samedi 31 octobre 2015

BELLES À CROQUER MÊME DANS...LA BOUE !


Depuis la nuit des temps, on a associé la terre à la femme. Que ce soit dans les mythologies des peuples anciens ou dans les écrits des poètes célébrant la mère nature, terre et femme sont unies dans le destin de l'humanité. La terre fertile et nourricière produit les moissons et les plantes qui guérissent. La femme est la terre que l'homme laboure et ensemence. Au cours des cinquante dernières années, dans les sociétés occidentales modernes, le mode de vie jadis intimement lié à la nature et à l'agriculture, s'est transformé radicalement. L'industrialisation à grande échelle, la mécanisation, la technologie et les télécommunications ont changé totalement le rapport des gens avec la nature. Combien d'enfants ou d'adolescents ne jouent presque plus dehors et préfèrent rester enfermés dans leur chambre à jouer à des jeux électroniques ? Le lien au monde extérieur et à la terre est rompu en faveur du cyberespace.


La femme subit également cette rupture avec la nature et elle risque de devenir artificielle en se maquillant à outrance ou en recourant abusivement à la chirurgie plastique. Pourtant, comme en témoignent les photos de ce billet, lorsque la gent féminine renoue avec la terre en s'enduisant le corps de boue ou de vase, les résultats sont parfois spectaculaires et étrangement sexy ! Comme pour prouver que les éléments terrestres se marient tellement bien avec le corps de la femme. Comme pour prouver que les anciens avaient raison de les associer symboliquement... Ce n'est pas déraisonnable de considérer la terre et la femme comme des synonymes, comme des sources de vie et d'énergie. Les deux donnent la vie qu'elles portent en elles. En fait, ces boues et cette vase peuvent sembler repoussantes et répugnantes à première vue. Mais elles peuvent contenir des minéraux et être riches d'éléments naturels dont on se sert d'ailleurs pour fabriquer des... cosmétiques !


Ces cosmétiques servent non seulement de produits de beauté mais ils peuvent aussi soigner des maladies de peau comme l'eczéma. Ce serait exagéré de pousser l'allusion aux cosmétiques jusqu'à l'illusion parfaite en prétendant qu'en prenant un bain de boue, la femme, en quelque sorte, soigne sa beauté ! Mais le miracle, le secret, le mystère de la beauté, c'est qu'une jolie femme puisse rester belle même lorsqu'elle est couverte de boue ! J'oserais même affirmer que le corps de ces belles, maculées de vase, peut éveiller chez les hommes un instinct primitif, une sorte d'atavisme remontant aux temps anciens où la femme était une terre à labourer et à ensemencer !  Mais ces dames, surtout les féministes, sont sûrement en désaccord...



Ce qui est formidable, c'est qu'en Amérique du Nord, il y a de plus en plus d'activités de plein air où les gens prennent plaisir à s'asperger ainsi de boue.  En effet, on aime sans cesse davantage participer ou assister à ces joyeuses courses à obstacles qui permettent de se salir en alliant : sain exercice physique, bienfaits du plein air, compétition amusante, belle persévérance, chaleureuse entraide, et franche camaraderie.  Il faut voir comment ces personnes s'excitent et retombent en enfance !  Et, de plus, ces excellents exutoires s'accomplissent souvent afin d'amasser des fonds pour des oeuvres de charité.  Fantastique !

Les "Mud Fest" et les courses à obstacles dans la boue sont très populaires dans les pays anglo-saxons comme les États-Unis et la Grande Bretagne.  Certaines compétitions sont plus sérieuses et difficiles.  Elles comportent parfois des dangers pour la santé des participants.  Parmi les plus célèbres Mud Fest, celle de Boryeong, en Corée du Sud, se distingue particulièrement.  En Angleterre, il faut mentionner le festival de Glastonbury.  L'Allemagne est fière de son Festival de Brunsbüttel, et les Suisses ont également leur occasion de se vautrer dans la vase avec leur festival national.



Les courses dans la boue connaissent un essor encore plus fort avec des rendez-vous comme la Spartan Race, la Tough Mudder, la Dirty Girl Mud Run (une course réservée aux femmes et qui a pour objectif d'amasser des fonds afin de financer la recherche pour combattre le cancer du sein), la BattleFrog, la Savage Race, la Mudderella...

Voici un montage de quelques jolies femmes croquées sur le vif en participant à des festivals de bains de boue ou à des courses à obstacles dans la vase...  La musique d'accompagnement est signée MUD SLINGERS, et leur pièce est intitulée "Mud Digger". Avec la participation de leur invité spécial Colt Ford.  Enjoy !




vendredi 31 juillet 2015

VAGUE DE CHALEUR ET...DE JOLIES FILLES PRESQUE NUES SUR LES PLAGES !


Cette année, l'inde en a particulièrement souffert...  Il y a deux ans c'était l'Afrique du Nord qui devait l'endurer.  Puis ce fut au tour des États-Unis d'être touchés.  À ce temps-ci de l'année, la canicule ou les vagues de chaleur accablantes, finissent par affecter des gens un peu partout sur la planète.  Et avec le phénomène du réchauffement climatique, nous ne sommes pas prêts d'y échapper dans le futur.  

Dans plusieurs villes autour du globe les températures peuvent atteindre jusqu'à 106 ° F (40 ° C) et le fort taux d'humidité empire encore plus la chaleur ressentie. Les morts attribuables à la canicule se comptent par dizaines, voire des centaines, dans certaines régions.  Les gens, incommodées par la chaleur extrême, vont au cinéma, dans les musées, dans les centres d'achat climatisés ou empruntent plusieurs fois le métro, pour trouver un peu de fraîcheur.

L'autre moyen pour fuir la "fournaise" des grandes villes, où on peut faire cuire un oeuf sur l'asphalte des stationnements ou sur la tôle brûlante des voitures, c'est de courir à la plage et s'immerger sous l'eau. Les parcs où il y a des fontaines ou des jets d'eau sont aussi fort populaires.


Comme si cette situation, qui perdure souvent de façon inhabituelle, n'était pas suffisante, la chaleur très humide rencontre parfois des masses d'air plus froid, ce qui, à certains endroits, provoque des tempêtes de vent ou des orages courts, mais violents. Résultats ? Des arbres ou des branches cassés touchent des fils électriques, ce qui cause des pannes de courant, et bien d'autres ennuis. Sans électricité, pas moyen de faire fonctionner l'air climatisé pour combattre la vague de chaleur.

Les personnes qui travaillent dehors, ou dans des endroits déjà chauds d'avance, comme les boulangeries, sont parfois à la limite de l'évanouissement.  D'autres se procurent des cubes de glace, et font fonctionner un ventilateur derrière, pour se rafraîchir. 


Mais il n'y a pas que des désagréments causés par de telles canicules.  Les badauds qui fréquentent les plages peuvent en effet se rincer l'oeil, avec toutes ces jolies filles en bikini, qui, avec leurs courbes superbes, changent diamétralement la topographie de ces lieux...normalement plats !  Mais attention messieurs, à trop regarder ces beautés presque nues, vous risquez d'être frappés par un coup de chaleur d'un autre genre, ou...par votre conjointe, si elle vous accompagne sur la plage ! 

Hum... Ne nous laissons pas emporter ! Les créatures de rêve sont de moins en moins nombreuses sur ces étendues de sable chaud.  Par exemple, aux USA, l'obésité et le diabète de type 2 font de plus en plus de ravages. Ce sont des montagnes de graisse et de cellulite qui envahissent plutôt les berges des lacs ou le bord des océans.



Après la création du bikini en 1946, par l'ingénieur français Louis Réard, (voir à ce sujet mon blogue BIKINI AND POM POM GIRLS -www.bikiniandpompomgirls.blogspot.ca-) ces minuscules costumes de bain ne furent pas adoptés par tout le monde. Bien au contraire ! La religion et les bonnes moeurs de l'époque condamnaient ou restreignaient son usage. À la fin des années 1940, seules les femmes appartenant à la classe supérieure de la société, le portaient parfois. Il était alors inconvenant, voire scandaleux, de dévoiler autant son corps, surtout...le nombril !



Plus tard, dans les années 1950 et 1960, certains esthètes ont fait campagne pour que le bikini soit réservé uniquement aux femmes possédant une belle silhouette (les Belles à Croquer, quoi !).

De nos jours, la promotion d'un tel idéal serait impossible. Le bikini est devenu, dès les années '60, un symbole de la libération de la femme. Sa popularité se constate dans le chiffre des ventes qui atteint plus de 820 millions de dollars par année... Sans compter le surplus de crème à bronzer nécessaire pour protéger toute cette peau mise à nue, surtout quand la vague de chaleur s'abat...

Dans ce temps-là, mieux vaut faire comme Jessica (photo ci-dessus) et chercher de l'ombre pour prendre une petite douche d'eau froide... 

CHRISTINA  MILIAN  ET  MATT  POKORA  CÉLÈBRENT  SEPT  ANNÉES  DE  BONHEUR. Milti-talentueuse, la belle à croquer Christina Milian a connu to...