mercredi 22 septembre 2010

ADRIANA LIMA RÉVÈLE SON PRINCIPAL SECRET DE BEAUTÉ : LA BOXE !


En observant certaines des plus belles femmes du monde, particulièrement celles qui défilent dans les plus prestigieux galas de mode, on se dit qu'elles sont chanceuses et bénies d'être nées ainsi, avec cette grâce rare de la beauté pure et naturelle. Un véritable cadeau céleste ! Une fois terminé le spectacle éblouissant de beauté de ces corps sensuels sertis de paillettes et de bijoux, évoluant dans des décors de rêve dignes des contes des mille et une nuits, vous redescendez sur terre en pressentant que cet enchantement ne doit pas se créer sans peine. Par-delà ces apparences féériques, on soupçonne que ces anges-mannequins, triés sur le volet, doivent bien souffrir un peu pour être aussi resplendissantes. Nous reviennent alors à l'esprit les conditions généralement associées à une carrière dans cet univers très "glamour" : les régimes alimentaires spartiates, la multitude de soins de beauté pour la peau, éviter les excès en tous genres, se reposer pour ne pas avoir les traits tirés, faire attention de ne pas se blesser en pratriquant des activités risquées, etc.


Dans le cas du top model Adriana Lima, cette description n'est pas tout à fait exacte. Elle n'est pas du genre poupée de porcelaine. La ravissante Brésilienne de 29 ans, qui a accouché d'une petite fille le 15 novembre dernier, a un secret de beauté étonnant pour un mannequin de classe mondiale : elle boxe ! Depuis quatre ans, cette discipline sportive plutôt brutale est devenue une vraie passion pour la jolie brunette aux yeux pers. Des prunelles envoûtantes que la magnificence et l'éclat des plus beaux diamants ne peuvent égaler et que ceux qui ont eu la chance de les contempler ne pourront jamais oublier...


Même si Adriana Lima n'est pas la plus délicate et la plus frêle des top models qui règnent présentement sur l'industrie de la mode, on a énormément de mal à s'imaginer qu'elle soit une boxeuse (!), en admirant sa démarche racée sur les tribunes des shows de mode. Mais c'est pourtant la pure vérité. Certains journalistes sceptiques, qui l'ont reçue en entrevue, en ont été convaincus en remarquant que cette New Yorkaise d'adoption se présentait parfois aux rendez-vous médiatiques avec des meurtrissures aux jointures des doigts. Son entraîneur Michael Olajide Jr, ex-boxeur professionnel dans les années '80, ne tarit pas d'éloges envers celle qu'il a surnommé sa "combattante". À part soulever des poids et des haltères, Adriana suit sensiblement le même entraînement qu'un boxeur amateur : corde à danser, shadow boxing, taper dans les grosses mitaines portées par son coach, etc. Au début, Adriana n'était guère entichée des exercices de corde à danser, mais aujourd'hui elle ne pourrait s'en passer. Olajide n'en revient pas encore de voir sa célèbre élève maîtriser aussi parfaitement les diverses techniques de la corde à danser (en croisées, en double, inversées) et ce, à une vitesse d'exécution très impressionnante ! Une vraie pro !


Presque tous les matins, celle qui depuis dix ans est devenue une des vedettes préférées de la prestigieuse maison de mode Victoria's Secret, fait une heure de corde à danser, puis, lorsqu'elle revient au gym en après-midi, c'est pour une autre heure de "shadow boxing" en plus d'exercices spécifiques servant à sculpter les courbes de son corps. S'il lui est impossible de se présenter en gymnase l'après-midi, Adriana se tape les deux heures d'exercices de façon consécutive, le matin. Après son accouchement, la nouvelle maman a mis les bouchées doubles pour retrouver sa silhouette de mannequin. Profitant des siestes de son bébé, Adriana n'a ménagé aucun effort pour reprendre son rigoureux entraînement afin de perdre les kilos en trop. En y mettant toute la gomme, elle a gagné son pari assez rapidement, même si au début elle était frustrée de ne pas être capable de faire tous les exercices aussi bien et aussi vite qu'auparavant. "C'est incroyable ce qu'elle a accompli" a souligné son entraîneur, impressionné et ébahi. Olajide n'a pas eu à motiver ou à pousser sa charmante cliente, parce qu'elle est très déterminée et vaillante...


Le coach poursuit en ajoutant qu'il admire sa "combattante" pour son intensité au travail et pour sa passion pour son programme d'entraînement. Elle veut toujours apprendre de nouveaux trucs et se surpasser. Ce que Olajide aime le plus à propos d'Adriana, c'est que, face aux difficultés ou lorsque ça ne va pas comme elle le veut, elle redouble d'ardeur au lieu d'abandonner comme beaucoup d'autres le font, malheureusement. C'est à ce trait de caractère que l'on reconnaît une championne ou les gens qui sortent de l'ordinaire. Une championne au gym comme au palmarès des mannequins les mieux payés sur la planète, où la belle aux origines suisses, indiennes et brésiliennes se classe dans le top 5, avec des revenus de 7,5 millions de dollars l'an passé.


Pourquoi avoir choisi la boxe ?, lui demande-t-on parfois. Il y a des sports moins difficiles non ?, même si la principale intéressée ne va pas jusqu'à boxer pour de vrai dans un ring, contre de véritables adversaires ! Adriana répond que cette discipline convient à son caractère de "battante" et qu'elle l'aide à rester en santé, en forme et en beauté. C'est surtout très bon pour l'apparence de sa peau et la souplesse de son corps, prétend-t-elle. En un mot : la boxe la rend plus belle ! Et si son coach Olajide admire ses qualités tant physiques que morales, son élève douée lui retourne bien l'ascenseur. Elle vante ses compétences et son professionnalisme en plus de se dire impressionnée par sa personnalité remarquable.


Lorsqu'on la questionne sur son style vestimentaire en dehors des studios et des shows de mode, celle qui a épousé le pro du basketball Marko Jaric, il y a trois ans, répond que tout commence avec la lingerie. Pour se sentir confiante, confortable et sexy, Adriana aime porter les sous-vêtements de Victoria's Secret parce qu'ils enrobent bien sa silhouette en épousant ses formes. Pour les tenues de soirée, la mère de la petite Valentina s'inspire du style classique et sexy de l'une de ses idoles, la star de cinéma Sophia Loren. Ce qu'elle déteste ? Les robes qui n'ont qu'une épaule ou une seule bretelle. Peu importe la robe, direz-vous, Adriana la fera toujours bien paraître...


Pour en savoir davantage sur Adriana Lima, vous pouvez consulter l'autre article que j'ai écrit à son sujet sur mon blog PROFESSION : FEMME DE PRO DU SPORT (http://professionfemmedeprodusport.blogspot.com). Dans le montage audio-visuel qui suit, j'ai choisi une chanson de Jesse McCartney intitulée BODY LANGUAGE. Les paroles font justement référence au fait que notre super mannequin vedette parle plusieurs langues et s'exprime comme personne d'autre, avec son langage corporel exquis !


jeudi 5 août 2010

SOUFFRIR POUR ÊTRE BELLES OU...ÊTRES BELLES POUR SOUFFRIR À MIAMI ?


Selon l'adage, "il faut souffrir pour être belle". Dans le cas des cheerleaders des Dolphins de Miami, de la Ligue Nationale de Football, c'est peut-être le contraire : il faut être belle pour souffrir. Certes les jolies jeunes femmes qui aspirent à parader et à jouer du pom-pom devant les foules immenses qui assistent aux parties des Dolphins, à Miami, doivent faire des sacrifices et s'entraîner fort pour garder la forme (les formes !) et avoir une chance d'être choisies parmi des centaines de candidates aux auditions qui servent à déterminer les heureuses élues. Il est également indéniable que, pour tomber dans l'oeil des juges lors des auditions, beaucoup de filles auront recours à la chirurgie plastique pour sculpter et améliorer leur silhouette. Sans compter tous les soins qu'elles apportent à leur peau, à leurs cheveux, à leurs yeux et à leur bouche, par l'application de crèmes, de lotions, de colorants, de rouge à lèvres, de maquillage, etc.

Évidemment, il ne suffit pas d'être belle ou de se faire belle pour se tailler une place chez les meneuses de claques professionnelles. Il faut savoir se présenter, communiquer, bien bouger, avoir du charisme, être à l'aise avec les gens, danser très bien, et exécuter certaines figures de cheerleading (mouvements de gymnastes). Et si vous êtes "sexy", vous avez une bonne longueur d'avance ! Pour vous aider à jouer cette carte du "sex appeal", un beau costume est un atout de taille. Celui des pom-pom girls des Dolphins est un des plus beaux chez les cheerleaders de la NFL. Il n'en a pas toujours été ainsi. Dans les années 70 et 80, lorsque l'équipe était commanditée par les restaurants Burger King, l'uniforme des filles était affreux. C'était une combinaison moulante, avec pantalon long, arborant de larges bandes de couleur à la verticale. Un vrai costume de clown. Au cours des dernières années, la troupe de meneuses de claques des Dolphins a eu successivement deux directrices formées à l'école des cheerleaders des fameux Cowboys de Dallas, des experts en la matière. Leur expérience et leur influence ne doivent pas être étrangères à l'embellissement notoire de l'uniforme porté par les membres de leur "squad" de Miami. On en a un superbe exemple en regardant la photo de la ravissante Vicky (ci-dessous).


Si, à force de soins de beauté, d'entraînements, de savoir-faire et de performances athlétiques, vous réussissez l'exploit de surpasser la quasi-totalité des candidates lors des auditions de sélection, vous n'êtes pas au bout de vos peines. Vous voilà une cheerleader des Dolphins avec toute la pression que cela représente pour passer au travers d'un calendrier très chargé d'activités sociales, culturelles et médiatiques. Mais le plus dur reste le défi de bien performer le jour des matchs. Vous devez dépenser beaucoup d'énergie pour livrer un spectacle très exigeant au point de vue physique. Avec un thermomètre montant à 120 degrés sur le terrain, vous avec besoin d'être en excellente forme et d'avoir énormément d'endurance. Attendez-vous à être complètement vidées et épuisées à la fin de la journée. Pour éviter les dangers de la déshydratation, les filles doivent boire des boissons énergisantes pendant toute la journée précédant la partie. Un tel régime provoque de fort nombreux voyages aux toilettes !

Dans un passé récent, les représentantes de Miami se sont classées fréquemment parmi les cheerleaders les plus "sexy" des États-Unis, d'après des sondages effectués auprès de milliers de lecteurs de revues pour hommes comme MAXIM'S ou FHM. Et entre toutes les pom-pom girls les plus "sexy", le nom de Lilly Robbins (photo sous le titre de cet article), est revenu souvent dans le top 5 des choix des voteurs. Cette pulpeuse blonde, qui étudie pour être journaliste sportive à la télé, en sera cette année à sa cinquième saison comme meneuse de claques avec les Dolphins.


J'ai déjà souligné que ces Vénus du football ont un horaire bien rempli puisqu'elles participent à plusieurs événements communautaires et qu'on leur fait faire des tournées internationales, notamment pour soutenir le moral des forces armées américaines opérant à l'étranger. Des tournages de vidéos et des séances de photographies dans des lieux paradisiaques, font également partie du boulot de ces véritables mannequins ou top models. Chaque année, la réalisation d'un calendrier de photos pour les partisans du club est un événement très attendu. Face à l'objectif des caméras, certaines cheerleaders, dont Vanessa (ci-dessus), sont resplendissantes de beauté et de grâce. Quel magnifique collier bien assorti à un costume de bain, lui-même pas piqué des vers !


Et, comble de l'originalité, comment ne pas aimer le choix judicieux des tissus pour le costume que porte si sensuellement la belle à croquer Ashton ? Si les ballons de football sont fabriqués avec du cuir de peau de vache ou de cochon, l'imitation de l'apparence de ces ballons sur le bikini porté par la cheerleader des Dolphins a de quoi attirer les regards "cochons" de la gent masculine ! Wow Wow ! De quoi désirer intercepter ou s'emparer du ballon !

vendredi 9 avril 2010

PLAY BALL !


Nous inaugurons ce blog sur une note légère ! La belle saison est revenue et c'est l'ouverture de celle du baseball. C'est à nouveau le bon temps de la chaleur, de la verdure, des fleurs et des filles "sexy" légèrement vêtues !

Ah ! Le baseball ! Que d'heureux souvenirs de jeunesse ! Les parties chaudement disputées entre copains. Le son incomparable de la balle frappée par les bâtons. Le coup de circuit prodigieux...directement sur le grand drap blanc pendu sur la corde à linge des voisins. Les chicanes à n'en plus finir au sujet de : "Y'é safe" ! Non Y'é out !" Les célébrations des vainqueurs, le dépit des perdants, avec à l'enjeu un paquet de gommes, des cartes de joueurs ou l'entretien du terrain ou les réparations des dommages faits aux propriétés des voisins !

Nous ne les remarquions pas trop ou nous nous en moquions un peu, mais il y avait parfois des p'tites filles qui venaient nous voir jouer. Rien de comparable à celles qui enjolivent ce billet (photo) ! J'ai eu beau chercher, aucune autre personne n'a jamais porté aussi bien l'uniforme des Red Sox de Boston depuis que la franchise existe (1901).

Contrairement à d'autres équipes qui ont occasionnellement changé leur habillement pour des variantes parfois fort laides, voire ridicules (genre White Sox de Chicago et leurs bermudas des années '70, ou genre As D'Oakland avec leurs espadrilles blanches) les Red Sox ont respecté la tradition et ont conservé leur uniforme classique adopté en 1933 (sauf pour une brève période entre 1972 et 1979). Il y a bien eu quelques changements mineurs, mais pas de révolution !

C'est surtout dans la manière de porter les uniformes que la mode a fait sentir son influence. Par exemple, au fil de la longue et riche histoire du club, les joueurs ont tantôt montré, tantôt caché, leurs célèbres bas rouges. Les lignes rouges à l'encolure et le long de la rangée de boutons de la chemise ont parfois disparu. Les lettres "BOSTON" ont déjà remplacé celles de RED SOX. Il n'y a pas toujours eu des numéros sur les chandails. Avant d'être fabriqués en tissus synthétiques plus confortables (début des années '70) les uniformes étaient faits en laine. Trop chaud pour les jours de canicule ! Rien qu'à cause de ça, un joueur pouvait perdre cinq ou six livres par match...


Mais peu importe les époques ou les modes passagères, la façon désinvolte, hardie et très relaxe avec laquelle "nos" mannequins mettent en valeur le classique accoutrement des Red Sox est tout simplement exquis ! Ça me rappelle une lettre de Voltaire (philosophe français du XVIIIe siècle) qui écrivait au sujet du mathématicien Maupertuis avec qui il était en compétition pour obtenir les faveurs de la même femme. Il accusait son rival d'être un coquin qui profitait de son métier de professeur pour apprécier les lignes droites sur le tableau de sa classe et les lignes courbes dans le corsage de ses élèves (parmi lesquels se trouvait la jolie dame convoitée par les deux savants) !

dimanche 14 mars 2010

LA FEMME D'AUJOURD'HUI, OEUVRE D'ART PALPITANTE !

L'homme de théâtre français Jacques Deval (Paris 1890-1972) écrivait un jour : «On ne peut nier que la femme a distancé la guenon plus que l'homme le singe». Il devait en savoir quelque chose car il s'est marié à cinq reprises au cours de sa vie ! À travers mes pérégrinations sur la blogosphère; au hasard des découvertes que je fais en cherchant à documenter mes nombreux blogs (voir liens dans la marge de droite); j'ai souvent constaté que la mode et tous les artifices de l'industrie de la beauté transforment de plus en plus la femme d'aujourd'hui en véritable oeuvre d'art vivante !

Mon but ici n'est pas de montrer des top models en bikini. Il y en a tellement déjà, sur une multitude de blogs ou d'autres supports de diffusion. Je ne vise pas uniquement non plus à illustrer la mode contemporaine. Je pourrai présenter de la lingerie féminine (comme dans l'exemple de la photo ci-dessus, tirée d'un défilé de VICTORIA'S SECRET), mais il faudra une "valeur ajoutée" à ces images de jolies femmes. Cet "extra" visuel qui surprend agréablement, qui frappe l'imagination en exerçant une fascination, ou qui ravit l'oeil instantanément tellement il embellit la femme d'une façon exquise et originale. Ce surplus de "grâce" et de "volupté" pourra s'afficher : dans l'hormonie d'éléments de "décoration corporelle" comme la couleur des cheveux et l'esthétique du maquillage; dans l'agencement des couleurs et des textures des tissus; dans la lumière qui éclaire et révèle les formes du corps; dans l'apport complémentaire d'accessoires de beauté bien choisis; dans la splendeur et la richesse des vêtements et des bijoux, ainsi que dans la manière que le modèle les porte.

Les beautés qui paraderont dans ces pages ne seront pas seulement des mannequins professionnels. Des artistes, comme la chanteuse Gwen Stefani, qui ont le don de mettre l'art vestimentaire et les produits cosmétiques au service de leur beauté, trouveront également leur place ici. Toujours, la personnalité de ces vedettes et les trouvailles ou trucs de mode peu banals qu'elles partagent avec le public, seront des critères pour exposer leur image sur BELLES À CROQUER ! Il arrivera que nos photos "coups de coeur" mettent en vedette des inconnues, dans des situations singulières ou des décors surprenants. Nous suivrons fort probablement le calendrier et le rythme des saisons. Et rien ne nous empêchera de mettre en évidence des filles "super sexy" ! Mais sans exagérer... Car comme l'écrivait déjà si bien l'écrivain et journaliste Rivarol en son temps (1753-1801) : «Les femmes absolument belles n'ont de pudeur que juste ce qu'il faut pour faire valoir leur beauté».

Au plaisir de vous divertir en "enchantant" vos yeux, je vous donne rendez-vous sur BELLES À CROQUER ! Dans la mesure où le temps me le permet, je vais essayer de contribuer régulièrement à ce blog. Si le coeur vous en dit, n'hésitez pas à me faire parvenir vos commentaires. À bientôt !

LE TOP-10 DES CHEERLEADERS DE NOËL DANS LA NFL ! Elles sont belles à croquer les cheerleaders de la Ligue Nationale de Football (NFL).  Et e...