mercredi 4 mai 2011

JAYDE NICOLE : UNE "PLAYMATE" CANADIENNE QUI FAIT DES SIENNES À HOLLYWOOD...


Maintenant, la resplendissante et très sexy Jayde Nicole doit croire au concept moderne de "Village Global", en plus de croire en sa bonne étoile. Elle sait que la mondialisation n'est pas qu'une idée floue ou une légende. Dans le monde d'aujourd'hui où les moyens de communications sophistiqués ont aboli les distances et fait sauter les barrières entre les nations, tout est possible, même l'impensable. C'est ainsi qu'une fille, issue d'un milieu modeste et conservateur, qui a grandi dans une petite municipalité de l'Ontario, peut, du jour au lendemain, devenir une vedette sur la planète Hollywood, au coeur du show business international. Pour chercher une explication à ce destin incroyable, qu'il suffise d'ajouter que pour accéder à ce statut de star de la mode et de la télévision américaine, Jayde Nicole a simplement envoyé quelques photos d'elle à une revue. Pas n'importe quel magazine toutefois puisqu'il s'agissait de PLAYBOY !



Bien sûr, pour en arriver là, celle qui, en 2008, est devenue seulement la troisième Canadienne dans l'histoire (après Dorothy Stratten en 1980 et Shannon Tweed en 1982) à mériter le titre de "playmate de l'année" de la célèbre publication de Hugh Hefner, avait tout de même quelques références à son curriculum vitae. D'abord, depuis l'âge de six ans, Jayde avait fait ses preuves en tant que mannequin, en tournant des commerciaux pour la télé, en participant à des spectacles de mode et en posant pour des catalogues canadiens. Déjà à cette époque, qu'une petite fille, aussi mignonne et aussi belle qu'elle puisse être, devienne un modèle dans un coin aussi peu connu que Port Perry, cela relevait de l'exploit ! Là-bas, dans ce territoire nordique, la mode se limitait pas mal aux costumes de motoneiges ! D'ailleurs, dès sa tendre enfance, refroidie par des hivers toujours trop longs, la fillette économisait tous ses sous en rêvant de pouvoir un jour se payer un voyage sur les plages, au chaud soleil de Hawaï... Malgré ses humbles origines, la jeune Jayde était bien en avance sur son âge et sur son milieu social. Elle ne se contentait pas d'habiller ses poupées. Elle avait des idées bien arrêtées sur la façon de se vêtir. On raconte qu'elle aimait décider elle-même de quels vêtements serait constituée sa garde-robe.



Jayde Nicole était loin d'être malheureuse dans son petit coin de pays, bien au contraire, elle en appréciait la tranquillité et le décor paisible. Mais si un bon soir de 2001, alors qu'elle avait quinze ans, elle n'était pas allée à ce concert au Air Canada Centre de Toronto, sa carrière n'aurait peut-être jamais pris son véritable envol. C'est en sortant de cet immense amphithéâtre qu'un éclaireur d'une agence de mode de Toronto la remarque. Jayde est engagée par cette agence et c'est en travaillant dans la métropole canadienne qu'elle fait des pas de géant dans le métier de mannequin. Beauté sexy précoce, sportive à ses heures (elle est une bonne joueuse de volley-ball), mademoiselle Nicole est également une jeune femme de tête et une entrepreneure dans l'âme. Quelques années plus tard, en 2005, elle possède et gère sa propre agence de mannequins, "A Touch of Class", chez elle, à Port Perry. À vingt ans, la jolie brune aux yeux noisette (mensurations : 34C - 24 - 35, taille : 5' 9", poids : 117 livres) est bien au fait des possibilités qui s'offrent à elle dans ce métier qu'elle exerce depuis déjà quatorze ans. Des connaisseurs dans son entourage professionnel lui font comprendre qu'elle aurait bien tort de ne pas profiter pleinement de son physique exceptionnel pour faire avancer sa carrière. Un jour ou l'autre, lui dit-on, des patrons de l'industrie lui demanderont de poser nue dans des magazines pour hommes. Tant qu'à le faire, on lui conseille de tenter sa chance avec les meilleurs pros dans le domaine, ceux de PLAYBOY. Lorsque Jayde parle de cette possibilité aux gens de sa famille et de sa petite localité, sa mère ainsi que la mairesse de la place lui font part de leurs réticences. Elle décide quand même d'envoyer quelques photographies de son porte-folio en Californie, aux bons soins des responsables du personnel de Hugh Hefner.



Peu de temps après, les gens de PLAYBOY lui demandent de s'amener à Los Angeles pour les rencontrer. Jayde ne connaît la revue que de nom. Elle n'en a jamais feuilleté un exemplaire. Lorsqu'on la complimente en lui confiant qu'elle possède une beauté très spéciale, elle ne sait que penser. En fait, elle se demande si ce n'est pas ce que l'on dit à toutes les filles qui intéressent ces hommes d'affaires. Mais dans son cas, il y a fort à parier que les déclarations des experts ne sont pas de simples paroles en l'air. Outre une silhouette presque parfaite, faite de courbes et de rondeurs idéales, le joli minois de la Canadienne de même que ses yeux de feu, découpés en amandes, et légèrement asymétriques, la distinguent des autres candidates. Face au gigantisme américain, étant données sa personnalité de type conservateur et les objections de certaines personnes de son entourage, Jayde est à la fois nerveuse, impressionnée et intimidée lorsqu'elle se présente à sa première séance de photos en tenue d'Ève, dans la capitale du "vice". Mais les pros de PLAYBOY la mettent rapidement à l'aise et ça se passe plutôt bien, pour une première expérience du genre. Les résultats sont fabuleux et, de retour chez elle, il suffit qu'elle montre ces clichés à ces proches qui n'étaient guère favorables à son projet, pour balayer instantanément leurs doutes. Renversée par le travail des photographes professionnels de PLAYBOY, la mairesse de Port Perry reconnaît que les photos de Jayde sont de véritables oeuvres d'art ! C'est pourquoi on ne s'étonne guère en apprenant qu'elle est consacrée "playmate" du mois de janvier 2007. Lorsque ce numéro de PLAYBOY est publié, les responsables du magazine reçoivent une avalanche de commentaires élogieux de la part des lecteurs au sujet de cette Canadienne aux charmes si singuliers. L'abondance et la nature de ces remarques flatteuses sont des indications qui ne trompent pas. Les gens de PLAYBOY en ont vu bien d'autres, et elles sont habituées à jauger rapidement les réactions du public. Dès lors, elles savent que Jayde Nicole a toutes les chances de s'emparer du titre de "playmate" de l'année 2008. Mais la jeune femme de 21 ans n'est pas du même avis, croyant que sa nationalité canadienne l'empêchera de triompher. Après tout, ça fait une éternité qu'une fille du pays n'a pas gagné... C'est ainsi que l'annonce de sa victoire la surprend totalement, tout autant que le prix de $ 100 000 et la Cadillac CTS de l'année qui viennent avec cette récompense inespérée. De plus, Jayde aura le privilège de vivre pendant six mois au fastueux domaine du grand patron de PLAYBOY Hugh Hefner.



Ce succès et ce coup publicitaire extraordinaires propulsent sa carrière de mannequin vers de nouveaux sommets. On la réclame partout afin qu'elle pose pour une multitude de calendriers et de revues prestigieuses comme Sports Illustrated, FHM, Elle, Cosmo, UMM, Vegas Mag, etc. La télévision lui offre des contrats pour apparaître dans des séries comme El's, The Girls Next Door, Million Dollar Poker Challenge, Family Fued, Bromance... Mais c'est son rôle de "bitch" dans la télé-réalité THE HILLS qui en fera une star et une résidente de West Hollywood, bien loin de Port Perry, même si elle prétend représenter non seulement PLAYBOY mais le Canada tout entier ! Elle qui rêvait de voyages et d'évasions pour découvrir toutes les cultures, voilà que sa renommée et son travail l'amènent à visiter des endroits comme la Grèce, Dubai, l'Australie, Londres, l'Irlande... Elle adore aussi se retrouver au soleil, à St-John Island dans les Îles Vierges. Jayde y est heureuse, entourée de palmiers, de sable blanc et de l'océan, même si elle a une peur maladive de l'eau ! Elle jure qu'un jour elle apprivoisera cet élément naturel... Elle n'a jamais vraiment songé à faire un autre métier que celui de mannequin, sa hantise étant d'avoir à passer sa vie derrière un bureau ! Sauf que maintenant, puisqu'elle est tellement sollicitée un peu partout, elle voyage presque trop et elle est très contente de pouvoir parfois revenir goûter à la vie paisible de Port Perry ! D'autant plus que la vie trépidante de Hollywood n'est pas reposante. Fille de party, Jayde Nicole fréquente assidûment les nombreuses boîtes de nuit de son deuxième chez soi, un milieu où la jalousie foisonne et où les aventures amoureuses sont brèves et se succèdent à un rythme fou... Certaines personnes confondent peut-être trop son rôle antipathique de "bitch" dans THE HILLS avec sa vraie personnalité. Ce qui lui vaut parfois certaines inimitiés et quelques ennuis. Comme il y a deux ans, alors qu'elle a été agressée et battue par Joe Francis dans un club de Hollywood. Une entente hors cour a mis fin à une poursuite judiciaire de un million de dollars intentée par Nicole contre son agresseur. Celui-ci l'aurait empoignée par derrière, par la chevelure, avant de la projeter au sol devant plusieurs témoins. L'ex-amant de Jayde, Brody Jenner, se serait porté à sa défense en se battant avec Francis.



Sur le plan personnel, Jayde Nicole aime la musique, mais pas le country. Elle préfère le rock. Un de ses groupes favoris est Rise Against. Après avoir renoncé à jouer de la batterie, elle tente actuellement d'apprendre à jouer de la guitare mais elle avoue que ses progrès sont très lents. L'amitié compte beaucoup dans sa vie. Elle dit s'investir énormément dans ses relations avec ses ami(e)s et elle exige un engagement semblable de leur part envers elle. À la fin de son adolescence, après une histoire d'amour qui a mal tourné et dont elle est ressortie meurtrie, elle s'était bien jurée qu'on ne la maltraiterait plus de cette façon. C'était avant qu'elle devienne célèbre. Têtue et n'écoutant pas les conseils de ses proches, elle décida de se faire tatouer le mot "RESPECT" sur le bas ventre pour marquer sa promesse de ne plus être blessée dans sa dignité de femme. À cette époque, l'agence de mannequins qui l'employait avait accepté ce coup de tête à condition que le tatouage ne soit pas visible lorsqu'elle était en bikini. Jayde ignorait alors qu'elle poserait nue dans le futur et que les bikinis rapetisseraient au point où ils sont aujourd'hui ! Elle déteste être reconnue dans des lieux publics comme les centres commerciaux parce qu'elle néglige justement son apparence physique et vestimentaire en croyant qu'ainsi on ne la reconnaîtra pas ! Mais les gens la reconnaissent quand même et se font photographier en sa compagnie même si elle est loin d'être à son mieux. Ça la choque. Pas parce qu'elle n'aime pas ses admirateurs et ses admiratrices, mais parce qu'ils la prennent en défaut alors qu'elle est mal coiffée, sans maquillage, et mal habillée... Elle se fait un devoir de répondre aux fans qui lui écrivent sur son site web. Beaucoup d'entre eux veulent connaître ses secrets de beauté. Tellement que Jayde a décidé d'écrire un livre à ce sujet ainsi que sur le conditionnement physique. Elle est végétarienne depuis l'âge de quatre ans. Elle mange surtout des fruits et des légumes. Pas de "fast food" ou de "junk food". Seulement un peu de chocolat noir pour se gâter un peu. Pour boissons : du thé vert, de l'eau et du GoYin. Elle n'aime pas le champagne... Même si elle sait qu'on ne la croit pas, la top model répète toujours qu'elle est naturelle à 100%. Pas de plastique, pas d'implants. Elle affirme que sa poitrine, dont la beauté trouble les hommes et fait l'envie de bien des femmes, s'est développée naturellement après son treizième anniversaire de naissance. L'ex-playmate s'implique dans plusieurs oeuvres de charité et elle est spécialement dédiée à la cause des animaux maltraités. Elle oeuvre souvent dans des organismes comme PETA, Ace of Hearts et la SPCA. Toujours célibataire, Jayde partage d'ailleurs sa vie avec un petit chien qu'elle adore et qui la suit partout. Parmi ses projets d'avenir, elle aimerait ouvrir son propre Spa. On peut admirer la sublime Jayde Nicole sous toutes ses coutures dans le montage ci-dessous, au son de la musique de Cosmosis. Une pièce appropriée qui a pour titre NAKED CHICKS !





Puis, dans une entrevue amusante réalisée en Irlande par Podge et Rodge, Jayde révèle des secrets croustillants qui font défaillir ses interlocuteurs !


lundi 21 février 2011

AU-DELÀ DE SON IMMENSE SUCCÈS COMME TOP MODEL, GEMMA ATKINSON SE CONCENTRE MAINTENANT SUR SA CARRIÈRE D'ACTRICE...


Il y a quelques semaines, quand la top model anglaise Gemma Atkinson a annoncé qu'elle désirait désormais privilégier sa carrière cinématographique et ne plus poser presque nue pour des magazines pour hommes (FHM, Loaded, Maxim, Zoo, Nuts), ses très nombreux admirateurs étaient un peu sceptiques. Les succès retentissants que la jeune femme de vingt-six ans a remportés comme mannequin de lingerie féminine (La Senza, Ultimo's, DG range) ces dernières années, et les ventes records de ses calendriers de photos sexy ne laissaient pas croire à une telle décision de sa part. Mais depuis le début de l'année 2011, c'est un fait que, contrairement à ce qu'ils ont connu dans le passé, les Britanniques n'ont vu de leur célèbre compatriote que des images ou des apparitions publiques où elle apparaît en version... habillée ! Et "Gem" ou "Gemmy", comme se plaisent à l'appeler familièrement ceux et celles qui l'aiment, ne manque pas de répéter que c'est pour être prise au sérieux qu'elle a choisi de mettre en veilleuse sa "glamoureuse" carrière de top model. Orienter sa vie professionnelle vers le métier d'actrice lui semble désormais la meilleure voie de valorisation et d'enrichissement pour son développement personnel. Comme la plupart des personnes qui connaissent du succès, Gemma Atkinson a sans cesse besoin de nouveaux défis et déteste la routine ou la stagnation.


Voilà pourquoi les personnes qui connaissent bien cette blonde sexy aux yeux radieux, ne s'étonnent guère de sa décision. Car, au-delà de ses apparences très "hot", Gemmy est une fille très terre à terre, possédant une dose généreuse du traditionnel flegme britannique ! C'est d'ailleurs pourquoi elle ne comprend pas que tout le Royaume Uni ait semblé développer, au fil des ans, une véritable obsession pour... sa poitrine ! Cet engouement peu ordinaire a surtout pris de l'ampleur en 2006, après que Gem ait eu recours à la chirurgie esthétique, pour augmenter le volume de ses seins, grâce à des implants mammaires. En fait, c'était une façon pour elle de récupérer ce qu'elle avait perdu. L'histoire commence au tournant du millénaire quand sa mère, prétextant une visite chez le dentiste, réussit à amener son adolescente dans une agence de mannequin. Plutôt du genre "garçon manqué" et très sportive, Gemma n'était guère intéressée, contrairement aux filles de son âge, à passer des heures devant son miroir à se maquiller et à se pomponner. Elle préférait de loin pratiquer des sports d'équipes comme le hockey, faire de la natation ou s'exercer à la course à pied, plutôt que de feuilleter des revues à potins ou des magazines de mode... À ses dires, elle était même plus musclée que les gars de son école ! Pourtant cette visite imprévue et involontaire dans cette agence anglaise changera rapidement sa vie. Dès l'année suivante, alors qu'elle n'a que dix-sept ans, Atkinson se retrouve dans une populaire télé-réalité intitulée HOLLYOAKS. La série cartonne, et ses nombreuses suites mettent de plus en plus Gemma en valeur et en vedette. Elle atteint vite un niveau de célébrité qui ne cessera plus de grandir.


Ainsi exposée aux regards du grand public, et à ceux encore plus "intéressés" des patrons de revues masculines, il va sans dire que sa grande beauté, et son statut de vedette de la télé, lui valent d'être approchée tout de suite par les gens de l'industrie de la mode et du show business. Mais la charmante jeune femme de 5'9", originaire de Bury près de Manchester, trouve qu'elle a un visage un peu trop joufflu et un ventre un peu trop potelé pour poser devant les caméras des magnats de la presse spécialisée dans la lingerie ou les photos de femmes sexy. Elle se met résolument à l'entraînement, un entraînement intensif comparable à celui des boxeurs, pour perdre les kilos superflus. Dans le processus, son buste fond également et sa grandeur de soutien-gorge passe de 34D à 34B. Gemma ne se serait guère formalisée de ce changement, mais pour les besoins de son nouveau métier, elle a jugé bon de recourir à la chirurgie afin de recouvrer ses "attributs" féminins d'avant. Très peu pour elle les mannequins squelettiques de la mode actuelle. À ses yeux, ses consoeurs maigres qui se privent de manger dans le seul but de garder leur ligne, ont plutôt l'air malades et sont à plaindre.


Dès les premières semaines qui suivent son opération, Gem est surprise des réactions et de l'impact que ses nouveaux "atouts" provoquent. Que ce soit dans l'opinion publique, dans les médias, ou dans son entourage, sa poitrine "remodelée" fait jaser et fait couler beaucoup d'encre. On parle de ses seins "massifs" qui doivent bien pousser ses mensurations dans le double F ! Il est vrai que l'enflure causée par l'ajout des implants contribuent pendant quelque temps à fausser les impressions. Les jeunes hommes de la famille Atkinson osent à peine jeter un coup d'oeil gêné sur les "appâts" redimensionnés de leur Gemmy. "Wo ! Qu'ils sont gros !" disent-ils, en baissant les yeux et en s'excusant presque de les garder ouverts. Lors de ses sorties dans les clubs de nuit, toutes ses amies, et même des inconnues de son âge, qui la croisent ou la reconnaissent lorsqu'elle va aux toilettes, lui demandent si elles peuvent "les" voir. Loin d'être prude, Gemma acquiesce naturellement à leur demande. Même chose en ce qui concerne ses camarades de travail masculins qui, poussés par la curiosité, demandent à tâter délicatement une petite partie de sa poitrine pour savoir si c'est bien vrai ce qu'on dit à propos de la dureté des seins refaits. Gem souligne que dans son cas, puisque les implants ont été insérés derrière les tissus naturels de ses seins, ceux-ci ont une consistance parfaitement normale. La même folie obsessionnelle fait rage du côté des journalistes qui, durant les entrevues qu'elle leur accorde, posent la moitié de leurs questions sur ce sujet... Ils veulent tout savoir. Doit-elle marcher un peu par en arrière ? A-t-elle des maux de dos ? Peut-elle voir ses pieds quand elle se tient debout ? Lequel de ses deux seins aime-t-elle le plus ? Ils n'en finissent plus d'approfondir ce dossier qui leur semble existentiel ! Les Anglais ont la réputation d'être un peuple de nature réservée, parfois même indifférente. C'est pourquoi Gemma ne comprend pas pourquoi ils font de l'élargissement de son buste une affaire d'État ! Elle trouve normal que les hommes soient portés à plonger davantage leur regard dans son décolleté, mais de là à en faire une maladie... Avant l'opération, son chirurgien lui avait offert le choix de quatre grosseurs d'implants. Il lui a déconseillé la première sélection qu'elle avait d'abord faite, disant que ces implants étaient trop petits pour son corps. Son deuxième choix fut également mis en doute, le docteur lui confiant qu'elle aurait l'air ridicule avec ces implants-là. Finalement, ceux qui furent utilisés ont plu à la vedette -et à ses amies qui veulent toutes en avoir !- ainsi qu'à son chirurgien. Gemma estime que ses seins ne sont pas disproportionnés par rapport à l'allure générale de sa silhouette. Dans sa famille, dont le père est écossais, les femmes sont larges d'épaules et assez robustes, sans être grasses.


Quoi qu'il en soit, même si la carrière de Gemma était déjà bien lancée après Hollyoaks et ses suites, elle explose littéralement après sa chirurgie esthétique. Toutes les portes s'ouvrent. On l'invite à participer à une foule de projets, y compris un album de chansons qu'elle écrirait et interpréterait. On la réclame pour la télévision dans toutes sortes d'émissions. Les réalisateurs de cinéma et les metteurs en scène de théâtre lui confient des rôles. Le Grand Prix de Formule 1 d'Angleterre l'associe à son image de marque pour faire de la promotion. Les agences de publicité se l'arrachent. Les compagnies de lingerie féminine l'engagent pour des défilés, des ouvertures de magasins ou des événements spéciaux visant à augmenter leurs ventes. Elle est représentante pour des firmes de jeux vidéos. À l'intérieur d'un court laps de temps, Gemmy réussit l'exploit sans précédent d'apparaître dans les principaux magazines pour hommes et de faire presque simultanément leur page couverture ! On voit ses photos partout dans les kiosques à journaux et à revues ! Elle participe à plusieurs oeuvres de charité. Bref, c'est un euphémisme d'affirmer qu'elle est en grande demande !


Vous ne serez pas surpris que Gemma Atkinson ait été sollicitée abondamment pour poser nue dans des revues comme Playboy ou Penthouse. On lui a offert des montants d'argent complètement fous ! Des fortunes qu'elle, sa mère, et son agent ont refusées parce qu'ils jugeaient que le moment n'était pas propice et que la progression de sa carrière allait très bien comme ça. Toutefois, si au cinéma, dans un scénario qui lui conviendrait bien, un réalisateur lui demandait de tourner des scènes "top less", Gem ne dirait pas non. Mais peu importe si cette occasion se présente ou pas, la belle anglaise désire se consacrer à sa carrière d'actrice, possiblement parce qu'elle trouve excessifs toute l'attention du public et tout le battage médiatique qui tournent autour de son apparence physique. Elle est peut-être lasse d'être photographiée nue, ou en petites tenues, sous tous les angles. Atkinson veut prouver qu'elle n'a pas seulement un corps de rêve. Elle veut démontrer qu'elle a d'autres talents. C'est une jeune femme très active, dynamique et confiante dans la vie. Une confiance qui a été affermie très tôt grâce à son caractère positif, à la pratique assidue de plusieurs sports dans sa jeunesse, et aux heures quotidiennes qu'elle passe encore à s'entraîner au gymnase...

Dans un prochain article sur mon blogue PROFESSION : FEMME DE PRO DU SPORT (http://professionfemmedeprodusport.blogspot.com), je vais répondre à des questions que tous les admirateurs de Gemma se posent : quel genre d'homme préfère-t-elle ? Comment peut-on l'approcher et la séduire ? Qu'est-ce qu'il ne faut PAS faire si on veut l'aborder ? Pour sa part, mademoiselle Atkinson a déjà déclaré que pour séduire un homme elle pourrait faire une danse lascive autour d'un poteau, un peu comme le font les strip-teaseuses dans les clubs de nuit. Elle s'exécuterait sur un enregistrement d'une chanson des Pussy Cat Dolls, un groupe qu'elle aime bien. J'ai justement choisi un de leurs grands succès remixés, Don'T you, pour se marier au montage photographique ci-dessous...


mardi 23 novembre 2010

LES FILLES-BONBONS DE LA NFL


La fête de l'Halloween a beau être passée depuis quelques semaines, des photographies toutes fraîches et à couper le souffle nous rappellent des moments inoubliables de cette amusante mascarade de personnages tantôt drôles, tantôt effrayants. Les cheerleaders de la Ligue Nationale de Football participent de belle façon à cette fête, à chaque automne. C'est une tradition à respecter ! D'autant plus que ces filles sexy se font encore plus jolies grâce aux couturiers américains qui rivalisent d'adresse et d'imagination pour les transformer en BELLES À CROQUER !

Défilent alors sous les yeux émerveillés des spectateurs présents aux matchs de la NFL, des jeunes femmes ravissantes revêtues de costumes aux styles fantaisistes et aux couleurs vives qui les métamorphosent en princesses, en personnages de films ou de contes, en membres des forces armées, en mignonnes fillettes, en diablesses, en pirates ou en filles-bonbons. La coupe de ces vêtements et l'agencement des accessoires qui les embellissent sont parfois de vrais chefs-d'oeuvres ! La richesse des décorations, des broderies, des dentelles, des fourrures et des fausses pierres précieuses qui ornent ces tenues "sexy" est quelque chose à voir ! Plusieurs genres de tissus sont utilisés pour faire de ces danseuses-mannequins de véritables créatures de rêve : soie, satin, lycra, taffetas, cuir, coton, paillettes, dentelle, tweed, etc. Tout un assortiment de faux bijoux, de matières plastifiées, de boutons dorés ou argentés enjolivent de charmantes épaulettes, des masques mystérieux, des bracelets étincelants, des corsages échancrés, des chapeaux aux formes audacieuses, des chevelures chatoyantes, des bas de robes aguichantes, de longues bottes "sexy" ou des souliers extravagants...

Voici quelques "portraits" de meneuses de claques que je trouve particulièrement irrésistibles. Je les ai divisés en différentes catégories... Le thème militaire ou "forces armées" est souvent repris. On connaît le fort sentiment patriotique qui anime la grande majorité des Américains. La plupart des Pom Pom Girls de la NFL sont des étudiantes d'université qui font ce boulot à temps partiel, bien que, pour bien paraître la journée des matchs, elles consacrent de nombreuses heures à leur entraînement et à la pratique de leurs routines, durant la semaine.

À plusieurs occasions, on leur demande de faire des spectacles outre-mer afin de remonter le moral des troupes militaires américaines. Pour rappeler aussi à la nation les sacrifices de leurs soldats se battant à l'étranger, on habille donc les cheerleaders de costumes qui font penser aux uniformes des forces armées.

Ci-dessus, cette sergente sexy incarne bien le titre de sa fonction ! C'est le moins que l'on puisse dire ! La casquette ornée d'une broche appropriée, l'encolure et la pochette luisantes, le noir de l'uniforme ainsi que la beauté du "modèle", font de l'ensemble du personnage une réussite à la fois classique et séduisante.


Les Patriotes qui aiment leur US AIR FORCE l'aimeront encore davantage en regardant à l'oeuvre cette magnifique cheerleader représentant avec tant de grâce et de fierté les pilotes de leurs puissants chasseurs ! Voilà une combinaison relativement sobre mais quand même élégante dans sa simplicité... De quoi inspirer les as volants à pousser leurs avions jusqu'au septième ciel ! Ahhhh ! Ces Texanes ! Elles vous font tourner la tête ! (il s'agit d'une meneuse de claques des Texans de Houston)...


Toujours sous le thème de l'aviation, cette pro du cheerleading a un peu l'allure d'une rockeuse avec son blouson de cuir identifié au film TOP GUN. Chaussée de ces longues bottes de cuir noir et avec un tel déhanché, on sent qu'elle peut assumer n'importe quelle mission périlleuse... Même observation pour l'autre sensuelle blonde en costume de super woman, que l'on aperçoit à l'arrière-plan. Si ce n'était du bustier bleu, elle ferait une compagne idéale pour la mascotte du Rouge et Or de l'Université Laval, à Québec...


Les troupes de l'infanterie n'ont pas à être jalouses des autres unités de l'armée américaine. Leur porte-couleur a du gallon à ses épaulettes, des étoiles à des endroits stratégiques, et des franges en bordure de costume qui lui donne un petit côté léger sans pour autant la faire basculer dans l'indiscipline ou lui faire manquer le pas dans sa marche militaire. Et avec un tel sourire désarmant, à faire fondre une banquise, l'ennemi n'a qu'à bien se tenir ! Cette demoiselle affriolante est membre des SaintSations, les meneuses de claques des Saints de la Nouvelle-Orléans.


Finalement, la US NAVY n'a rien à envier aux forces terrestres et aériennes car sa cheerleader navigatrice n'a pas le mal de mer et elle est solidement "bâtie" pour affronter les tempêtes au large. La casquette d'officier des forces navales, les symboles de la marine et le bleu marin lui vont si bien, qu'elle ne serait jamais recalée si elle décidait de se présenter pour obtenir un poste de choix dans la US NAVY. Elle aussi fait partie des SaintSations.


Sans rien ne vouloir enlever à la beauté des "déguisements" d'Halloween des autres Pom Pom Girls, il me semble que cette fête, célébrée à la fin du mois d'octobre, est liée à un aspect lugubre, fantomatique ou diabolique. Vampires, sorcières, zombies et autres personnages effrayants y tiennent des rôles prépondérants. C'est pourquoi cette splendide diablesse (ci-dessus) avec ses coquines cornes rouges a bien sa place au bal des cheerleaders de l'Halloween. Quel bustier et quel minois d'enfer ! Au point de vendre son âme au diable en personne ?!


En plein dans l'esprit, le ton et les couleurs de la mascarade halloweenienne, cette jeune femme masquée dégage quelque chose de mystérieux et d'envoûtant. Remarquez les lignes symétriques horizontales formées par la similitude des parures au cou, aux bras, au ventre et à la ceinture. Mêmes les volants à pois surplombant le buste participent à cet élément stylistique. Dans une moindre mesure, dans la partie centrale du déguisement qui va de la taille jusqu'au cou, une symétrie verticale et une autre en diagonale donnent une réplique superbe aux lignes horizontales tout en les réunissant. Le masque et la coiffure sont remarquablement bien agencés à ce concept bien équilibré et très esthétique.


Pour les meneuses de claques des Buccaneers de Tampa Bay, pas besoin de chercher midi à quatorze heures afin de trouver un costume de circonstance. La tenue de pirate s'impose en vertu du nom de l'équipe de football. Reste quand même à dénicher la candidate à qui pareil accoutrement va comme un gant. Dans ce cas-ci (photo ci-dessus), aucune hésitation, les formes épousent parfaitement la fonction ! À l'abordage, mille sabords !


Les chauves-souris font également partie du folklore de l'Halloween. Cette "bat girl" ne détonne donc pas dans le décor. Voici une autre "belle à cornes", dont la brassière noire à motif caractéristique jaune, et la cape suggérant les ailes de chauve-souris, ne devraient toutefois pas inquiéter personne, même dans la profondeur des ténèbres des soirs d'Halloween. Concédons cependant que, à prime abord, en cas de rencontre fortuite avec cette étrange créature, on ne pourrait probablement pas réprimer un petit frisson... C'est dans la troupe de cheerleaders des Cardinals de l'Arizona qu'évolue notre "bat girl"...


Pour sûr, lorsqu'il est question de Batman ou de son pendant féminin, Robin n'est pas très loin. Et l'émule de ce héros de cinéma, de télé et de bandes dessinées, ne passera certes pas incognito dans ses vêtements flamboyants (photo ci-dessus). Encore une fois, le masque vient grandement renforcer l'allusion au personnage. Ou créer l'illusion du vrai Robin... Les déguisements aux couleurs franches, des autres meneuses de claques qui apparaissent sur le cliché, s'harmonisent bien avec celui de notre protagoniste.


Selon les renseignements que je possède, cette attrayante pirate se prénomme Marisa. Je ne peux affirmer que le collier de perles qui pend à sa ceinture fait partie du butin qu'elle a volé, mais pas de doute que c'est une plus-value pour son "look". Le détail de l'ornementation et de la découpe de la jupette de notre chasseuse de trésors est un festin pour les yeux. Tout comme le beau travail des couturiers pour magnifier ce tricorne qui ne manque pas de panache, ce corsage dont le plantureux contenu attendrirait le plus sanguinaire des corsaires, et ces manches "ennoblies" d'un style et d'un dessin typiques du XVIIIe siècle.


Poursuivons maintenant notre excursion dans le monde imaginaire et fantastique des Pom Pom girls de l'Halloween. Nous entrons sur le territoire de ce que j'appellerais les filles-bonbons ou filles-poupées. Avec leurs robes de fillettes, genre Alice au pays des merveilles, ces spécialistes dans l'art d'amener les spectateurs à encourager leur club de football, ressemblent en effet à des personnages de contes de fée, à des sucreries givrées ou à des emballages de cadeaux... Ci-dessus, cette meneuse de claques accentue son air de jeunesse avec ses lulus enrubannées... Charmant !


Au royaume de l'originalité, du rêve et de l'inattendu, il ne faut pas s'étonner de rencontrer une beauté velouté ayant une bien curieuse façon de transporter sa tasse de chocolat chaud et sa soucoupe. Avec cette boucle en évidence sur la poitrine et des vêtements qui semblent fabriqués en papier glacé, oui on pourrait se méprendre et croire que cette cheerleader est camouflée dans un emballage cadeau. Les pompons qu'elle agite sont de même nature et contribuent à certifier notre impression. Il s'agit d'une autre "production" de l'organisation des Cards de l'Arizona.


Ahhhh !!!! La voici notre "candy girl", notre fille-bonbon par excellence ! Pas de doute, le rose lui sied à ravir ! Et que de délectables friandises sont offertes sur ce justaucorps appétissant ! Boucles, bottes, bonbons, sucettes, cornet de glace, dentelle et tutu, meneuse de claques enjouée, tout concourt à faire de cet assortiment un délice pour les yeux ! Directement de la confiserie des Patriots de la Nouvelle-Angleterre !


Maintenant, place à la cheerleader femme-enfant ! Wow ! Quel tableau de grand maître ! Une explosion de couleurs savamment ordonnées et agencées. Un usage judicieux de boucles, de rubans et de frisons vient couronner un ensemble spectaculaire ! Le jupon de dentelle rouge délicatement ouvré apporte une touche sexy qui trahit l'innocence du blanc des bas collants. Les manches bouffantes et striées de bandes rouges complètent adorablement cette tenue de rêve... Une gracieuseté des Cardinals de l'Arizona...


Puisque les Pom Pom Girls "travaillent" en groupe, il fallait au moins choisir quelques exemples patents de leur capacité de joindre leurs charmes pour éblouir la galerie... Ici, trois princesses d'horizons divers s'unissent pour nous en faire voir de toutes les couleurs ! Encore une fois merci aux bonnes gens de l'Arizona pour ce superbe cadeau d'Halloween.


En confectionnant ces costumes bigarrés, les couturiers mis à contribution par l'organisation des Patriots de la Nouvelle-Angleterre pour célébrer de brillante façon la fête de l'Halloween, ont voulu satisfaire tous les goûts et tous les groupes d'âge. Pour les enfants, à l'Halloween, déguisement et cueillette de bonbons vont de paire. Notre fille-bonbon (au centre) est certaine de frapper leur regard, tout comme la gentille souris à pois blancs (en arrière-plan) et la libellule verte qui prend la pose, à gauche. La confrérie masculine, parmi les spectateurs, ne sera pas moins intéressée par ces personnages mais ne portera pas le même genre de regard sur eux. Ces messieurs reconnaîtront avec plaisir Marilyn (à droite) dans sa pose et sa robe légendaires, ainsi que cette joueuse de baseball (portant une casquette rouge, à gauche) dont le "swing" est tout à fait enjôleur même en l'absence de bâton et de balle !


Au tour des meneuses de claques belles comme des coeurs d'entrer dans la danse. Le pique, le carreau et le trèfle ne sont pas oubliés dans la décoration de cette robe soigneusement lacée. Génial ! Haut les mains, haut les mains, haut les mains, donne-moi ton coeur... chanteraient en choeur les gens des clubs med... Encore tout à l'honneur des Cards de l'Arizona....


Autre admirable variation sur le même thème, qui fera battre bien des coeurs, surtout chez les hommes impressionnés par cette beauté. Impossible de rester insensible à la splendeur de cette abondante chevelure couronnée, de ce collet monté épatant, et de tout ce qu'il y a d'excitant en-dessous ! La bordure inférieure de la robe est sensationnelle, mais pas autant que le sourire éclatant de notre mannequin d'un jour !


Nous évoquions, un peu plus haut, la présence de princesses parmi nos cheerleaders du "spécial Halloween". En voici une, orientale, sortie directement des contes des mille et une nuits. Les imitations de bijoux qui mettent en valeur la taille et le buste rehaussent l'allure et la beauté de cette tenue d'un bleu enchanteur. Quel prince hindoue ou quel grand calife ne désirerait pas cette belle ingénue dans son harem ?


Les mêmes remarques s'appliquent dans le cas de cette autre princesse pour qui, je le confesse, j'ai eu un coup de coeur. Tout, que ce soit dans le choix des tissus et des parures, ou dans l'art de les assembler, concourt à faire de cette meneuse de claques une fiesta pour les yeux et le coeur... Un chef-d'oeuvre dont nous sommes redevables aux Saints de la Nouvelle-Orléans.


Une cousine de notre précédente dame en bleu. Toute aussi séduisante et grâcieuse. Les pompons blancs contribuent de manière non négligeable à augmenter l'effervescence et la joie qui animent cette cheerleader manifestement très douée pour la danse et la séduction.


Chez les Pom Pom Girls des Cardinals de l'Arizona, les déguisements d'halloween sont souvent calqués sur l'habillement de personnages célèbres du petit comme du grand écran. On l'a vu plus haut, notamment avec Batgirl et l'incarnation féminine de Robin. Ci-dessus, nous avons droit à une sorte de réplique de Wonder Woman. Mais vous serez d'accord avec moi pour conclure que, si le maillot et le bustier sont difficiles à ne pas remarquer à cause de leurs couleurs éclatantes, ce n'est pas ce qui "saute" aux yeux, à première vue... Hum ! Hum !


Si Robin Hood recherchait une compagne dynamique et exubérante, il pourrait choisir cette meneuse de claques tellement resplendissante avec son chapeau à plume rouge et sa robe verte si sexy. Il pourrait aussi s'en servir comme diversion pour voler les riches afin d'aider les pauvres...


Notre dernière illustration préférée des cheerleaders de l'Halloween n'est pas la moindre. Dans cette représentation plus achevée de Wonder Woman, on savoure particulièrement le rouge, comme dans la chanson "Savoure le rouge", du groupe musical français Indochine. Les dorures à la ceinture, aux poignets, à la poitrine et à la tête deviendront objets de contemplation et de ravissement pour les amateurs de symétrie et d'équilibre...


Évidemment, cet incroyable guide illustré des cheerleaders de l'Halloween reflète mes goûts personnels. Les vôtres peuvent différer des miens. C'est pouquoi je vous offre la possibilité de choisir vos propres coups de coeur grâce au diaporama suivant. Sur une chanson appropriée qui parle de filles "delicious" et "yummy yummy" !

mercredi 6 octobre 2010

FILLES SEXY ET FOOTBALL : UNE FORMULE GAGNANTE !


Lorsqu'une personne désire se lancer en affaires et cherche conseil auprès des experts en la matière, on lui recommande souvent d'observer les gens dans son milieu social. Quels sont leurs habitudes, leurs besoins, leurs goûts, leurs passions, leurs points d'intérêt, leurs dépendances ? À partir de ces observations, il faut faire travailler l'imagination, brasser des idées, les associer pour créer un concept original, mettre au point un produit qui plaira autant aux investisseurs qu'aux consommateurs... En étudiant la psyché américaine, Mitch Mortaza, le fondateur de la LINGERIE FOOTBALL LEAGUE, a possiblement découvert un produit, une offre irrésistible qu'une vaste clientèle ne pourrait refuser. Peut-être en a-t-il eu l'idée en regardant un match de football à la télévision et en voyant des cheerleaders sexy se démener pour que les spectateurs encouragent leur équipe favorite...


Qu'est-ce qui intéresse le plus l'homme américain si ce n'est pas le football, une religion aux USA, et les femmes sexy, que l'on voit partout y compris sur internet et dans toutes ces publicités racoleuses dont nous sommes inondés ? De là est née l'idée d'associer football et sexe : faire jouer de jolies demoiselles en petites tenues. Génial, innovateur, séduisant, payant et très XXIe siècle ! De plus ça fait partie de l'industrie du vice comme les boissons alcoolisées, la cigarette, les jeux de hasard, etc. Une industrie anti-récession ! La belle affaire !


Les États-Unis ne se sont pas encore remis de la profonde dépression qui s'est abattue sur le pays il y a deux ans, mais cette calamité n'a pas empêché Mortaza de lancer avec succès sa LFL (Lingerie Football League) l'an dernier. Il prévoit installer des équipes dans les 32 marchés de la NFL (National Football League) et même en Europe. Son "produit" est loin de faire l'unanimité et les groupes féministes l'accusent d'exploiter les jeunes femmes en en faisant des objets sexuels. L'homme d'affaires se défend en affirmant que son "personnel" est formé avant tout d'athlètes pratiquant un sport reconnu. Elles ne sont pas plus dévêtues que les joueuses de volley-ball de plage ou certaines joueuses de tennis...


On ne peut nier que ces footballeuses très "spéciales" sont en grande forme et qu'elles doivent s'entraîner sérieusement pour ne pas avoir l'air folle sur le terrain (voir mes articles à ce sujet sur mon blogue FOOTBALL MANIA AVEC HACKSAW). Leurs entraîneurs sont souvent d'anciens joueurs de la NFL et ils leur apprennent réellement à jouer du vrai football de contact. Mais n'entre pas qui veut dans ces clubs réservés à des filles jeunes (moins de 25 ans) et au profil de mannequin.


Oui ces sportives savent jouer au football et déclarent qu'elles veulent être d'abord appréciées pour leur talent et leurs efforts, mais toute la machine promotionnelle et publicitaire de la LFL fonctionne surtout en exploitant l'aspect "sexy" de ce produit offert à une clientèle masculine qui ne serait sûrement pas aussi nombreuse si les filles portaient des uniformes de football classiques. Il ne faut pas être naïfs... On peut se demander quel message cet autre élément d'hypersexualisation envoie aux jeunes. Déjà submergés par les nombreux exemples de vedettes super sexy comme Britney Spears et compagnie, les pré-adolescentes veulent suivre la "mode" en copiant leurs idoles... Évidemment ces dernières sont loins d'avoir des tenues et des comportements décents sur ou en dehors de la scène... Les parents doivent éduquer leurs enfants en leur faisant comprendre que le plus important ce n'est pas les apparences, le superficiel, le "paraître" mais l'authenticité, la personnalité, "l'être"...

Mais pour le public adulte averti, il n'y a pas de mal à admirer ces phénomènes que sont ces footballeuses aux corps de déesses... On peut le faire pour diverses raisons dont celle qui procède d'un certain voyeurisme, pour ne pas dire un voyeurisme certain. C'est une curiosité "animale", d'instinct, que Anne-Marie Losique, notre sexy animatrice d'émissions "soft porn", a décidé d'exploiter en lançant une chaîne de télévision pour adultes. Pas étonnant qu'elle ait annoncé récemment que les matchs de la LFL feront partie de sa programmation.

Qu'elles soient l'objet de moqueries ou traitées comme des femmes-objets, il n'empêche que les filles de la LFL se prennent au jeu et veulent gagner lorsqu'elles sautent sur le terrain de football. Et elles veulent le faire à leur façon ! OUR OWN WAY comme le chante Klaas...



mercredi 22 septembre 2010

ADRIANA LIMA RÉVÈLE SON PRINCIPAL SECRET DE BEAUTÉ : LA BOXE !


En observant certaines des plus belles femmes du monde, particulièrement celles qui défilent dans les plus prestigieux galas de mode, on se dit qu'elles sont chanceuses et bénies d'être nées ainsi, avec cette grâce rare de la beauté pure et naturelle. Un véritable cadeau céleste ! Une fois terminé le spectacle éblouissant de beauté de ces corps sensuels sertis de paillettes et de bijoux, évoluant dans des décors de rêve dignes des contes des mille et une nuits, vous redescendez sur terre en pressentant que cet enchantement ne doit pas se créer sans peine. Par-delà ces apparences féériques, on soupçonne que ces anges-mannequins, triés sur le volet, doivent bien souffrir un peu pour être aussi resplendissantes. Nous reviennent alors à l'esprit les conditions généralement associées à une carrière dans cet univers très "glamour" : les régimes alimentaires spartiates, la multitude de soins de beauté pour la peau, éviter les excès en tous genres, se reposer pour ne pas avoir les traits tirés, faire attention de ne pas se blesser en pratriquant des activités risquées, etc.


Dans le cas du top model Adriana Lima, cette description n'est pas tout à fait exacte. Elle n'est pas du genre poupée de porcelaine. La ravissante Brésilienne de 29 ans, qui a accouché d'une petite fille le 15 novembre dernier, a un secret de beauté étonnant pour un mannequin de classe mondiale : elle boxe ! Depuis quatre ans, cette discipline sportive plutôt brutale est devenue une vraie passion pour la jolie brunette aux yeux pers. Des prunelles envoûtantes que la magnificence et l'éclat des plus beaux diamants ne peuvent égaler et que ceux qui ont eu la chance de les contempler ne pourront jamais oublier...


Même si Adriana Lima n'est pas la plus délicate et la plus frêle des top models qui règnent présentement sur l'industrie de la mode, on a énormément de mal à s'imaginer qu'elle soit une boxeuse (!), en admirant sa démarche racée sur les tribunes des shows de mode. Mais c'est pourtant la pure vérité. Certains journalistes sceptiques, qui l'ont reçue en entrevue, en ont été convaincus en remarquant que cette New Yorkaise d'adoption se présentait parfois aux rendez-vous médiatiques avec des meurtrissures aux jointures des doigts. Son entraîneur Michael Olajide Jr, ex-boxeur professionnel dans les années '80, ne tarit pas d'éloges envers celle qu'il a surnommé sa "combattante". À part soulever des poids et des haltères, Adriana suit sensiblement le même entraînement qu'un boxeur amateur : corde à danser, shadow boxing, taper dans les grosses mitaines portées par son coach, etc. Au début, Adriana n'était guère entichée des exercices de corde à danser, mais aujourd'hui elle ne pourrait s'en passer. Olajide n'en revient pas encore de voir sa célèbre élève maîtriser aussi parfaitement les diverses techniques de la corde à danser (en croisées, en double, inversées) et ce, à une vitesse d'exécution très impressionnante ! Une vraie pro !


Presque tous les matins, celle qui depuis dix ans est devenue une des vedettes préférées de la prestigieuse maison de mode Victoria's Secret, fait une heure de corde à danser, puis, lorsqu'elle revient au gym en après-midi, c'est pour une autre heure de "shadow boxing" en plus d'exercices spécifiques servant à sculpter les courbes de son corps. S'il lui est impossible de se présenter en gymnase l'après-midi, Adriana se tape les deux heures d'exercices de façon consécutive, le matin. Après son accouchement, la nouvelle maman a mis les bouchées doubles pour retrouver sa silhouette de mannequin. Profitant des siestes de son bébé, Adriana n'a ménagé aucun effort pour reprendre son rigoureux entraînement afin de perdre les kilos en trop. En y mettant toute la gomme, elle a gagné son pari assez rapidement, même si au début elle était frustrée de ne pas être capable de faire tous les exercices aussi bien et aussi vite qu'auparavant. "C'est incroyable ce qu'elle a accompli" a souligné son entraîneur, impressionné et ébahi. Olajide n'a pas eu à motiver ou à pousser sa charmante cliente, parce qu'elle est très déterminée et vaillante...


Le coach poursuit en ajoutant qu'il admire sa "combattante" pour son intensité au travail et pour sa passion pour son programme d'entraînement. Elle veut toujours apprendre de nouveaux trucs et se surpasser. Ce que Olajide aime le plus à propos d'Adriana, c'est que, face aux difficultés ou lorsque ça ne va pas comme elle le veut, elle redouble d'ardeur au lieu d'abandonner comme beaucoup d'autres le font, malheureusement. C'est à ce trait de caractère que l'on reconnaît une championne ou les gens qui sortent de l'ordinaire. Une championne au gym comme au palmarès des mannequins les mieux payés sur la planète, où la belle aux origines suisses, indiennes et brésiliennes se classe dans le top 5, avec des revenus de 7,5 millions de dollars l'an passé.


Pourquoi avoir choisi la boxe ?, lui demande-t-on parfois. Il y a des sports moins difficiles non ?, même si la principale intéressée ne va pas jusqu'à boxer pour de vrai dans un ring, contre de véritables adversaires ! Adriana répond que cette discipline convient à son caractère de "battante" et qu'elle l'aide à rester en santé, en forme et en beauté. C'est surtout très bon pour l'apparence de sa peau et la souplesse de son corps, prétend-t-elle. En un mot : la boxe la rend plus belle ! Et si son coach Olajide admire ses qualités tant physiques que morales, son élève douée lui retourne bien l'ascenseur. Elle vante ses compétences et son professionnalisme en plus de se dire impressionnée par sa personnalité remarquable.


Lorsqu'on la questionne sur son style vestimentaire en dehors des studios et des shows de mode, celle qui a épousé le pro du basketball Marko Jaric, il y a trois ans, répond que tout commence avec la lingerie. Pour se sentir confiante, confortable et sexy, Adriana aime porter les sous-vêtements de Victoria's Secret parce qu'ils enrobent bien sa silhouette en épousant ses formes. Pour les tenues de soirée, la mère de la petite Valentina s'inspire du style classique et sexy de l'une de ses idoles, la star de cinéma Sophia Loren. Ce qu'elle déteste ? Les robes qui n'ont qu'une épaule ou une seule bretelle. Peu importe la robe, direz-vous, Adriana la fera toujours bien paraître...


Pour en savoir davantage sur Adriana Lima, vous pouvez consulter l'autre article que j'ai écrit à son sujet sur mon blog PROFESSION : FEMME DE PRO DU SPORT (http://professionfemmedeprodusport.blogspot.com). Dans le montage audio-visuel qui suit, j'ai choisi une chanson de Jesse McCartney intitulée BODY LANGUAGE. Les paroles font justement référence au fait que notre super mannequin vedette parle plusieurs langues et s'exprime comme personne d'autre, avec son langage corporel exquis !


LE TOP-10 DES CHEERLEADERS DE NOËL DANS LA NFL ! Elles sont belles à croquer les cheerleaders de la Ligue Nationale de Football (NFL).  Et e...