mercredi 6 octobre 2010

FILLES SEXY ET FOOTBALL : UNE FORMULE GAGNANTE !


Lorsqu'une personne désire se lancer en affaires et cherche conseil auprès des experts en la matière, on lui recommande souvent d'observer les gens dans son milieu social. Quels sont leurs habitudes, leurs besoins, leurs goûts, leurs passions, leurs points d'intérêt, leurs dépendances ? À partir de ces observations, il faut faire travailler l'imagination, brasser des idées, les associer pour créer un concept original, mettre au point un produit qui plaira autant aux investisseurs qu'aux consommateurs... En étudiant la psyché américaine, Mitch Mortaza, le fondateur de la LINGERIE FOOTBALL LEAGUE, a possiblement découvert un produit, une offre irrésistible qu'une vaste clientèle ne pourrait refuser. Peut-être en a-t-il eu l'idée en regardant un match de football à la télévision et en voyant des cheerleaders sexy se démener pour que les spectateurs encouragent leur équipe favorite...


Qu'est-ce qui intéresse le plus l'homme américain si ce n'est pas le football, une religion aux USA, et les femmes sexy, que l'on voit partout y compris sur internet et dans toutes ces publicités racoleuses dont nous sommes inondés ? De là est née l'idée d'associer football et sexe : faire jouer de jolies demoiselles en petites tenues. Génial, innovateur, séduisant, payant et très XXIe siècle ! De plus ça fait partie de l'industrie du vice comme les boissons alcoolisées, la cigarette, les jeux de hasard, etc. Une industrie anti-récession ! La belle affaire !


Les États-Unis ne se sont pas encore remis de la profonde dépression qui s'est abattue sur le pays il y a deux ans, mais cette calamité n'a pas empêché Mortaza de lancer avec succès sa LFL (Lingerie Football League) l'an dernier. Il prévoit installer des équipes dans les 32 marchés de la NFL (National Football League) et même en Europe. Son "produit" est loin de faire l'unanimité et les groupes féministes l'accusent d'exploiter les jeunes femmes en en faisant des objets sexuels. L'homme d'affaires se défend en affirmant que son "personnel" est formé avant tout d'athlètes pratiquant un sport reconnu. Elles ne sont pas plus dévêtues que les joueuses de volley-ball de plage ou certaines joueuses de tennis...


On ne peut nier que ces footballeuses très "spéciales" sont en grande forme et qu'elles doivent s'entraîner sérieusement pour ne pas avoir l'air folle sur le terrain (voir mes articles à ce sujet sur mon blogue FOOTBALL MANIA AVEC HACKSAW). Leurs entraîneurs sont souvent d'anciens joueurs de la NFL et ils leur apprennent réellement à jouer du vrai football de contact. Mais n'entre pas qui veut dans ces clubs réservés à des filles jeunes (moins de 25 ans) et au profil de mannequin.


Oui ces sportives savent jouer au football et déclarent qu'elles veulent être d'abord appréciées pour leur talent et leurs efforts, mais toute la machine promotionnelle et publicitaire de la LFL fonctionne surtout en exploitant l'aspect "sexy" de ce produit offert à une clientèle masculine qui ne serait sûrement pas aussi nombreuse si les filles portaient des uniformes de football classiques. Il ne faut pas être naïfs... On peut se demander quel message cet autre élément d'hypersexualisation envoie aux jeunes. Déjà submergés par les nombreux exemples de vedettes super sexy comme Britney Spears et compagnie, les pré-adolescentes veulent suivre la "mode" en copiant leurs idoles... Évidemment ces dernières sont loins d'avoir des tenues et des comportements décents sur ou en dehors de la scène... Les parents doivent éduquer leurs enfants en leur faisant comprendre que le plus important ce n'est pas les apparences, le superficiel, le "paraître" mais l'authenticité, la personnalité, "l'être"...

Mais pour le public adulte averti, il n'y a pas de mal à admirer ces phénomènes que sont ces footballeuses aux corps de déesses... On peut le faire pour diverses raisons dont celle qui procède d'un certain voyeurisme, pour ne pas dire un voyeurisme certain. C'est une curiosité "animale", d'instinct, que Anne-Marie Losique, notre sexy animatrice d'émissions "soft porn", a décidé d'exploiter en lançant une chaîne de télévision pour adultes. Pas étonnant qu'elle ait annoncé récemment que les matchs de la LFL feront partie de sa programmation.

Qu'elles soient l'objet de moqueries ou traitées comme des femmes-objets, il n'empêche que les filles de la LFL se prennent au jeu et veulent gagner lorsqu'elles sautent sur le terrain de football. Et elles veulent le faire à leur façon ! OUR OWN WAY comme le chante Klaas...



mercredi 22 septembre 2010

ADRIANA LIMA RÉVÈLE SON PRINCIPAL SECRET DE BEAUTÉ : LA BOXE !


En observant certaines des plus belles femmes du monde, particulièrement celles qui défilent dans les plus prestigieux galas de mode, on se dit qu'elles sont chanceuses et bénies d'être nées ainsi, avec cette grâce rare de la beauté pure et naturelle. Un véritable cadeau céleste ! Une fois terminé le spectacle éblouissant de beauté de ces corps sensuels sertis de paillettes et de bijoux, évoluant dans des décors de rêve dignes des contes des mille et une nuits, vous redescendez sur terre en pressentant que cet enchantement ne doit pas se créer sans peine. Par-delà ces apparences féériques, on soupçonne que ces anges-mannequins, triés sur le volet, doivent bien souffrir un peu pour être aussi resplendissantes. Nous reviennent alors à l'esprit les conditions généralement associées à une carrière dans cet univers très "glamour" : les régimes alimentaires spartiates, la multitude de soins de beauté pour la peau, éviter les excès en tous genres, se reposer pour ne pas avoir les traits tirés, faire attention de ne pas se blesser en pratriquant des activités risquées, etc.


Dans le cas du top model Adriana Lima, cette description n'est pas tout à fait exacte. Elle n'est pas du genre poupée de porcelaine. La ravissante Brésilienne de 29 ans, qui a accouché d'une petite fille le 15 novembre dernier, a un secret de beauté étonnant pour un mannequin de classe mondiale : elle boxe ! Depuis quatre ans, cette discipline sportive plutôt brutale est devenue une vraie passion pour la jolie brunette aux yeux pers. Des prunelles envoûtantes que la magnificence et l'éclat des plus beaux diamants ne peuvent égaler et que ceux qui ont eu la chance de les contempler ne pourront jamais oublier...


Même si Adriana Lima n'est pas la plus délicate et la plus frêle des top models qui règnent présentement sur l'industrie de la mode, on a énormément de mal à s'imaginer qu'elle soit une boxeuse (!), en admirant sa démarche racée sur les tribunes des shows de mode. Mais c'est pourtant la pure vérité. Certains journalistes sceptiques, qui l'ont reçue en entrevue, en ont été convaincus en remarquant que cette New Yorkaise d'adoption se présentait parfois aux rendez-vous médiatiques avec des meurtrissures aux jointures des doigts. Son entraîneur Michael Olajide Jr, ex-boxeur professionnel dans les années '80, ne tarit pas d'éloges envers celle qu'il a surnommé sa "combattante". À part soulever des poids et des haltères, Adriana suit sensiblement le même entraînement qu'un boxeur amateur : corde à danser, shadow boxing, taper dans les grosses mitaines portées par son coach, etc. Au début, Adriana n'était guère entichée des exercices de corde à danser, mais aujourd'hui elle ne pourrait s'en passer. Olajide n'en revient pas encore de voir sa célèbre élève maîtriser aussi parfaitement les diverses techniques de la corde à danser (en croisées, en double, inversées) et ce, à une vitesse d'exécution très impressionnante ! Une vraie pro !


Presque tous les matins, celle qui depuis dix ans est devenue une des vedettes préférées de la prestigieuse maison de mode Victoria's Secret, fait une heure de corde à danser, puis, lorsqu'elle revient au gym en après-midi, c'est pour une autre heure de "shadow boxing" en plus d'exercices spécifiques servant à sculpter les courbes de son corps. S'il lui est impossible de se présenter en gymnase l'après-midi, Adriana se tape les deux heures d'exercices de façon consécutive, le matin. Après son accouchement, la nouvelle maman a mis les bouchées doubles pour retrouver sa silhouette de mannequin. Profitant des siestes de son bébé, Adriana n'a ménagé aucun effort pour reprendre son rigoureux entraînement afin de perdre les kilos en trop. En y mettant toute la gomme, elle a gagné son pari assez rapidement, même si au début elle était frustrée de ne pas être capable de faire tous les exercices aussi bien et aussi vite qu'auparavant. "C'est incroyable ce qu'elle a accompli" a souligné son entraîneur, impressionné et ébahi. Olajide n'a pas eu à motiver ou à pousser sa charmante cliente, parce qu'elle est très déterminée et vaillante...


Le coach poursuit en ajoutant qu'il admire sa "combattante" pour son intensité au travail et pour sa passion pour son programme d'entraînement. Elle veut toujours apprendre de nouveaux trucs et se surpasser. Ce que Olajide aime le plus à propos d'Adriana, c'est que, face aux difficultés ou lorsque ça ne va pas comme elle le veut, elle redouble d'ardeur au lieu d'abandonner comme beaucoup d'autres le font, malheureusement. C'est à ce trait de caractère que l'on reconnaît une championne ou les gens qui sortent de l'ordinaire. Une championne au gym comme au palmarès des mannequins les mieux payés sur la planète, où la belle aux origines suisses, indiennes et brésiliennes se classe dans le top 5, avec des revenus de 7,5 millions de dollars l'an passé.


Pourquoi avoir choisi la boxe ?, lui demande-t-on parfois. Il y a des sports moins difficiles non ?, même si la principale intéressée ne va pas jusqu'à boxer pour de vrai dans un ring, contre de véritables adversaires ! Adriana répond que cette discipline convient à son caractère de "battante" et qu'elle l'aide à rester en santé, en forme et en beauté. C'est surtout très bon pour l'apparence de sa peau et la souplesse de son corps, prétend-t-elle. En un mot : la boxe la rend plus belle ! Et si son coach Olajide admire ses qualités tant physiques que morales, son élève douée lui retourne bien l'ascenseur. Elle vante ses compétences et son professionnalisme en plus de se dire impressionnée par sa personnalité remarquable.


Lorsqu'on la questionne sur son style vestimentaire en dehors des studios et des shows de mode, celle qui a épousé le pro du basketball Marko Jaric, il y a trois ans, répond que tout commence avec la lingerie. Pour se sentir confiante, confortable et sexy, Adriana aime porter les sous-vêtements de Victoria's Secret parce qu'ils enrobent bien sa silhouette en épousant ses formes. Pour les tenues de soirée, la mère de la petite Valentina s'inspire du style classique et sexy de l'une de ses idoles, la star de cinéma Sophia Loren. Ce qu'elle déteste ? Les robes qui n'ont qu'une épaule ou une seule bretelle. Peu importe la robe, direz-vous, Adriana la fera toujours bien paraître...


Pour en savoir davantage sur Adriana Lima, vous pouvez consulter l'autre article que j'ai écrit à son sujet sur mon blog PROFESSION : FEMME DE PRO DU SPORT (http://professionfemmedeprodusport.blogspot.com). Dans le montage audio-visuel qui suit, j'ai choisi une chanson de Jesse McCartney intitulée BODY LANGUAGE. Les paroles font justement référence au fait que notre super mannequin vedette parle plusieurs langues et s'exprime comme personne d'autre, avec son langage corporel exquis !


jeudi 5 août 2010

SOUFFRIR POUR ÊTRE BELLES OU...ÊTRES BELLES POUR SOUFFRIR À MIAMI ?


Selon l'adage, "il faut souffrir pour être belle". Dans le cas des cheerleaders des Dolphins de Miami, de la Ligue Nationale de Football, c'est peut-être le contraire : il faut être belle pour souffrir. Certes les jolies jeunes femmes qui aspirent à parader et à jouer du pom-pom devant les foules immenses qui assistent aux parties des Dolphins, à Miami, doivent faire des sacrifices et s'entraîner fort pour garder la forme (les formes !) et avoir une chance d'être choisies parmi des centaines de candidates aux auditions qui servent à déterminer les heureuses élues. Il est également indéniable que, pour tomber dans l'oeil des juges lors des auditions, beaucoup de filles auront recours à la chirurgie plastique pour sculpter et améliorer leur silhouette. Sans compter tous les soins qu'elles apportent à leur peau, à leurs cheveux, à leurs yeux et à leur bouche, par l'application de crèmes, de lotions, de colorants, de rouge à lèvres, de maquillage, etc.

Évidemment, il ne suffit pas d'être belle ou de se faire belle pour se tailler une place chez les meneuses de claques professionnelles. Il faut savoir se présenter, communiquer, bien bouger, avoir du charisme, être à l'aise avec les gens, danser très bien, et exécuter certaines figures de cheerleading (mouvements de gymnastes). Et si vous êtes "sexy", vous avez une bonne longueur d'avance ! Pour vous aider à jouer cette carte du "sex appeal", un beau costume est un atout de taille. Celui des pom-pom girls des Dolphins est un des plus beaux chez les cheerleaders de la NFL. Il n'en a pas toujours été ainsi. Dans les années 70 et 80, lorsque l'équipe était commanditée par les restaurants Burger King, l'uniforme des filles était affreux. C'était une combinaison moulante, avec pantalon long, arborant de larges bandes de couleur à la verticale. Un vrai costume de clown. Au cours des dernières années, la troupe de meneuses de claques des Dolphins a eu successivement deux directrices formées à l'école des cheerleaders des fameux Cowboys de Dallas, des experts en la matière. Leur expérience et leur influence ne doivent pas être étrangères à l'embellissement notoire de l'uniforme porté par les membres de leur "squad" de Miami. On en a un superbe exemple en regardant la photo de la ravissante Vicky (ci-dessous).


Si, à force de soins de beauté, d'entraînements, de savoir-faire et de performances athlétiques, vous réussissez l'exploit de surpasser la quasi-totalité des candidates lors des auditions de sélection, vous n'êtes pas au bout de vos peines. Vous voilà une cheerleader des Dolphins avec toute la pression que cela représente pour passer au travers d'un calendrier très chargé d'activités sociales, culturelles et médiatiques. Mais le plus dur reste le défi de bien performer le jour des matchs. Vous devez dépenser beaucoup d'énergie pour livrer un spectacle très exigeant au point de vue physique. Avec un thermomètre montant à 120 degrés sur le terrain, vous avec besoin d'être en excellente forme et d'avoir énormément d'endurance. Attendez-vous à être complètement vidées et épuisées à la fin de la journée. Pour éviter les dangers de la déshydratation, les filles doivent boire des boissons énergisantes pendant toute la journée précédant la partie. Un tel régime provoque de fort nombreux voyages aux toilettes !

Dans un passé récent, les représentantes de Miami se sont classées fréquemment parmi les cheerleaders les plus "sexy" des États-Unis, d'après des sondages effectués auprès de milliers de lecteurs de revues pour hommes comme MAXIM'S ou FHM. Et entre toutes les pom-pom girls les plus "sexy", le nom de Lilly Robbins (photo sous le titre de cet article), est revenu souvent dans le top 5 des choix des voteurs. Cette pulpeuse blonde, qui étudie pour être journaliste sportive à la télé, en sera cette année à sa cinquième saison comme meneuse de claques avec les Dolphins.


J'ai déjà souligné que ces Vénus du football ont un horaire bien rempli puisqu'elles participent à plusieurs événements communautaires et qu'on leur fait faire des tournées internationales, notamment pour soutenir le moral des forces armées américaines opérant à l'étranger. Des tournages de vidéos et des séances de photographies dans des lieux paradisiaques, font également partie du boulot de ces véritables mannequins ou top models. Chaque année, la réalisation d'un calendrier de photos pour les partisans du club est un événement très attendu. Face à l'objectif des caméras, certaines cheerleaders, dont Vanessa (ci-dessus), sont resplendissantes de beauté et de grâce. Quel magnifique collier bien assorti à un costume de bain, lui-même pas piqué des vers !


Et, comble de l'originalité, comment ne pas aimer le choix judicieux des tissus pour le costume que porte si sensuellement la belle à croquer Ashton ? Si les ballons de football sont fabriqués avec du cuir de peau de vache ou de cochon, l'imitation de l'apparence de ces ballons sur le bikini porté par la cheerleader des Dolphins a de quoi attirer les regards "cochons" de la gent masculine ! Wow Wow ! De quoi désirer intercepter ou s'emparer du ballon !

LE STUPÉFIANT SECRET DE BEAUTÉ DE DIANE DE POITIERS.

SELON  UN  TÉMOIN  DE  SON  ÉPOQUE,  À  66  ANS,  L'ANCIENNE  FAVORITE  DU  ROI  HENRI  II  EN  PARAISSAIT  30... À travers les siècles,...