lundi 17 janvier 2022

CES VENDEUSES SEXY BELLES À CROQUER...


Au tournant du nouveau millénaire, lorsqu'ils ont fait le bilan du XXe siècle, les historiens ont établi que le fait marquant de cette centaine d'années avait été l'évolution du statut de la femme.  On parle plutôt ici de la progression de la gent féminine vers l'égalité avec la gent masculine, en Occident.  Ailleurs dans le monde, cette avancée a été moins grande ou tout simplement absente.

Mais même à L'Ouest, il reste encore beaucoup à faire, notamment dans le domaine du travail, pour que les femmes rejoignent les hommes.  Dans presque tous les métiers et dans presque toutes les professions, les travailleurs sont généralement mieux rémunérés que leurs consoeurs qui font le même boulot.  Pour les postes de cadres importants et les plus payants, les hommes sont encore largement avantagés.  L'écart entre les deux genres tend heureusement à diminuer.
  
Il y a un une exception à cette domination des messieurs : les mannequins ou les top modèles.  Dans ce genre d'occupation, les femmes gagnent trois fois, cinq fois, et jusqu'à vingt fois plus d'argent que leurs confrères.

Certains de ces modèles oeuvrent dans le domaine du commerce ou de la publicité.  Qu'elles soient recrutées directement par des entreprises commerciales, ou qu'elles offrent leurs services par le truchement d'agences spécialisées, ces jolies demoiselles, ou ces dames sexy, font la promotion de produits, d'une marque, de services ou d'un concept.

Leurs objectifs, et ceux de leur employeurs, c'est d'attirer les clients, d'intervenir auprès d'eux pour les sensibiliser à une cause, les renseigner, ou les amener à acheter une marchandise ou un service.  Outre leur entregent, ces professionnelles de la vente se servent évidemment de leur physique avantageux pour "séduire" les consommateurs.



Si, en français, on les appelle généralement des hôtesses, en anglais, ces mannequins commerciaux peuvent porter divers noms.  Pour celles qui travaillent dans des stands d'expositions, des magasins ou des centres commerciaux; dans des conventions, des clubs, des événements spéciaux; dans des spectacles ou des foires commerciales; on les désigne comme étant des "promotional models", des "promo girls" ou des "show girls".  Les plus sexistes leur accolent l'étiquette de "booth babes". 

Ce n'est pas un hasard si on retrouve les modèles les plus sexy, et les plus jeunes, dans les compagnies qui visent surtout une clientèle masculine.  L'industrie de l'automobile, celle des jeux vidéos et les entreprises de boissons énergétiques, en utilisent beaucoup.  Ce sont des "outils" de marketing efficaces.  Elles établissent un contact plus personnel avec les clients en leur distribuant, -outre de beaux sourires-, des dépliants d'information, des échantillons du produit offert, ou de petits cadeaux associant, par exemple, une marque à une idée ou à un besoin, qu'il soit essentiel ou accessoire.


On peut rencontre ce genre d'hôtesses sur, ou près, des pistes de course automobile ou de motos, notamment en série NASCAR.  Encore là, on leur attribue une kyrielle de surnoms : "grid girls", "paddock girls", "umbrella girls", "pit girls", "race queens", etc.  Parfois on les "baptise" du nom de la marque de commerce qu'elles représentent, comme, par exemple, les "monster girls".  Très populaires au Japon, où on les connaît sous le vocable de "Image Models", les hôtesses y sont même recrutées par des agences gouvernementales.

Ces dernières années, il y a eu beaucoup de controverses concernant la façon dont ces mannequins agissent et s'habillent.  On les accusent d'être parfois provocantes, racoleuses et même obscènes.  On les critique ou on les défend, selon que l'on est féministe, puritain, ou, au contraire, assez libéral.

Il est vrai qu'il y a exagération dans bien des cas.  Certaines hôtesses sont presque nues et leurs poses ou leur gestuelle sont sexuellement explicites.  Le web regorge de courts films ou de photographies prises par n'importe qui avec des téléphones intelligents passés sous la jupette de ces modèles aux tenues "osées".  Ces clichés, réalisés à l'insu de leurs "victimes", montrent parfois qu'elles ne portent aucun sous-vêtement !

Ces show girls sexy ont même occasionnellement déclenché des scandales.  Il y a des états où elles sont absolument bannies.  D'autres pays leur imposent un code vestimentaire strict, à respecter scrupuleusement.  Dans ces endroits, on ne veut pas qu'il y ait des débordements et des pertes de contrôle.  Ces excès se produisent couramment, par exemple, dans des conventions ou des foires mettant en vedettes des jeux vidéos ou des produits électroniques.


Mais tout dépend du point de vue.  Ce qui peut être jugé offensant ou indécent pour les uns, peut passer pour amusant ou "artistique" pour d'autres.

lundi 13 décembre 2021

JAYDE NICOLE : DE MANNEQUIN COQUIN À FEMME D'AFFAIRES AVISÉE...


Le magazine PLAYBOY n'affiche plus de femme nue dans ses pages.  En remontant aux débuts de cette publication jadis jugée scandaleuse, beaucoup de splendides représentantes de la gent féminine ont profité de leurs photographies osées, dans cette revue à sensation du magnat de la presse Hugh Hefner, pour lancer une belle carrière dans le monde de la mode.

D'autres "pin-up" de Playboy ont fait leur marque comme actrice au cinéma ou à la télévision.  À titre d'exemples, mentionnons Marilyn Monroe qui fut la première vedette à tout dévoiler dans le numéro initial de Playboy, celui de décembre 1954. Jayne Mansfield (playmate du mois en février 1955), Anna Nicole Smith (mai 1992), Victoria Silvstedt (décembre 1996) ont également atteint le statut de "star" après avoir posé nue pour Playboy.

Mais, somme toute, la grande majorité des playmates de Playboy n'ont pas connu la gloire.  Elles ont certes utilisé cette expérience spéciale comme tremplin pour se tailler une place dans le monde du show business, mais rarement dans des rôles majeurs.



La canadienne Jayde Nicole, (photos ci-dessus), playmate de l'année 2008, a maintenant 35 ans, mais elle tarde à s'affirmer à Hollywood.  Ses fans du Canada, en particulier, s'attendaient à plus de belles choses de leur compatriote native de la banlieu de Toronto.  Ils espéraient la voir suivre les traces de Pamela Anderson, (photo ci-dessous) une autre canadienne, dont la renommée a commencé quand elle est apparue en costume d'Ève dans le Playboy de février 1990.


Physiquement, en dépit de leurs courbes généreuses, les deux "sexy bombs" du pays du premier ministre Justin Trudeau ne se ressemblent guère.  Anderson, une blonde aux yeux bleu, à la Brigitte Bardot; contraste avec Nicole, dont les yeux en amande sont très singuliers et qui arbore une longue chevelure de jais.  Elles ont toutefois en commun d'avoir prêté leur concours à PETA, un organisme de défense et de protection des animaux.


Outre ses titres de playmate du mois de janvier 2007 et de playmate de l'année 2008 dans PLAYBOY, le c.v. de Jayde ne montre qu'une brève apparition dans un film italien, en 2009, ainsi que des petites participations à des télé-réalités. 

En 2009, elle a bénéficié de sa liaison avec Brody Jenner (fils cadet de Bruce Jenner) pour tourner dans la saison 5 de la télé-série "The Hills".  On l'a également vu un peu en 2011 avec une autre ex-playmate Holly Madison dans "Holly's World", une émission de télé qui n'a pas du tout marché.

Après une longue éclipse, elle est réapparue le premier avril 2016 dans la saison 5 de la télé-série de son amie (une autre playmate de Payboy), Kendra Wilkinson (photo ci-dessus): "Kendra On Top".  Mais Nicole n'était qu'une invitée, contrairement à une autre amie de Wilkinson, Jessica Hall (photo ci-dessous), qui joue un rôle récurrent dans cette télé-réalité.  Et... oui, Hall s'est déjà aussi illustrée dans le magazine de Hugh Hefner !  


Ces dernières années, la carrière de Jayde Nicole s'est orientée vers les médias sociaux (deux millions d'abonnés sur Instagram).  Elle a également touché au domaine du fitness, puis elle est devenue une femme d'affaires.

Avec Jessica Hall, une autre ancienne de Playboy, elle est propriétaire d'un restaurant végan mexicain, le Sugar Taco, à Los Angeles, Californie.  Elle veut éventuellement en faire une chaîne, et ouvrir d'autres Sugar Taco un peu partout aux USA et ailleurs dans le monde...

dimanche 3 octobre 2021

BELLES À CROQUER «MADE IN JAPAN».


Le Japon manque de ressources naturelles et de matières premières.  Il doit donc s'approvisionner à l'extérieur de son territoire et compter sur des pays qui sont plus favorisés dans ce domaine.  Mais une fois dotés de ces produits de base, les Japonais savent en faire bon usage, les transformer, et fabriquer de la marchandise d'excellente qualité.  Et les spécialistes du marketing du pays du soleil levant n'ont pas leurs égaux pour vendre ensuite ces produits dans le monde entier.  Pensons seulement à leur industrie de l'automobile. 

Pour commercialiser leurs voitures, notamment par la publicité, dans de grandes foires populaires ou dans de somptueux salons d'exposition, les Japonais ont compris depuis longtemps que l'association "filles sexy & autos de luxe" est gagnante.  La meilleure façon d'attirer l'attention des clients consommateurs est de leur présenter leurs véhicules à l'aide d'aguichantes et jolies demoiselles, très légèrement vêtues.

Le seul danger, c'est que ces charmantes créatures finissent par éclipser la marchandise.  Ce qui arrive fréquemment.  C'est pourquoi, certains constructeurs d'automobiles japonais ont décidé de changer leur approche.  On voit moins de "bombes sexuelles" près de leurs modèles de voiture, dans les salles d'exposition ou dans leurs messages publicitaires.  On est plus...subtil, disons.



Si cela peut être possible, ces mannequins engagés pour faire la promotion d'une vaste gamme de produits de toutes sortes, sont encore plus sexy que les «pit girls» ou «umbrella girls» des courses de Formule 1, aujourd'hui presque complètement disparues .

Comme les geishas japonaises d'autrefois, ces filles sont généralement très jeunes (fin de l'adolescence, début vingtaine).  Elles apportent beaucoup de soins à leur apparence physique : propreté, épiderme, manucure, coiffure, maquillage, costumes, accessoires, bijoux, etc.

Si dans les sociétés, où le mouvement féministe est fort, ce genre d'exhibitionnisme est vu comme étant sexiste, il n'en va pas de même au Japon.  Au contraire, ces hôtesses super sexy ont parfois même un statut de vedette et d'idole.  Elles ont leur fans qui suivent de près leurs activités et leurs apparitions.  Très en demande, ces stars de la promotion sont très bien rémunérées.


Selon la renommée qu'elles peuvent acquérir, les hôtesses japonaises deviennent parfois des top modèles ou des actrices célèbres (comme Naoko Iijima, photo ci-dessus).  Leur physique attrayant inspire même les illustrateurs des populaires bandes dessinées nippones.

Si elles possèdent une voix pas trop vilaine, elles peuvent même aspirer à une carrière de chanteuse.  L'industrie de la musique est très stéréotypée au Japon.  On accorde autant d'importance au "contenant" (apparence très sexy avec vêtements à l'avenant) qu'au contenu.  On fabrique, avec tous les artifices nécessaires, des vedettes "pop", typiquement nationales.

À l'extrême, des hôtesses peuvent aussi devenir des stars du porno.  Dans les mises en scène de ces films "hard" on retrouvera même parfois ces nouvelles actrices dans leur costume...d'hôtesse, qui finira, on le devine, par être retroussé et enlevé...




Autre preuve du statut de vedette des hôtesses japonaises, un magazine, appelé "Gals Paradise", leur est entièrement consacré.  D'autres revues misent également sur leur popularité en publiant régulièrement leur "Top 10" des Reines des courses motorisées.  C'est ainsi, par exemple, que la belle Megu Aoyama (photo ci-dessus) a été couronnée "Reine des courses" pour la saison 2012-2013.  Disons que la grosseur de sa couronne ne rendait pas justice à son mérite et à sa beauté !


Le diaporama ci-dessous montre d'autres hôtesses ou Reines des courses japonaises (quelques Coréennes aussi).  Puisqu'elles attirent tous les regards partout où elles vont, j'ai choisi la pièce musicale "All Eyes on You" du prolifique artiste américain Meek Mill (avec la participation remarquable de Nicki Minaj et de Chris Brown) pour accompagner ce montage.




Mill (photo ci-dessus avec sa copine Nicki), a déjà revendiqué pas moins de trois titres parmi les plus grands succès au palmarès "Hot 100" du Billboard, aux États-Unis.




LE STUPÉFIANT SECRET DE BEAUTÉ DE DIANE DE POITIERS.

SELON  UN  TÉMOIN  DE  SON  ÉPOQUE,  À  66  ANS,  L'ANCIENNE  FAVORITE  DU  ROI  HENRI  II  EN  PARAISSAIT  30... À travers les siècles,...