lundi 7 novembre 2011

COWGIRLS CHARNELLES, MATERNELLES OU CRUELLES...

Avant la présente génération des enfants des ordinateurs et des jeux électroniques, avant les enfants de la télé qui ont grandi dans la dernière partie du 20e siècle, il y a eu les enfants des dernières grosses familles, ceux que l'ont a appelé les "baby boomers". Issus d'un monde encore rural, avant l'avènement du contrôle des naissances par la pilule anti-conceptionnelle, un monde déjà dépassé dont la population allait connaître un exil forcé vers les milieux urbanisés, au cours des années '60, ces enfants, du moins ceux de l'Amérique du Nord, ont découvert, exploré et apprivoisé leur environnement naturel, ils ont appris à socialiser, en jouant aux cowboys et aux indiens. Sans se douter, peut-être, que leurs jeux guerriers mimaient une partie de la vraie histoire des peuples du continent nord-américain, notamment celle de la conquête de l'Ouest au 19e siècle. Ces garçonnets, se prenant pour des cowboys ou des indiens, intégraient parfois leurs soeurs ou leurs amies dans leur monde imaginaire en leur réservant le rôle de "squaws". Curieusement, si la contre-partie féminine des indiens étaient présentes de temps à autres dans ces jeux d'enfants, on n'avait pas idée d'y associer des compagnes pour les pauvres cowboys solitaires... Pourtant, ces cowgirls ont bel et bien existé au temps de la conquête de l'Ouest. Si la grande majorité des femmes de cette époque mythique en avaient plein les bras à s'occuper de la maison familiale et de leur nombreuse progéniture, certaines savaient monter à cheval et se servir d'un lasso même si le métier de cowboy était alors réservé aux hommes. La vie de ces travailleuses de ranch auprès de bêtes à cornes n'avait rien de romantique. C'était une vie éreintante et rude, pleine de dangers. En récompense de leur dur labeur : une certaine liberté et un mode de vie passionnant pour celles qui avaient soif d'aventures et de défis.

Encore de nos jours, il y a des "ranchers" de sexe féminin qui mènent ce genre d'existence trépidante. Lorsque vous les voyez marquer au fer rouge des veaux capturés dans les grands pâturages du sud-ouest américain, vous vous dites que ces femmes n'ont pas froid aux yeux mais qu'elles pourraient avoir affaire aux militants de PETA, cet organisme oeuvrant pour le traitement éthique des animaux. Aux yeux de ces protecteurs de la race animale, certaines pratiques des cowboys et des cowgirls sont cruelles, y compris la maltraitance des animaux de fermes lors des rodéos. Pour eux, pourchasser un petit veau ou un agneau dans une arène, le rabattre au sol pour lui attacher les pattes ensemble, constituent des actes barbares. Ils s'opposent également à ce que les cowboys ou les cowgirls frappent leurs montures à coups de fouet ou de cravache dans le but d'accélérer leurs courses. Plusieurs villes, dont San Francisco et Fort Wayne, en sont d'ailleurs venues à interdire carrément les rodéos sur leur territoire. D'autres cités, comtés ou états ont banni certaines épreuves de rodéos dans lesquelles les animaux peuvent subir des blessures ou du stress.




À côté de ces vraies cowgirls, il y a aussi d'autres amantes de la race chevaline qui, bien qu'elles aiment tout ce qui est western ou country, ne désirent que pratiquer simplement leur sport préféré : l'équitation. Quiconque a eu, comme moi, la très grande chance d'observer la complicité et l'amour qui unissent une amie ou une proche parente à son cheval, comprendront qu'il s'agit d'un des plus beaux spectacles que l'on puisse imaginer. Il faut surtout les observer quand elles prennent soin de leur bête. Lorsqu'elles les nourrissent, les lavent, les étrillent, les caressent, leur parlent doucement à l'oreille ou y vont d'une accolade tête contre tête. Il faut voir et entendre ces grosses bêtes, domestiquées mais toujours un peu sauvages, répondre à leur bienveillante cavalière par des regards doux, des saluts de la tête et des hennissements de contentement. Splendide ! Des moments attendrissants, remplis de poésie et d'une grande beauté... Tant la belle que la bête resteront inconditionnellement loyales et fidèles l'une à l'autre, jusqu'à ce que la mort les sépare...


Enfin, assez loin des amatrices d'équitation ou des cowgirls de ranch et de rodéo, il y a toutes ces jeunes femmes sexy, ces mannequins ou ces artistes féminins qui ont adopté la mode country pour associer leur beauté à la légende du rêve américain. Dans leur cas, "adopter" est un bien grand mot. On devrait plutôt parler d'adaptation. On se déguise en cowgirl en modifiant pas mal son costume traditionnel. On troque le chemisier ample à manches longues pour un t-shirt sexy, un bustier ou une blouse décolletée. On porte les fameux blue jeans, mais ceux des cowgirls "pin-up" ont tendance à être très courts ! Une légèreté totalement proscrite par les règlements de la WPRA (Women's Professional Rodeo Association) ! Il n'y a que les chapeaux, les ceintures et les bottes qui peuvent être comparables chez ces deux catégories de cowgirls et encore... Il est intéressant de savoir que ces deux aspects, l'aspect esthétique des reines du rodéo et l'aspect athlétique des compétitrices de rodéo, ont été présents côte à côte dès le début du XXe siècle. Déjà, à la fin du 19e siècle, le célèbre Buffalo Bill avait engagé quelques femmes pour son spectacle de cirque combinant des démonstrations de tirs d'armes à feu et des numéros d'équilibristes à cheval. Ensuite, jusqu'aux années 1930, les organisateurs de rodéos ont fait de plus en plus appel aux cowgirls en élargissant le nombre d'épreuves auxquelles elles pouvaient participer. Beaucoup de promoteurs limitaient toutefois le rôle de la gent féminine à celui de reine du rodéo pour servir leurs objectifs de promotion. En 1929, la mort de la cowgirl Bonnie McCarroll a cantonné encore plus les femmes dans ce rôle de "sweetheart". En chutant de son cheval, la malheureuse a vu un de ses pieds se coincer dans un étrier. Pendue à sa monture, elle a été traînée sur le sol autour de l'arène de rodéo. En prenant le contrôle de plusieurs rodéos importants, à cette époque, Gene Autry a interdit aux femmes de prendre part aux compétions, sauf à celle de la course à obstacles autour de barils.


Frustrées de n'être souvent que des décorations ou des femmes objets, les cowgilrs ont pris leur revanche après la guerre 39-45. Elles ont organisé des rodéos réservés exclusivement aux personnes de leur sexe. Modifiant et adaptant les règlements du rodéo selon leurs propres exigences, elles ont créé une association (la "Girls Rodeo Association") pour défendre et promouvoir leurs intérêts. Cette association est l'ancêtre de la "Women's Professional Rodeo Association" qui régit maintenant leurs activités. Le métier de cowgirl de rodéo est un peu en déclin ces dernières années. Les coûts de participation aux rodéos (notamment le transport et l'entretien des chevaux) ont beaucoup augmenté alors que la valeur des bourses remises aux gagnantes des épreuves de rodéo ne suffit plus à équilibrer leur budget. Seules celles qui ont la "vocation", et suffisamment de persévérance, continuent à courir les rodéos un peu partout dans l'Ouest nord-américain. Elles ont aussi bien souvent le support de leur conjoint ou de proches parents qui pratiquent aussi le même métier. Que l'on soit favorable ou indifférent à leur cause, il serait dommage d'assister à la disparition des vraies cowgirls. Mais si jamais cela se produisait, il nous resterait quand même leurs "caricatures", ces belles cowgirls sans cheval mais si agréables à regarder, dans les magazines ou les lieux publics de cette Amérique profonde nimbée de rêves et de légendes mythiques.

Quoi de mieux que la chanson "American Honey", du fameux groupe country Lady Antebellum pour accompagner ce diaporama des plus belles cowgirls américaines. Un régal pour les oreilles et les yeux !

lundi 11 juillet 2011

BYE BYE HUGH HEFNER : CRYSTAL HARRIS FÊTE SON MARIAGE "DÉCOMMANDÉ" !!!


Craignant de "subir" une existence enrégimentée, dans une perpétuelle ambiance de foire, la "playmate" Crystal Harris a tout simplement décommandé son mariage avec Hugh Hefner, le fondateur et éditeur de l'empire PLAYBOY, cinq jours seulement avant la cérémonie qui était prévue pour le 18 juin dernier. Soudainement, la pensée de vivre au domaine du vieil homme de 85 ans, entourée constamment d'une douzaine de ses copines en petites tenues, ne souriait plus à la blonde américaine de 25 ans, native de l'Arizona. Le jour même où elle annonçait la nouvelle de cette volte-face, Harris, qui avait été Miss Décembre 2009 dans la célèbre revue de Hefner, lançait son premier simple, CLUB QUEEN, à titre de chanteuse. Elle suivait ainsi les traces de son père Ray, lui-même chanteur et auteur de chansons, qui, en compagnie de sa femme, avait émigré aux USA à partir de l'Angleterre, avant la naissance de leurs enfants. Et le soir du 18 juin, au lieu de célébrer ses noces avec Hefner, Crystal en fêtait plutôt l'annulation avec des amis, dans une boîte de nuit de Hollywood. Holly Madison, ancienne amie de Hefner, qui a déjà été en vedette dans la série télévisée THE GIRLS NEXT DOOR, produite par PLAYBOY, n'a pas apprécié le comportement de Crystal Harris. Selon elle, celle qui devait devenir la troisième épouse de Hefner, aurait dû se garder une petite gêne !



Le "hic" dans cette histoire, c'est que le numéro de juillet de PLAYBOY était déjà imprimé et distribué quand le projet de mariage entre Harris et Hefner a avorté... En première page du fameux magazine on présentait officiellement la nouvelle Madame Hefner, presque totalement nue, bien entendu ! Qu'à cela ne tienne, les responsables de la publication ont envoyé des auto-collants aux marchands de revues pour qu'ils coiffent le magazine de la mention "the runaway bride" ("l'épouse qui a déserté" !). Par la suite, Crystal, qui a déjà étudié en psychologie à l'université San Diego State, a rencontré Hugh afin de lui remettre la bague de fiançailles (un diamant de $ 90 000 !) qu'il lui avait offerte. Bon prince, Hefner lui a dit de la garder, tout comme la voiture de luxe de marque Bentley qu'il lui avait aussi donnée. Par contre, le vieil homme a été soulagé de récupérer Charles, le chien du couple, dont il s'ennuyait énormément. Même s'il ne comprend pas pourquoi sa dulcinée a rompu sa promesse de mariage, Hefner a déclaré que lui et Crystal demeuraient des amis proches.



Somme toute, Hefner a pris cette déconvenue avec philosophie, en se disant que le célibat était peut-être sa meilleure option. Pour se consoler, il a invité deux autres superbes femmes à le rejoindre dans son riche domaine. Il s'agit de Anna Sophia Berglund et de la franco-ontarienne (Canada) Shera Béchard, dont il dit qu'elle est désormais sa nouvelle copine. En apprenant la nouvelle, Crystal Harris, qui en plus d'être chanteuse est aussi mannequin et comédienne à temps partiel (apparitions à la télé dans un épisode de THE GIRLS NEXT DOOR et dans THE HILLS), a avoué être un peu vexée, mais pas surprise (!), d'avoir été remplacée si rapidement par Hefner. C'est la vie ! Et elle change tellement vite à Hollywood !

samedi 4 juin 2011

ALICIA MACHADO A BIEN PRIS SA REVANCHE SUR DONALD TRUMP...


Les réseaux sociaux, les Face Book et Twitter de ce monde, ont pris une importance démesurée ces dernières années. Un grand nombre de personnes semblent vouloir jouer à la vedette ou cherchent "à se tirer du grand" en étalant les détails de leur vie privée devant une foule "d'amis(es)" qu'ils ne connaissent pratiquement pas. Souvent, certaines révélations peuvent avoir des conséquences insoupçonnées. Votre employeur, par exemple, pourra vous congédier à cause d'une remarque désobligeante à son égard. Remarque que vous avez exprimée sur votre réseau d'amis, sans penser que votre patron pourrait en être informée. On en est venu à ignorer de précieux et sages adages comme : «La parole est d'argent, mais le silence est d'or». Ou bien : «Les paroles s'envolent mais les écrits restent».


Les vraies vedettes qui écrivent sur de tels réseaux dans le but d'accroître davantage leur popularité, ou parce que "les autres le font", peuvent encore moins écrire n'importe quoi. Prenez l'exemple de l'actrice, chanteuse, mannequin et "playmate" vénézuélienne Alicia Machado (photo ci-dessus). En "twittant" ou en gazouillant, elle a exprimé le souhait que les deux Chines fassent la paix. Tout le monde a compris qu'elle aurait plutôt dû parler des deux Corées. On ne lui a pas pardonné son erreur et l'ex-Miss Univers 1996 a été abreuvée d'insultes et de commentaires méchants. "Dinde", "conne", "ignorante", tous les mots blessants ont été employés pour la condamner. Tellement que la reine de beauté, âgée de 34 ans, a été dans l'obligation de fermer son compte twitter. Il n'y a pas si longtemps pourtant, l'ex-candidate à la vice-présidence des États-Unis, Sarah Palin, a erré elle aussi sur des points "géographiques", et ce en pleine campagne électorale. Cette gaffe ne l'empêchera pas prochainement de briguer à nouveau les suffrages, cette fois à titre de candidate à la présidence américaine. Et, après tout, pour venir à la défense de madame Machado, il y a bien deux Chines si on considère l'existence de Taïwan, une île et un état en marge de la Chine continentale ! Et les deux entités n'ont jamais eu des relations très cordiales...



Si Alicia Machado était aussi idiote que plusieurs de ses détracteurs le prétendent, elle n'aurait pas connu autant de succès en menant habilement plusieurs carrières parallèles. Car, comme elle l'a signalé en entrevues, il ne suffit pas d'être belle pour réussir dans le show business. Il faut surtout du talent, du travail acharné, une bonne préparation. Selon cette ancienne Miss Vénézuela (1995) originaire de Maracay : «la beauté est seulement un aspect d'une personne, elle est temporaire; mais votre esprit, lui, vous guide pendant toute votre vie.» C'est pourquoi elle dit que, chaque jour, elle cherche à s'améliorer intellectuellement. Cette image de femme fatale, sensuelle, sexuelle et superficielle, Alicia la traîne depuis ses dix-neuf ans, soit depuis son couronnement à titre de Miss Univers. Bien que les observateurs du déroulement de ce fabuleux concours ont certifié qu'elle avait dominé ses concurrentes, la jolie brune a été très étonnée de sa victoire. C'est quelques semaines après son triomphe qu'une controverse a éclaté au sujet de son poids. En peu de temps, elle a engraissé de vingt livres. Appelée à voyager dans plusieurs pays et bousculée par un horaire chargé, Machado a perdu ses points de repère, sa discipline et ses bonne habitudes alimentaires. Les autorités en charge du concours Miss Univers ont même songé à la déposséder de sa couronne avant qu'elle parvienne finalement à réduire un peu son embonpoint. Par-dessus le marché, entre-temps, le milliardaire Donald Trump était devenu propriétaire des droits du réputé concours de beauté. C'est lui qui devait organiser la présentation de ce prestigieux évènement l'année suivante (1997). Il va sans dire qu'il n'était guère enchanté de voir l'image de marque du concours être endommagée par les nouvelles "rondeurs" de la Miss Univers en titre. De passage à la populaire émission de radio du coloré animateur new-yorkais Howard Stern, Trump ne s'est pas gêné pour traiter Machado de "machine à manger" ("eating machine").



Loin de lui nuire et de la faire passer pour une irresponsable, ces attaques et cette controverse ont bien servi Alicia en attirant l'attention sur elle. Toute cette publicité l'a aidée à se faire connaître et à se distinguer du "lot" des autres gagnantes de concours de beauté. D'un seul coup, beaucoup de portes se sont ouvertes devant elle : offres pour participer à des séries télévisées, des télé-réalités, des émissions de variétés, des romans savons, des films... Des agences de mannequins lui font des propositions, tout comme des patrons de magazines qui désirent voir ses photos embellir leurs revues et leurs calendriers. On l'invite même à enregistrer un album de chansons. Soudain, comme par enchantement, tous les projets et les rêves qu'elle avait voulu faire ou réaliser depuis son enfance, semblent devenir possibles. Ils sont à sa portée au moment même où elle devient une femme. Et quelle femme ! Ses huit années à suivre des cours de danse (commencés alors qu'elle avait à peine quatre ans), la passion pour la musique qui a enflammé son adolescence, ses brèves études en administration et en droit (abandonnées après quinze mois), ses premières expériences en tant que mannequin et ses petits rôles initiaux dans des messages publicitaires l'auront donc conduite à ce tremplin qu'est le titre de Miss Univers. Le secret de son succès : une beauté envoûtante présentée avec une touche de sensualité dépourvue de vulgarité; une présence imposante qui fait vibrer toutes les fibres de sa féminité et qui captive tous les regards qui se posent sur elle; une chaleur torride qui émane des formes voluptueuses de son corps et qui embrase les sens de tous les hommes sur son passage...





Après son année de règne en qualité de Miss Univers, les rôles s'enchaîneront dans les séries télévisées et les télé-réalités, non seulement en Amérique latine mais en Europe. Sa performance dans le roman savon SAMANTHA (1998), à la télévision vénézuélienne, lui vaudra le prix de meilleure nouvelle actrice (ACE award). Mais en 2005, en Espagne, alors qu'elle participe à la télé-réalité intitulée THE FARM, une autre controverse éclate lorsqu'elle est filmée en train d'avoir une relation sexuelle avec un participant. On raconte que cet épisode sulfureux a causé sa rupture amoureuse avec le joueur de baseball professionnel Bobby Abreu qui, semble-t-il, souhaitait la fiancer. Plongée dans le tourment de cette nouvelle polémique, Alicia Machado a précisé plus tard qu'elle avait rompu avec Abreu avant cette histoire de sexe dans THE FARM. Amère, elle a ajouté que si c'était Abreu qui avait eu une telle aventure, on en aurait pas fait de cas, parce que tout semble permis aux hommes. Mais dans la mentalité des mâles latino-américains, c'est impardonnable qu'une femme se conduise aussi librement.






Encore une fois, cette esclandre crée des remous qui attirent les projecteurs sur elle. Cet autre coup publicitaire a peut-être contribué à lui ouvrir les pages de PLAYBOY. En effet, en février 2006, Alicia devient la première ex-Miss Univers à poser nue pour le magazine de Hugh Hefner. Elle le fait d'abord dans la version mexicaine puis, l'année suivante, dans l'édition originale américaine. Ne manquant pas de culot, et en savourant sans doute une douce revanche, elle dédie ces photographies splendides à Donald Trump, un puissant de ce monde, celui-là même qui l'avait qualifiée de "eating machine" dix ans plus tôt. Au cours des dernières années, la passion de la vedette sud-américaine pour la musique a pris plus d'importance dans sa vie professionnelle, elle a enregistré un second album de chansons et elle se produit en spectacle avec de plus en plus d'aplomb. Il y a trois ans, elle a interrompu ses projets de télé, de théâtre et de cinéma afin de donner naissance à son premier enfant, la petite Dinorah Valentina. Et, bien entendu, cet évènement a suscité un autre débat lorsque certaines sources d'information, citant le procureur général, ont rapporté que le père de cette petite fille était un baron de la drogue, Gerardo Alvarez Vasques. En conférence de presse, Machado a démenti cette nouvelle en affirmant que c'était plutôt l'homme d'affaires Rafael Hernandez Linares qui avait fait d'elle une mère.





Aujourd'hui, Alicia Machado vit à Mexico. L'an dernier, on lui a rendu hommage pour ses nombreuses réalisations dans plusieurs domaines de l'industrie du spectacle en lui faisant graver l'empreinte de sa main dans le PASEO DE LAS LUMINARIAS, l'équivalent mexicain du trottoir des célébrités à Hollywood (Walk of Fame). Elle intimide toujours les hommes par son immense pouvoir de séduction. Comme type de représentants de la gent masculine, Alicia dit préférer les Argentins, les Italiens, les Mexicains et les Espagnols. Ce que ses admirateurs trouvent le plus "sexy" chez elle ? Son sens de l'humour et... son derrière. Sa propre réponse à cette question ? Elle juge plutôt que c'est son sourire ainsi que ses jambes qui séduisent davantage ces messieurs... On se demande bien ce que Donald Trump en pense...


LE STUPÉFIANT SECRET DE BEAUTÉ DE DIANE DE POITIERS.

SELON  UN  TÉMOIN  DE  SON  ÉPOQUE,  À  66  ANS,  L'ANCIENNE  FAVORITE  DU  ROI  HENRI  II  EN  PARAISSAIT  30... À travers les siècles,...