves se sont contentés de la moitié de cette fabuleuse bourse.

Kim Kardashian en est une autre qui aime bien se faire croquer le portrait.  Tellement que le marché est inondé de ses photos et que ça fait forcément baisser les prix que les paparazzi peuvent obtenir en les vendant.  Néanmoins, les photos de la star aux formes généreuses, prises pendant qu'elle se baignait en bikini, lors de sa plus récente lune de miel, ont été adjugées pour la rondelette somme de $ 100 000.  Dire qu’au commencement de sa carrière, lorsqu'elle cherchait à se faire reconnaître du public et du milieu du show business, c'est elle qui payait les paparazzi pour qu’ils la photographient un peu partout.  En son temps, Britney Spears a recouru au même stratagème.

Ironiquement, cette recherche du concours ou de la complicité des paparazzi se produit également dans le cas des « étoiles» pâlissantes ou en déclin, dans des tentatives pour réanimer leur carrière.  Ainsi, on sait que Denise Richards et Tori Spelling ont fait ce type d’arrangements avec des photographes pour être prises en photos avec leurs enfants.  Parce que les enfants... on le sait, ça fait «vendre» et ça fait parler d'elles.  Et c’est justement ce qu'elles veulent, pour qu’on ne les oublie pas.


En certaines occasions, ce sont les circonstances et les conditions entourant la prise de photos qui font qu’elles se vendent à prix d’or.  La chance et le bon « timing » sont alors au rendez-vous.  Comme pour ce paparazzo qui a rencontré par hasard Amanda Bynes (photo ci-dessus) dans un restaurant.  Celle-ci, ne voulant absolument pas être photographiée ce jour-là, s’en est prise physiquement au photographe qui la mitraillait de son appareil.  Ce dernier en a fait une vidéo et un ensemble de clichés exclusifs qu’il est parvenu à vendre pour $ 85 000.  Bynes a dû recevoir de l'aide psychiatrique, peu de temps après cette altercation.  Oui, parfois, les paparazzi harceleurs peuvent vous rendre dingues...  Parlez-en à Lindsay Lohan, dont les photos ne valent cependant plus rien...

En général, les meilleurs paparazzi réussissent à bien vivre de leur métier en accumulant des revenus annuels dans les six chiffres (plus de $ 100 000).  S'ils sont plusieurs à prendre le même cliché d’une vedette, ça leur vaut une centaine de dollars.  Mais dans le cas d’une exclusivité, la même photo peut trouver preneurs à dix fois ce prix.

Cependant, leur gagne-pain représente souvent une activité compliquée, intense, compétitive et dangereuse.  Ils se retrouvent parfois dans des poursuites en voiture, dignes des films d’action.  Ils peuvent se heurter à des agents de sécurité engagés par des célébrités qui ne veulent pas être importunées ou qui tiennent jalousement à protéger leur vie privée.  Ils doivent aussi être très bien informés des déplacements ou de l’agenda des personnalités ciblées.

Somme toute, c'est un métier difficile qui ne leur vaut pas une bonne réputation chez les artistes et le public, en général.  Mais ça n’empêche pas ces gens de se précipiter pour acheter des revues où sont exposées les photos de paparazzi montrant toutes ces vedettes dans des situations ou des positions plus ou moins heureuses; que ce soit à l'occasion de mariages, de naissances, de scandales, ou pour illustrer le résultat de leur dernière chirurgie plastique...  On est loin des anciennes croyances des Amérindiens qui refusaient de se faire prendre en photo pour ne pas se faire voler leur âme...

mardi 17 juin 2014

LES BELLES À CROQUER DE LA COUPE DU MONDE DE FOOTBALL.


La lutte pour l'obtention de la Coupe du Monde de Football s'est entamée le 12 juin dernier au Brésil.  Les grands champions seront couronnés le 13 juillet.  Jusqu'à maintenant, le tournoi présente du jeu offensif et des matchs palpitants, au grand plaisir des foules qui y assistent et des 3,6 milliards de téléspectateurs qui le regardent sur petits et grands écrans à travers le monde entier.  Cet événement monstre, qui devrait attirer 3,7 millions de visiteurs au Brésil, est d'ores et déjà celui qui aura suscité le plus de messages sur les réseaux sociaux de la planète.  Depuis un an, ce Mondial a en effet été mentionné 19 millions de fois sur ces populaires moyens de communication modernes, dans pas moins de 230 pays autour du globe.  Un fort pourcentage de ces communications ont porté sur la démesure et les coûts astronomiques de cette grande fête autour du sport numéro un au monde.  Comme pour les derniers Jeux Olympiques, le mondial est devenu une affaire de corruption, de dépenses gigantesques incontrôlées, et d'injustice sociale.


Désabusés et choqués, beaucoup de Brésiliens dénoncent le fait, par exemple, que les stades que l'on a construits dans une douzaine de villes du pays, pour recevoir cette 20e Coupe du monde, ont coûté quatre fois plus d'argent que prévu.  On estime que ce Mondial aura coûté environ 14 milliards de dollars (comparé à cinq milliards pour celui d'Afrique du Sud, en 2010) pour des retombées économiques que l'on évalue à 70 milliards de dollars.  Ce dernier chiffre est mis en doute par de nombreux Brésiliens.  Des milliers de manifestants ont protesté notamment parce que des centaines de familles brésiliennes ont été expulsées de leur domicile, qui a ensuite été démoli pour faire de la place aux infrastructures et aux édifices requis pour tenir ce 2e Mondial dans cette contrée d'Amérique du Sud.  Le premier s'était déroulé en 1950.



L'organisation de cette Coupe du Monde a été déficiente et elle a accumulé de nombreux retards au calendrier des diverses constructions qui devaient être réalisées pour que le pays soit prêt à recevoir les joueurs des 32 nations participantes, ainsi que les millions de spectateurs locaux et étrangers.  On a même craint, à un certain moment, que le Brésil subisse le même sort que la Colombie, qui, en 1986, devait accueillir le Mondial mais qui, faute de moyens financiers suffisants, avait dû céder le tournoi au Mexique.  Bien des observateurs ont souligné que ces milliards de dollars dépensés pour cet événement grandiose auraient pu être utilisés à meilleur escient afin de renflouer les systèmes d'éducation et de santé nationaux, aux prises avec un sous-financement chronique.




On a aussi pris bonne note de l'augmentation de la violence et de la criminalité, dans le sillon de l'organisation de cette méga démonstration sportive.  Ainsi, outre la prostitution qui a pris une ampleur inégalée, le nombre de vols contre les piétons a augmenté de 43% au premier semestre de 2014, par rapport à la même période l'an passé.  Les Brésiliens ont certes démontré leur mécontentement, mais leurs manifestations ont souvent été réprimées durement par les forces policières.  Ce qu'ils ont aussi dénoncé vivement...


Mais tout ça n'a pas diminué l'enthousiasme débordant des passionnés du foot.  Une fois rendus dans les stades pour célébrer la grande fête des artistes du ballon rond, les spectateurs s'en donnent à coeur joie.  Souvent, les sièges des estrades ne servent pas à grand chose puisque les supporteurs des diverses équipes passent les matchs debout à crier leurs encouragements et leurs slogans de ralliement, ou à chanter leurs refrains partisans.  Les victoires des uns sont acclamées follement, tandis que les défaites des autres provoquent larmes et déprimes.




Si la compétition est forte sur les terrains, entre les joueurs, elle l'est également dans les gradins, entre les fans.  On rivalise d'enthousiasme et d'originalité pour arborer les plus beaux costumes, les déguisements les plus frappants, les maquillages les plus audacieux.  Certains exhibitionnistes dépassent les bornes, et des filles très sexy volent la vedette, comme en font foi les photos qui accompagnent ce texte.  Les Brésiliennes, en particulier, s'imposent par leur charme et leur beauté.  D'accord, ce Mondial a pu entraîner certains problèmes sérieux, mais, jusqu'à présent, du moins, ça se passe plutôt bien, et les partisans des diverses équipes nationales peuvent fêter ensemble, en toute amitié.


C'est incroyable le degré d'attention que suscite les parties impliquant les joueurs des pays les plus puissants de ce sport.  Ainsi, en Italie, tout s'arrête quand le club national est en action.  Plus de 80% des Italiens sont rivés sur les téléviseurs pour suivre les exploits de leurs fiers compétiteurs.  Alors, des touristes nord-américains, peu adeptes du soccer, auront la surprise de se retrouver bloqués sur les routes du pays quand des camionneurs italiens abandonnent en masse leur véhicule au milieu du chemin pour aller regarder le match impliquant la sélection nationale !



Tous ces représentants des nations participantes peuvent se taquiner ou crâner au sujet du club qui sortira gagnant de cette compétition de haut niveau.  Même si pas moins de 76 équipes se sont qualifiées au cours de l'histoire de la Coupe du Monde (dont les débuts remontent à 1930, en Uruguay), seulement huit ont remporté les grands honneurs de ce tournoi chaudement disputé.  Le Brésil, le pays le plus titré du Mondial avec six championnats, a encore des prétentions pour gagner de nouveau cette année.  D'autres vainqueurs multiples comme l'Italie (quatre titres), l'Allemagne (trois) et l'Argentine (deux) ont les mêmes visées.  À moins que, comme l'Espagne, en 2010, ce soit le tour d'un autre pays à conquérir pour la première fois la suprématie du football international.


En attendant, comme toutes ces belles à croquer du Mondial, dansons sur le rythme endiablé de la chanson "We are One, Ole, Ola", interprétée par Pitbull, Jennifer Lopez et Claudia Leitte.  Ci-dessous :




jeudi 13 février 2014

LES PLUS BELLES À CROQUER, EN BIKINI, SUR LA PLAGE...

Comme l'écrivait si bien le poète Nelligan, «Ah ! comme la neige a neigé, ma vitre est un jardin de givre».  On a beau avoir connu beaucoup de durs hivers lorsque l'on habite un pays nordique, on ne s'habitue jamais à ce climat rigoureux.  Le vent glacial, le froid arctique, ce soleil si blême qui semble presque éteint, nous incitent fortement à ne pas mettre le nez dehors et à rester bien au chaud dans nos logis.  Pour se remonter le moral, bien calé dans un bon divan devant un réconfortant feu de foyer, on ferme les yeux et on s'imagine sur une plage du Sud.  Transportés par la magie du rêve, dans ces endroits paradisiaques, diamétralement à l'envers de l'hiver frigorifique, on peut presque toucher aux créatures angéliques qui se prélassent au bord des mers tropicales.

On parle ici de ces superbes femmes qui sont les déesses des plages de sable chaud.  Celles qui ont épousé ces lieux.  Celles pour qui c'est un milieu naturel, auquel elles se sont adaptés et avec lequel elles font corps.  Celles pour qui la plage est un mode de vie.  Oubliez les voyageuses occasionnelles qui fréquentent les plages lors de leurs vacances annuelles et qui ont dû faire des efforts et des sacrifices inouïs pour être capables d'entrer dans leur costume de bain...après avoir perdu au moins une demi-douzaine de kilos !  Ces tricheuses ne sont pas des "vraies de vraies" belles de plage.


Pour avoir droit à ce statut, il faut remplir plusieurs conditions bien précises et satisfaire des critères assez sévères.  Il ne s'agit pas seulement de bien paraître, il faut d'abord avoir la bonne attitude.  Ce qui distingue la belle à croquer de plage c'est son attitude relaxe, très "cool".  Elle n'est ni stressée, ni énervée, ni crispée ou "pincée".  C'est le cas de le dire, la belle de plage est très...terre à terre et se laisse bercer par les vagues de l'océan.  À la limite, elle est aventureuse et aime flirter, sans rien forcer, tout naturellement...




Et puis, bien entendu, la belle à croquer de plage a un "look" typique.  Celui dont toutes les femmes rêvent.  Contrairement à ce que l'on pourrait penser, elle n'a pas un "look" recherché.  Elle n'a pas besoin de beaucoup d'artifices pour être à son mieux.  Elle est simple, garde un profil bas et "respire" la santé.  Elle n'a pas besoin de s'afficher et d'être prétentieuse.  Elle sait incarner l'été.  Elle sait s'imprégner de sa chaleur et de sa lumière, pour resplendir au grand jour.  Malheureusement pour elles, les filles rousses ne peuvent pas facilement aspirer à devenir des belles de plage.  Leur peau et leur teint blancs comme du lait est impossible à bronzer.  Elles rougissent au soleil, puis redeviennent pâles, quelques jours après leur séjour à la plage.  Le fameux "sun tan" des belles de plage ne s'obtient pas sans faire attention à son épiderme.  Bien sûr, l'usage d'exfoliant et de crème de bronzage est requis, mais il faut savoir doser son exposition au soleil entre les séances de bronzage, les baignades et la pratique de sports de plage comme le surf, la course, ou le volley-ball.  Le sable chaud, le soleil, l'azur de la mer et du ciel conviennent mieux aux brunettes et aux blondes foncées ou châtaines.  Selon la configuration de leur visage, leurs cheveux seront légèrement bouclés, droits, en chignon ou en queue.  Le soleil ardent ne favorise que les teintes naturelles ou les mèches colorées légèrement par des teintures artificielles.  La chevelure de ces beautés reflétera la lumière en des tons chatoyants.  Il faut éviter l'abus de produits chimiques, qui sous les forts rayons de l'astre du jour, abîmeront les cheveux et les rendront secs.  




Le maquillage des belles de plage sera également très léger et à l'épreuve de l'eau.  Un peu de mascara et de baume pour les lèvres feront l'affaire. Il faut surtout éviter les couleurs éclatantes.  Les tons clairs sont préférables.  En ce qui concerne les vêtements, les tissus légers et souples, les couleurs brillantes ou le blanc, sont de bons choix.  Outre l'incontournable bikini, les robes soleil, le short, les jolies blouses, la robe courte en jeans, font partie de la garde-robe à adopter.  L'originalité et les dernières tendances de la mode distingueront avantageusement la belle de plage du reste de la gent féminine qui fréquente les bords de mer.  Si attrayante soit-elle, la belle de plage ne paraîtra pas bien si son choix de costume est déplaisant, démodé, non seyant, mal agencé ou inapproprié.  Des accessoires comme des bijoux, une casquette, un chapeau ou des lunettes de soleil permettront à la belle de plage de compléter son "look d'enfer"...  Encore là, la modération a bien meilleur goût.  Il ne faut pas exagérer.  Un joli bracelet en cuir ou en coquillages, ainsi que des boucles d'oreilles discrètes, sont suffisants.




Côté caractère, la fille de plage idéale aura un bon sens de l'humour et se sentira bien dans sa peau.  D'esprit ouvert, elle saura être sexy et attirante mais elle fréquentera surtout des amis sûrs.  Elle ne fera pas dangereusement confiance au premier inconnu qui l'abordera.  On aime des belles de plage avec des formes très féminines.  Les filles du genre "mannequin", c'est-à-dire plutôt maigrichonnes, ne se qualifient pas nécessairement pour faire partie des rangs de ces adeptes des stations balnéaires.  Il en va de même pour les femmes mal proportionnées.  Étant plutôt du genre sportive, les belles de plage ne seront généralement pas trop forte du buste ou du fessier, mais elles seront quand même bien pourvues à ce point de vue.


Ce portrait d'ensemble de la belle de plage correspond davantage à un mode de vie plus propice aux jeunes femmes qui habitent les régions chaudes et les bords de mer du globe.  C'est pas mal injuste pour celles qui ne peuvent jouir de cette situation à longueur d'année.  Mais, que voulez-vous, n'est pas belle de plage qui veut !  Dans le diaporama qui suit, vous découvrirez quelques exemples superbes de filles de plage plus sexy les unes que les autres.  Et quoi de mieux qu'une musique (paradise) du groupe ColdPlay pour rehausser encore plus la beauté de ces images fantastiques !




CHRISTINA  MILIAN  ET  MATT  POKORA  CÉLÈBRENT  SEPT  ANNÉES  DE  BONHEUR. Milti-talentueuse, la belle à croquer Christina Milian a connu to...