mercredi 25 septembre 2019

BELLES À CROQUER AVEC LEUR CLUB DE SPORT PRÉFÉRÉ DANS LA PEAU !


Même après plus de 25 ans de popularité, la mode du tatouage continue de faire rage un peu partout sur la planète.  L'autre jour, alors que j'attendais l'ascenseur dans un grand hôtel de ma ville, j'ai sursauté quand la porte s'est ouverte sur un individu dont le visage était entièrement tatoué.  Ça peut laisser une impression effrayante...  On se demande jusqu'où cette tendance va aller.  Les gens non tatouées (je suis du nombre) commencent à se sentir...marginales.  Peu m'importe, je préfère un épiderme indemne à un corps couvert d'une confusion de dessins à l'encre qui finissent par ressembler à...de la saleté.

J'admets qu'un tatouage artistique, sobre, discret, et bien exécuté, peut être esthétique et mettre en valeur une personne déjà avantagée physiquement.  À moins que cette marque sur la peau ne transmettre un symbole ou un message carrément haineux ou de mauvais goût.  On peut se distinguer ou se singulariser d'une bonne ou...d'une mauvaise façon.  Il y en a toujours qui exagèrent.  Dans ce domaine comme dans bien d'autres, la modération est de bon aloi.

Se faire graver une substance étrangère (toxique ?) dans la peau ne m'inspire rien de bon.  Ce n'est pas naturel.  Selon des recherches menées par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de la santé (France), la Food and Drug Administration États-Unis) et soutenues par les mises en garde du Syndicat national des dermatologues-vénéréologues, les composants des encres injectées sous la peau contiennent des métaux toxiques : hydrocarbures aromatiques polycycliques, chrome, cuivre, mercure, aluminium, nickel, cobalt... Mais aussi des pigments utilisés dans la peinture automobile ou les toners d’imprimantes.

Cette grande vogue du tatouage a entraîné dans son sillage la peinture corporelle.  Par exemple, pour marquer son allégeance ou son appartenance à un groupe, un pays, ou à une équipe de sport, on va se faire peindre le corps aux couleurs de cette entité.


Le phénomène a tellement pris de l'ampleur, ces dernières années, que, dans certains cas, comme dans les stades de football collégial, aux États-Unis, les autorités ont dû adopter des règlements interdisant aux spectateurs d'exhiber leur corps recouvert entièrement ou partiellement de peinture, ou d'un maquillage élaboré.

Ces règles sont imposées autant au nom de la décence et pour prévenir des problèmes de comportement, que pour des raisons d'hygiène.  En effet, après les matchs, ces spectateurs peinturlurés vont se nettoyer dans les toilettes des stades, en salissant tout sur leur passage.  Sans compter que, plus souvent qu'autrement, ces individus sont des obèses masculins qui exposent leur grosse panse dégueulasse, montrant des dessins ou un logo d'équipe affreusement barbouillés et franchement dégoûtants !

Du reste, cette manière d'afficher sa partisanerie n'a rien de nouveau.  Déjà, dans les temps pré-historiques, les membres des tribus primitives (encore aujourd'hui chez les Papous) se peignaient le corps pour marquer leur appartenance à un clan bien identifié et pour se différencier des tribus ennemies.

On se souvient également des Amérindiens qui portaient jadis leur peinture de guerre avant d'aller se battre.  De nos jours, comme ce fut le cas lors du dernier Mundial de Football au Brésil, ce sont les partisans de sports qui manifestent leur appui à leur club favori en se peignant la peau de ses couleurs, de son logo ou du drapeau de leur pays...   

Bien sûr, le "body painting" moderne est bien plus sophistiqué, que ce soit au chapitre du design, des couleurs, des techniques et du matériel employés. 

Les modèles actuels "offrent" la beauté de leur corps à un art véritable, reconnu comme tel.  J'en ai traité abondamment sur mon site VISIONS FANTASMAGORIQUES.  Les artistes qui pratiquent cette discipline sur des toiles vivantes (!), en utilisant, entre autres, la fameuse technique du "trompe-l'oeil" peuvent créer de véritables chefs-d'oeuvre.


Mais quand le corps humain sert de canevas, ce n'est pas toujours simple.  Un des problèmes rencontrés par ces peintres spéciaux, est la transpiration de leurs modèles.  Sous l'effet de la sudation, le maquillage ou l'enduis de peinture disparaît (comme on peut le constater sur la photo ci-dessus, sous le sein droit du modèle).

Voici un montage de quelques réussites d'art corporel (pas si nombreuses) sur de jolies femmes qui ont littéralement leur équipe de sport favorite dans la peau.  Le tout agrémenté de la chanson TALKING BODY de Tove Lo.



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