lundi 13 décembre 2021

JAYDE NICOLE : DE MANNEQUIN COQUIN À FEMME D'AFFAIRES AVISÉE...


Le magazine PLAYBOY n'affiche plus de femme nue dans ses pages.  En remontant aux débuts de cette publication jadis jugée scandaleuse, beaucoup de splendides représentantes de la gent féminine ont profité de leurs photographies osées, dans cette revue à sensation du magnat de la presse Hugh Hefner, pour lancer une belle carrière dans le monde de la mode.

D'autres "pin-up" de Playboy ont fait leur marque comme actrice au cinéma ou à la télévision.  À titre d'exemples, mentionnons Marilyn Monroe qui fut la première vedette à tout dévoiler dans le numéro initial de Playboy, celui de décembre 1954. Jayne Mansfield (playmate du mois en février 1955), Anna Nicole Smith (mai 1992), Victoria Silvstedt (décembre 1996) ont également atteint le statut de "star" après avoir posé nue pour Playboy.

Mais, somme toute, la grande majorité des playmates de Playboy n'ont pas connu la gloire.  Elles ont certes utilisé cette expérience spéciale comme tremplin pour se tailler une place dans le monde du show business, mais rarement dans des rôles majeurs.



La canadienne Jayde Nicole, (photos ci-dessus), playmate de l'année 2008, a maintenant 35 ans, mais elle tarde à s'affirmer à Hollywood.  Ses fans du Canada, en particulier, s'attendaient à plus de belles choses de leur compatriote native de la banlieu de Toronto.  Ils espéraient la voir suivre les traces de Pamela Anderson, (photo ci-dessous) une autre canadienne, dont la renommée a commencé quand elle est apparue en costume d'Ève dans le Playboy de février 1990.


Physiquement, en dépit de leurs courbes généreuses, les deux "sexy bombs" du pays du premier ministre Justin Trudeau ne se ressemblent guère.  Anderson, une blonde aux yeux bleu, à la Brigitte Bardot; contraste avec Nicole, dont les yeux en amande sont très singuliers et qui arbore une longue chevelure de jais.  Elles ont toutefois en commun d'avoir prêté leur concours à PETA, un organisme de défense et de protection des animaux.


Outre ses titres de playmate du mois de janvier 2007 et de playmate de l'année 2008 dans PLAYBOY, le c.v. de Jayde ne montre qu'une brève apparition dans un film italien, en 2009, ainsi que des petites participations à des télé-réalités. 

En 2009, elle a bénéficié de sa liaison avec Brody Jenner (fils cadet de Bruce Jenner) pour tourner dans la saison 5 de la télé-série "The Hills".  On l'a également vu un peu en 2011 avec une autre ex-playmate Holly Madison dans "Holly's World", une émission de télé qui n'a pas du tout marché.

Après une longue éclipse, elle est réapparue le premier avril 2016 dans la saison 5 de la télé-série de son amie (une autre playmate de Payboy), Kendra Wilkinson (photo ci-dessus): "Kendra On Top".  Mais Nicole n'était qu'une invitée, contrairement à une autre amie de Wilkinson, Jessica Hall (photo ci-dessous), qui joue un rôle récurrent dans cette télé-réalité.  Et... oui, Hall s'est déjà aussi illustrée dans le magazine de Hugh Hefner !  


Ces dernières années, la carrière de Jayde Nicole s'est orientée vers les médias sociaux (deux millions d'abonnés sur Instagram).  Elle a également touché au domaine du fitness, puis elle est devenue une femme d'affaires.

Avec Jessica Hall, une autre ancienne de Playboy, elle est propriétaire d'un restaurant végan mexicain, le Sugar Taco, à Los Angeles, Californie.  Elle veut éventuellement en faire une chaîne, et ouvrir d'autres Sugar Taco un peu partout aux USA et ailleurs dans le monde...

dimanche 3 octobre 2021

BELLES À CROQUER «MADE IN JAPAN».


Le Japon manque de ressources naturelles et de matières premières.  Il doit donc s'approvisionner à l'extérieur de son territoire et compter sur des pays qui sont plus favorisés dans ce domaine.  Mais une fois dotés de ces produits de base, les Japonais savent en faire bon usage, les transformer, et fabriquer de la marchandise d'excellente qualité.  Et les spécialistes du marketing du pays du soleil levant n'ont pas leurs égaux pour vendre ensuite ces produits dans le monde entier.  Pensons seulement à leur industrie de l'automobile. 

Pour commercialiser leurs voitures, notamment par la publicité, dans de grandes foires populaires ou dans de somptueux salons d'exposition, les Japonais ont compris depuis longtemps que l'association "filles sexy & autos de luxe" est gagnante.  La meilleure façon d'attirer l'attention des clients consommateurs est de leur présenter leurs véhicules à l'aide d'aguichantes et jolies demoiselles, très légèrement vêtues.

Le seul danger, c'est que ces charmantes créatures finissent par éclipser la marchandise.  Ce qui arrive fréquemment.  C'est pourquoi, certains constructeurs d'automobiles japonais ont décidé de changer leur approche.  On voit moins de "bombes sexuelles" près de leurs modèles de voiture, dans les salles d'exposition ou dans leurs messages publicitaires.  On est plus...subtil, disons.



Si cela peut être possible, ces mannequins engagés pour faire la promotion d'une vaste gamme de produits de toutes sortes, sont encore plus sexy que les «pit girls» ou «umbrella girls» des courses de Formule 1, aujourd'hui presque complètement disparues .

Comme les geishas japonaises d'autrefois, ces filles sont généralement très jeunes (fin de l'adolescence, début vingtaine).  Elles apportent beaucoup de soins à leur apparence physique : propreté, épiderme, manucure, coiffure, maquillage, costumes, accessoires, bijoux, etc.

Si dans les sociétés, où le mouvement féministe est fort, ce genre d'exhibitionnisme est vu comme étant sexiste, il n'en va pas de même au Japon.  Au contraire, ces hôtesses super sexy ont parfois même un statut de vedette et d'idole.  Elles ont leur fans qui suivent de près leurs activités et leurs apparitions.  Très en demande, ces stars de la promotion sont très bien rémunérées.


Selon la renommée qu'elles peuvent acquérir, les hôtesses japonaises deviennent parfois des top modèles ou des actrices célèbres (comme Naoko Iijima, photo ci-dessus).  Leur physique attrayant inspire même les illustrateurs des populaires bandes dessinées nippones.

Si elles possèdent une voix pas trop vilaine, elles peuvent même aspirer à une carrière de chanteuse.  L'industrie de la musique est très stéréotypée au Japon.  On accorde autant d'importance au "contenant" (apparence très sexy avec vêtements à l'avenant) qu'au contenu.  On fabrique, avec tous les artifices nécessaires, des vedettes "pop", typiquement nationales.

À l'extrême, des hôtesses peuvent aussi devenir des stars du porno.  Dans les mises en scène de ces films "hard" on retrouvera même parfois ces nouvelles actrices dans leur costume...d'hôtesse, qui finira, on le devine, par être retroussé et enlevé...




Autre preuve du statut de vedette des hôtesses japonaises, un magazine, appelé "Gals Paradise", leur est entièrement consacré.  D'autres revues misent également sur leur popularité en publiant régulièrement leur "Top 10" des Reines des courses motorisées.  C'est ainsi, par exemple, que la belle Megu Aoyama (photo ci-dessus) a été couronnée "Reine des courses" pour la saison 2012-2013.  Disons que la grosseur de sa couronne ne rendait pas justice à son mérite et à sa beauté !


Le diaporama ci-dessous montre d'autres hôtesses ou Reines des courses japonaises (quelques Coréennes aussi).  Puisqu'elles attirent tous les regards partout où elles vont, j'ai choisi la pièce musicale "All Eyes on You" du prolifique artiste américain Meek Mill (avec la participation remarquable de Nicki Minaj et de Chris Brown) pour accompagner ce montage.




Mill (photo ci-dessus avec sa copine Nicki), a déjà revendiqué pas moins de trois titres parmi les plus grands succès au palmarès "Hot 100" du Billboard, aux États-Unis.




dimanche 23 mai 2021

JORDAN CARVER : UNE TOP MODÈLE PAS COMME LES AUTRES !

Ces dernières années, la profession de mannequin féminin a commencé à changer.  On voit un peu moins de modèles, à peine sortie de l'adolescence, affichant une silhouette super svelte, très maigres, frôlant l'anorexie...

Depuis la dernière décennie, les mouvements féministes ont dénoncé les exigences corporelles abusives et discriminatoires des riches producteurs de l'industrie de la mode, à l'endroit de ces jeunes femmes victimes d'une forme détournée d'exploitation qui les oblige à faire des sacrifices, et à observer une dure discipline, afin de respecter des standards physiques très stricts dont dépend leur emploi et leur carrière.

Peu à peu, petit à petit, les designers accordent des contrats à des mannequins "hors normes", de taille "forte", pour défiler dans leurs parades de mode.  Une mode et des vêtements qui peuvent convenir à la morphologie de beaucoup plus de femmes.  Pas seulement les grandes et minces...

La top modèle allemande Jordan Carver a pu bénéficier de cette évolution des mentalités des créateurs de mode, à ses débuts dans le métier, il y a une douzaine d'années.  Elle a ainsi pu faire son entrée et percer rapidement dans ce milieu pourtant très sélect, qui, selon les standards d'avant, lui aurait été interdit.

Après avoir quitté un emploi de gérante d'hôtel, qui ne l'intéressait plus, Carver s'était déniché une place de maquilleuse dans une agence française oeuvrant dans le domaine de la mode.  Côtoyant des mannequins à la silhouette "taillée au couteau" elle ne songeait même pas à devenir une des leurs.  Elle ne croyait pas avoir le physique de l'emploi.

Jusqu'à ce qu'un photographe, qui travaillait dans les studios de l'agence, la remarque et lui affirme qu'elle avait un excellent potentiel en tant que modèle.  

Remarquez que, lorsqu'on la regarde de dos, cette jolie femme, née Ina-Maria Schnitzer (de son vrai nom), près de Munich, le 30 janvier 1986, semble entrer dans les standards traditionnels du mannequinat : taille fine, petit fessier, longues jambes, ensemble bien proportionné.  Une physionomie semblable à tous les top modèles célèbres.

C'est lorsqu'elle se retourne que la  "différence" saute aux yeux !  Oubliez les filles maigrichonnes, au buste minuscule, qui paradent généralement sur les catwalks.  Jordan Carver arbore une poitrine énorme aux dimensions disproportionnées par rapport à ses autres mensurations (43-24-35 en pouces, ou 109-60-89 en centimètres).

Le plus drôle c'est qu'au début de son adolescence, cette fille, du genre "tomboy", faisait rire d'elle parce qu'elle avait de tout petits seins.  Selon ses propres dires, elle ressemblait à un "petit poulet"...

Cependant, vers l'âge de 14-15 ans, son buste explose !  Mais, considérant que les poitrines plantureuses et volumineuses étaient "courantes" du côté féminin de sa famille, Ina-Maria ne fut pas vraiment surprise de voir se développer autant et si "généreusement" cette partie de son corps.

Rendue à l'âge adulte, la jeune femme allemande, aujourd'hui mère d'un garçon de quatre ans, portait des brassières de grandeur "E".  Mais elle n'était pas encore satisfaite !  C'est alors qu'elle  recours à la chirurgie plastique pour se payer, entre autres interventions, une augmentation mammaire qui nécessitera ensuite des soutiens-gorge de taille HH (ou JJ, selon certaines rumeurs !).

Il va sans dire qu'avec de tels "attributs", Jordan Carver ne passe pas inaperçue !  Les hommes se retournent sur son passage, et les femmes en sont jalouses !  Cet imposant buste deviendra sa "marque de commerce" et la fera également remarquer par les agences de mannequins.  On comprend pourquoi on aura souvent recours à ses services pour des photos en bikini ou en lingerie fine.  

Surprendre, déroger aux canons de beauté habituels, plaît aux gens de l'industrie, ainsi qu'aux agences de publicité (elle est porte-parole pour certaines marques commerciales), aux magazines, et aux médias télévisuels.

Très rapidement, Jordan Carver réalise que son sex-appeal est très "vendeur".  Elle devient sa propre entreprise et apprend comment se mettre en valeur (marketing).

Elle quitte l'Allemagne pour les États-Unis (Californie) pour exploiter ce filon.  Les contrats s'accumulent : Redcom, Zoo magazine, Haute Shop LA, COBRA, ALUFEM, Slitz, Playboy, Bild magazine.

La télé la réclame aussi.  Elle fait de nombreuses apparitions au petit écran, dans des séries comme "Taff", au "WGN Morning News", à TMZ, et dans la télé-réalité "Wild Girl in High Heels Through Africa.

Le grand écran l'appelle également.  Elle tourne dans "Who killed Johnny".  Carver a d'ailleurs de nouvelles ambitions à titre d'actrice même si, présentement, c'est son "rôle" de mère qu'elle préfère et privilégie avant tout.

Elle est discrète en ce qui concerne sa vie amoureuse.  On ne lui connaît que des relations éphémères et elle refuse de révéler l'identité du père de son enfant.  Elle dément les rumeurs voulant qu'elle soit lesbienne.  Si elle n'a pas d'homme dans sa vie, du moins pour l'instant, c'est à cause de son métier, de sa réputation de sex-symbol, et parce que, selon ses dires, aucun conjoint ne supporterait de voir tous ces mille prétendants qui lui tournent sans cesse autour...

Elle connaît des hauts et des bas en début de carrière, mais cette travailleuse acharnée, au fort caractère, fait preuve de persévérance et capitalise sur une habile utilisation des réseaux sociaux.  Une stratégie qui lui rapportera gros.

Dès 2010-2011, Carver crée son propre site internet, qui sera suivi par l'élaboration de sa page Facebook (près de six millions d'abonnés maintenant), avant de se retrouver sur Instagram (deux millions de fans actuellement) et de faire de nombreuses publications sur Twitter (200 000 followers).

Ajouter à cela sa chaîne sur YouTube (JordanCarverTV) et vous comprendrez qu'on peut voir cette multi-talentueuse femme d'affaires partout, y compris dans des vidéos de yoga où on peut l'admirer en gourou du fitness et de la saine alimentation...  Deux éléments de bon ton et très à la mode chez les célébrités soucieuses de leur image de marque...

Pour augmenter son "exposition", attirer l'attention, et faire parler d'elle, Jordan Carver ne déteste pas la controverse.  Elle la recherche même.  C'est une autre façon de se démarquer et de réussir dans l'exigeant milieu du showbizz où les artistes qui échouent sont bien plus nombreux que ceux qui deviennent des stars.  Sa fortune personnelle, estimée à deux millions de dollars, prouve que son plan d'affaires est payant et couronné de succès.

Ce succès n'est pas uniquement attribuable à son physique "remarquable".  Elle le doit avant tout à sa personnalité et à ses origines.

L'arbre généalogique de Jordan Carver plonge ses racines non seulement en sol allemand mais également en territoire italien.  De ses ancêtres italiens elle pense avoir hérité son tempérament passionné et son goût pour "l'amore".

D'autre part, si elle est ponctuelle, ordonnée, et sait précisément et décidément ce qu'elle veut, elle le doit au caractère particulier de sa Bavière natale.  Jordan trouve que cette "mixité" la sert bien, tout comme la bonne génétique de ses parents.

Elle s'estime chanceuse d'avoir une bonne dose de ce sang chaud, typiquement italien, et, par ricochet, elle écorche un peu ses consoeurs allemandes qu'elle décrit comme étant froides, inexpressives, coincées, et ni belles, ni sexy !  Elle semble avoir une meilleure opinion de son pays d'adoption, les États-Unis d'Amérique...

Voici quelques "looks accrocheurs" de l'irrésistible top modèle Jordan Carver !


 

LE STUPÉFIANT SECRET DE BEAUTÉ DE DIANE DE POITIERS.

SELON  UN  TÉMOIN  DE  SON  ÉPOQUE,  À  66  ANS,  L'ANCIENNE  FAVORITE  DU  ROI  HENRI  II  EN  PARAISSAIT  30... À travers les siècles,...