samedi 31 octobre 2020
DES BELLES À CROQUER POUR L'HALLOWEEN !
À première vue, tout oppose Halloween et filles sexy. On associe à cette très ancienne fête des peuples celtiques : la noirceur, la nuit, la peur, l'horreur. Les filles sexy sont au contraire resplendissantes et attirantes.
Au fil des siècles, l'Halloween a évolué de plus en plus vers le macabre, la mort, la magie noire, les monstres. Évidemment, ces concepts renvoient à la laideur et à l'horreur.
Puis, avec l'avènement de la révolution sexuelle et de l'hyper-sexualisation, les jeunes femmes sont devenues de plus en plus sexy. Elles font rêver les hommes. Alors, le 31 octobre, comment ces créatures de rêve peuvent-elles se déguiser sans sacrifier leur beauté et leur sex appeal ?
Plusieurs déguisements typiques de l'Halloween ne seront pas appropriés pour ces belles. Par exemple, on ne les imagine pas du tout dans des costumes de fantômes ou de momies, car ces bandelettes ou ce long voile percé de seulement quelques trous pour les yeux et les bras masqueraient complètement leurs formes superbes. Des rondeurs qu'elles veulent toujours, au contraire, montrer et mettre en valeur.
Ce qui disqualifie d'emblée les costumes de squelettes ou de Frankenstein ! Ces cover girls ne voudront pas non plus déparer leur jolie minois en le couvrant de faux sang, de cicatrices factices ou de vilaines verrues en se glissant dans la peau de sorcières, de vampires, ou de zombies.
Au cours des dernières décennies, la forte commercialisation de la fête a entraîné beaucoup de changements dans la façon de se déguiser. Si les enfants, qui, à cette occasion, vont de maison en maison pour récolter des bonbons, ont conservé pas mal leur "look" apeurant, il n'en va pas de même pour les adultes qui célèbrent cette grande mascarade lors de partys bien arrosés.
Dans de telles réunions festives, la mode est davantage aux déguisements sous formes de costumes faisant référence à certains corps de métiers comme : navigateurs, policiers, soldats, pilotes de course, etc. En cela, les filles sexy copient fréquemment le style et les idées des cheerleaders de la Ligue Nationale de football des États-Unis.
On aime également s'identifier à des personnages historiques comme les Amérindiens et les pirates; ou à des super héros créés par le cinéma (wonder woman, cat woman, anges).
On empruntera aussi des motifs de "décoration" au monde des animaux (araignées, chauve-souris, oiseaux, papillons, libellules). Ça fait plus "carnaval" que Halloween mais, enfin... ces accrocs aux traditions halloweeniennes sont plaisantes et ajoutent de la couleur à la fête.
Un thème d'halloween qui a fleuri abondamment chez les meneuses de claques des sports professionnels américains est celui de la fille-bonbon. Mis de l'avant notamment par les pom pom girls de l'équipe de Football des Cardinals de l'Arizona (NFL - photo ci-dessus), ce thème confirme la direction commerciale prise par l'Halloween ces dernières années.
C'est la fête des bonbons et des gâteries, autant pour les enfants que pour les filles sexy...
Ce sont les immigrants irlandais fuyant la terrible famine de la période 1845-1851 qui ont introduit l'Halloween aux USA. Les américains, très patriotiques, apprécient les costumes de la fête qui leur rappellent leurs forces armées ou leur drapeau.
Cela est d'autant plus vrai quand leurs couleurs sont portées avec autant de grâce et de beauté par une ravissante représentante comme celle qui apparaît ci-dessus.
Il y a moyen pour les filles sexy d'être originales et d'échapper aux stéréotypes et aux clichés qui caractérisent généralement les costumes d'Halloween. On peut respecter l'esprit de la fête tout en étant à son mieux dans un déguisement séduisant.
Un splendide et sexy accoutrement de chaperon rouge (photo sous le titre) marie à la fois le rouge sang à la peur du gros méchant loup, qui est en vedette dans ce conte pour enfants.
Sans se grimer en sorcière au visage hideux, une charmante participante aux festivités de l'Halloween pourra porter un petit chapeau (photo ci-dessus) faisant allusion à celui de ces créatures repoussantes concoctant des potions magiques, jetant de mauvais sorts et voyageant dans le ciel sur un balai.
Le mois d'octobre étant aussi celui de la célèbre Oktoberfest, originaire de Munich en Allemagne, quelle belle idée d'adopter une tenue inspirée de celle des bavarois lors de l'Halloween. C'est ce qu'a fait avec brio cette magnifique cheerleader des Titans du Tennessee (NFL - photo ci-dessus).
Et si, à titre de fille sexy, vous êtes à court d'idées pour vous trouver un beau costume d'Halloween, eh bien, déguisez-vous en meneuse de claque ! Vous serez très populaire à votre party !
mercredi 19 août 2020
HÔTESSES SEXY : UNE ESPÈCE EN VOIE DE DISPARITION ?
Dans une foire commerciale, un congrès, une convention ou lors d'une exposition, vous est-il déjà arrivé de vous retrouver devant une hôtesse presque nue sollicitant votre attention pour vous vendre un produit ou un service ? Si oui, quelle a été votre réaction ? Vous étiez surpris ? Très intéressé ? Mal à l'aise ?
Selon un adage assez répandu, «le sexe est vendeur», notamment dans le domaine commercial ou en publicité. On le constate aussi dans les médias d'information, la presse à potins ou dans l'industrie du divertissement (télévision, cinéma, arts et spectacles). D'ailleurs, par exemple, on ne compte plus les émissions de télé précédées d'avertissements par rapport à la violence, aux scènes de nudité ou aux thèmes sensibles (pour adultes) qu'elles contiennent et qui pourraient offenser certains téléspectateurs... Étant donné la grande popularité de ce genre de programmes, il faut croire qu'il correspond au goût, à l'intérêt et au niveau de tolérance de l'auditoire. Ou est-ce le reflet de nos sociétés occidentales hyper-sexualisées ?
En va t-il de même dans les kiosques commerciaux ou nos centres d'achat ? Pour attirer de potentiels clients, les commerçants ou les organisateurs de foire sont-ils légitimés d'engager de jolies jeunes hôtesses, ou agentes de renseignements, légèrement vêtues, pour attirer l'attention et faire la promotion de leur marchandise ou de leurs services ? Ce n'est pas un phénomène généralisé, mais on voit plus souvent ce genre de vendeuses aguichantes chez des marchands s'adressant surtout à une clientèle masculine. Ces hôtesses au sex-appeal indéniable se retrouveront, parfois dans des poses assez suggestives, sur le capot de voitures de luxe exposées à la convoitise de potentiels acheteurs autant captivés par les courbes des bolides que par celles du ravissant mannequin qui les accompagne...
Même chose pour ce qui est de mousser les ventes de boissons alcoolisées ou énergétiques, certains articles ou spectacles de sports, ou encore des jeux électroniques, etc. Si des belles à croquer affichent la marque de ces produits sur des bikinis, des mini-jupes, de courtes robes «tubes» ou des combinaisons moulantes très décolletées, elles peuvent posséder un argument ou un atout de vente très convaincant !
Mais depuis une dizaine d'années, cette pratique d'utiliser des «show girls» sexy dans les commerces, a semé la controverse et a été dénoncée comme étant sexiste, en particulier par les mouvements féministes ou, plus récemment, par le mouvement #MeToo. L'hôtesse «femme objet» a de moins en moins la cote. On en trouve plus rarement, le code vestimentaire et le code de conduite sont plus stricts, et on engage davantage d'hommes pour ce genre d'emploi. La quasi nudité est proscrite. Les bustiers trop échancrés -ou les «tube tops»- ne sont plus tellement acceptés. On a tendance à allonger les robes. Les combinaisons moulantes ou en latex ne sont plus guère tolérées.
En janvier 2018, un des bastions traditionnels des hôtesses sexy est tombé : celui des courses automobiles de formule 1. Malgré les protestations de certains fans, d'organisateurs, de commanditaires, ou de plusieurs hôtesses elles-mêmes, on a banni des pistes et de leurs environs celles que l'on appelait : «grid girls», «pit» ou «paddock girs», «umbrella girls» ou «race queens». Pour expliquer cette décision mettant fin à plusieurs décennies de tradition, on a mentionné le fait qu'elle ne correspondait pas à l'image de marque de l'organisation et qu'elle ne répondait pas aux normes sociales acceptables.
La société et la condition féminine évoluent, souvent par cycles. Ce qui était acceptable jadis, ne l'est plus aujourd'hui ou le redeviendra peut-être ? Les opinions ou les modes varient selon les points de vue ou les pays, selon que l'on est féministe, puritain ou libéral... Selon que l'on soit spectateur, homme, femme, employeur ou employée. Cette histoire ou cette controverse au sujet des hôtesses sexy est fascinante. Nous y reviendrons...
mercredi 25 septembre 2019
BELLES À CROQUER AVEC LEUR CLUB DE SPORT PRÉFÉRÉ DANS LA PEAU !
Même après plus de 25 ans de popularité, la mode du tatouage continue de faire rage un peu partout sur la planète. L'autre jour, alors que j'attendais l'ascenseur dans un grand hôtel de ma ville, j'ai sursauté quand la porte s'est ouverte sur un individu dont le visage était entièrement tatoué. Ça peut laisser une impression effrayante... On se demande jusqu'où cette tendance va aller. Les gens non tatouées (je suis du nombre) commencent à se sentir...marginales. Peu m'importe, je préfère un épiderme indemne à un corps couvert d'une confusion de dessins à l'encre qui finissent par ressembler à...de la saleté.
J'admets qu'un tatouage artistique, sobre, discret, et bien exécuté, peut être esthétique et mettre en valeur une personne déjà avantagée physiquement. À moins que cette marque sur la peau ne transmettre un symbole ou un message carrément haineux ou de mauvais goût. On peut se distinguer ou se singulariser d'une bonne ou...d'une mauvaise façon. Il y en a toujours qui exagèrent. Dans ce domaine comme dans bien d'autres, la modération est de bon aloi.
Se faire graver une substance étrangère (toxique ?) dans la peau ne m'inspire rien de bon. Ce n'est pas naturel. Selon des recherches menées par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de la santé (France), la Food and Drug Administration États-Unis) et soutenues par les mises en garde du Syndicat national des dermatologues-vénéréologues, les composants des encres injectées sous la peau contiennent des métaux toxiques : hydrocarbures aromatiques polycycliques, chrome, cuivre, mercure, aluminium, nickel, cobalt... Mais aussi des pigments utilisés dans la peinture automobile ou les toners d’imprimantes.
Cette grande vogue du tatouage a entraîné dans son sillage la peinture corporelle. Par exemple, pour marquer son allégeance ou son appartenance à un groupe, un pays, ou à une équipe de sport, on va se faire peindre le corps aux couleurs de cette entité.
Le phénomène a tellement pris de l'ampleur, ces dernières années, que, dans certains cas, comme dans les stades de football collégial, aux États-Unis, les autorités ont dû adopter des règlements interdisant aux spectateurs d'exhiber leur corps recouvert entièrement ou partiellement de peinture, ou d'un maquillage élaboré.
Ces règles sont imposées autant au nom de la décence et pour prévenir des problèmes de comportement, que pour des raisons d'hygiène. En effet, après les matchs, ces spectateurs peinturlurés vont se nettoyer dans les toilettes des stades, en salissant tout sur leur passage. Sans compter que, plus souvent qu'autrement, ces individus sont des obèses masculins qui exposent leur grosse panse dégueulasse, montrant des dessins ou un logo d'équipe affreusement barbouillés et franchement dégoûtants !
On se souvient également des Amérindiens qui portaient jadis leur peinture de guerre avant d'aller se battre. De nos jours, comme ce fut le cas lors du dernier Mundial de Football au Brésil, ce sont les partisans de sports qui manifestent leur appui à leur club favori en se peignant la peau de ses couleurs, de son logo ou du drapeau de leur pays...
Bien sûr, le "body painting" moderne est bien plus sophistiqué, que ce soit au chapitre du design, des couleurs, des techniques et du matériel employés.
Les modèles actuels "offrent" la beauté de leur corps à un art véritable, reconnu comme tel. J'en ai traité abondamment sur mon site VISIONS FANTASMAGORIQUES. Les artistes qui pratiquent cette discipline sur des toiles vivantes (!), en utilisant, entre autres, la fameuse technique du "trompe-l'oeil" peuvent créer de véritables chefs-d'oeuvre.
Mais quand le corps humain sert de canevas, ce n'est pas toujours simple. Un des problèmes rencontrés par ces peintres spéciaux, est la transpiration de leurs modèles. Sous l'effet de la sudation, le maquillage ou l'enduis de peinture disparaît (comme on peut le constater sur la photo ci-dessus, sous le sein droit du modèle).
Voici un montage de quelques réussites d'art corporel (pas si nombreuses) sur de jolies femmes qui ont littéralement leur équipe de sport favorite dans la peau. Le tout agrémenté de la chanson TALKING BODY de Tove Lo.
Inscription à :
Articles (Atom)
LE STUPÉFIANT SECRET DE BEAUTÉ DE DIANE DE POITIERS.
SELON UN TÉMOIN DE SON ÉPOQUE, À 66 ANS, L'ANCIENNE FAVORITE DU ROI HENRI II EN PARAISSAIT 30... À travers les siècles,...
-
Un peu partout dans le monde, en berçant leur poupée, des millions de fillettes rêvent d'être des princesses. Des princesses ravissantes...
-
Il y a quelques semaines, quand la top model anglaise Gemma Atkinson a annoncé qu'elle désirait désormais privilégier sa carrière ciném...
-
Cette année, l'inde en a particulièrement souffert... Il y a deux ans c'était l'Afrique du Nord qui devait l'endurer. ...