vendredi 31 juillet 2015

VAGUE DE CHALEUR ET...DE JOLIES FILLES PRESQUE NUES SUR LES PLAGES !


Cette année, l'inde en a particulièrement souffert...  Il y a deux ans c'était l'Afrique du Nord qui devait l'endurer.  Puis ce fut au tour des États-Unis d'être touchés.  À ce temps-ci de l'année, la canicule ou les vagues de chaleur accablantes, finissent par affecter des gens un peu partout sur la planète.  Et avec le phénomène du réchauffement climatique, nous ne sommes pas prêts d'y échapper dans le futur.  

Dans plusieurs villes autour du globe les températures peuvent atteindre jusqu'à 106 ° F (40 ° C) et le fort taux d'humidité empire encore plus la chaleur ressentie. Les morts attribuables à la canicule se comptent par dizaines, voire des centaines, dans certaines régions.  Les gens, incommodées par la chaleur extrême, vont au cinéma, dans les musées, dans les centres d'achat climatisés ou empruntent plusieurs fois le métro, pour trouver un peu de fraîcheur.

L'autre moyen pour fuir la "fournaise" des grandes villes, où on peut faire cuire un oeuf sur l'asphalte des stationnements ou sur la tôle brûlante des voitures, c'est de courir à la plage et s'immerger sous l'eau. Les parcs où il y a des fontaines ou des jets d'eau sont aussi fort populaires.


Comme si cette situation, qui perdure souvent de façon inhabituelle, n'était pas suffisante, la chaleur très humide rencontre parfois des masses d'air plus froid, ce qui, à certains endroits, provoque des tempêtes de vent ou des orages courts, mais violents. Résultats ? Des arbres ou des branches cassés touchent des fils électriques, ce qui cause des pannes de courant, et bien d'autres ennuis. Sans électricité, pas moyen de faire fonctionner l'air climatisé pour combattre la vague de chaleur.

Les personnes qui travaillent dehors, ou dans des endroits déjà chauds d'avance, comme les boulangeries, sont parfois à la limite de l'évanouissement.  D'autres se procurent des cubes de glace, et font fonctionner un ventilateur derrière, pour se rafraîchir. 


Mais il n'y a pas que des désagréments causés par de telles canicules.  Les badauds qui fréquentent les plages peuvent en effet se rincer l'oeil, avec toutes ces jolies filles en bikini, qui, avec leurs courbes superbes, changent diamétralement la topographie de ces lieux...normalement plats !  Mais attention messieurs, à trop regarder ces beautés presque nues, vous risquez d'être frappés par un coup de chaleur d'un autre genre, ou...par votre conjointe, si elle vous accompagne sur la plage ! 

Hum... Ne nous laissons pas emporter ! Les créatures de rêve sont de moins en moins nombreuses sur ces étendues de sable chaud.  Par exemple, aux USA, l'obésité et le diabète de type 2 font de plus en plus de ravages. Ce sont des montagnes de graisse et de cellulite qui envahissent plutôt les berges des lacs ou le bord des océans.



Après la création du bikini en 1946, par l'ingénieur français Louis Réard, (voir à ce sujet mon blogue BIKINI AND POM POM GIRLS -www.bikiniandpompomgirls.blogspot.ca-) ces minuscules costumes de bain ne furent pas adoptés par tout le monde. Bien au contraire ! La religion et les bonnes moeurs de l'époque condamnaient ou restreignaient son usage. À la fin des années 1940, seules les femmes appartenant à la classe supérieure de la société, le portaient parfois. Il était alors inconvenant, voire scandaleux, de dévoiler autant son corps, surtout...le nombril !



Plus tard, dans les années 1950 et 1960, certains esthètes ont fait campagne pour que le bikini soit réservé uniquement aux femmes possédant une belle silhouette (les Belles à Croquer, quoi !).

De nos jours, la promotion d'un tel idéal serait impossible. Le bikini est devenu, dès les années '60, un symbole de la libération de la femme. Sa popularité se constate dans le chiffre des ventes qui atteint plus de 820 millions de dollars par année... Sans compter le surplus de crème à bronzer nécessaire pour protéger toute cette peau mise à nue, surtout quand la vague de chaleur s'abat...

Dans ce temps-là, mieux vaut faire comme Jessica (photo ci-dessus) et chercher de l'ombre pour prendre une petite douche d'eau froide... 

lundi 15 décembre 2014

ANGELINA JOLIE : LE PLUS GROS TROPHÉE DE CHASSE DES PAPARAZZI.


«Everybody is a star
I can feel it when you shine on me
I love you for who you are
Not the one you feel you need to be».

Cet extrait d’une vieille chanson de Sly and the family Stone me revient parfois en tête quand je vois toutes ces personnes autour de moi se prendre en « selfie » à tout moment, pour accompagner souvent les brefs messages de 140 mots et moins qu'elles envoient à leurs parents et amis sur Twitter.  Comme si tout ce beau monde avait besoin de communiquer et de partager immédiatement la moindre expérience qui leur arrive.  Devenus esclaves ou dépendants des réseaux sociaux et des nouvelles technologies, ces individus inventent même des occasions, à partir de rien, pour se faire voir, seulement pour rappeler à tout le monde qu'ils existent et qu'ils sont à tel endroit, avec telles gens, en train de faire n'importe quoi.  Ce désir et ce besoin assez vaniteux d’être vus, suivis et appréciés par le plus grand nombre de personnes possibles, fait penser aux comportements des stars et des célébrités qui occupent en permanence nos écrans de télé ou ceux de nos multiples gadgets électroniques.

Ces images de vedettes ou de personnes renommées sont attribuables à leur initiative personnelle, ou elles proviennent des photographes officiels qui ont assistés à leurs spectacles, ou à des événements auxquels elles ont participé.  Ces clichés ou vidéos qui font parfois la manchette aux nouvelles télévisées ou dans les journaux à potins peuvent aussi être crédités à ces curieuses « bibittes » que sont les paparazzi.  Les célébrités entretiennent toutes sortes de relations avec ces chasseurs d'images.  Pour certaines vedettes, ce sont des calamités ambulantes, des vautours, des plaies d’Égypte qui les harcèlent sans cesse et qui ne respectent pas leur droit à une vie privée légitime.  Pour d'autres, surtout en début de carrière, ces as de la photo sont, au contraire, les bienvenus, pour les aider à obtenir cette visibilité essentielle à la promotion de leurs projets, à la vente de leurs productions artistiques ou économiques, ou tout simplement pour créer l'image qu'elles veulent projeter d'elles-mêmes auprès d'un public qu'elles cherchent à agrandir continuellement.


C'est ainsi que les paparazzi se feront tour à tour, tantôt complices, tantôt espions et cascadeurs pour arriver à leurs fins : monnayer pour le montant le plus élevé possible les images qu'ils réussissent à capturer avec leurs appareils.  Ce sont les lois du libre marché qui détermineront la valeur de leurs photos.  Évidemment, plus la photographie sera exclusive, rare, et mettant en vedette une personnalité populaire et recherchée, plus ils pourront en obtenir un bon prix de la part de l'acheteur et du diffuseur.  Pour ces «chasseurs de tête » modernes, il existe une liste d'individus, classés « A +», qui valent particulièrement leur pesant d’or.  Par exemple, les membres de la famille royale de Grande-Bretagne, sont souvent des cibles de choix pour les paparazzi, surtout quand ils ont la chance extraordinaire de croquer le portrait d’un prince Harry flambant nu et ivre, qui anime une fête endiablée, ou encore une Kate Middleton « top less » qui s’enduit de lotion à bronzer durant ses vacances avec le prince William, en France.  C'est facile de comprendre que la reine Elizabeth II et son entourage détestent ce genre de «lèse-majesté» qui peut rapporter $ 20 000 à son auteur.  Ce type d’incidents fâcheux rappellent aussi la tragédie qui a coûté la vie à Lady Diana, en 1997, à Paris.  L'accident de voiture, dans lequel l'ex-épouse du prince Charles a péri, a été imputé indirectement aux paparazzi qui la pourchassaient.

En haut de la liste « A » des paparazzi se trouve Angelina Jolie, dont les photos se vendent fréquemment pour plus d’un million de dollars.  On ne comprend pas bien pourquoi les clichés de cette « enfant gâtée » valent si chères, mais c’est la réalité du marché.  Madame Jolie fait partie des gens riches et célèbres qui peuvent toutefois se payer le luxe d’échapper aux paparazzi quand elle part en vacances.  En compagnie de son mari Brad Pitt elle peut s’envoler en hélicoptère sur une île du sud qui est inaccessible aux photographes.

JENNIFER  LOPEZ
Les photographies de célébrités qui font grimper le plus les enchères sont souvent celles de leur mariage ou de leur nouveau-né.  L'an passé, on a dit que Jessica Simpson a fait le tour des magazines de vedettes afin de vendre les premières photos de son bébé pour au moins $ 500 000.  Celles des jumeaux de Jennifer Lopez et de Marc Anthony ont valu six millions de dollars à leurs heureux parents, il y a quelques années.  Pour celles de leur poupon, Matthew McConaughey et Camila Alves se sont contentés de la moitié de cette fabuleuse bourse.

Kim Kardashian en est une autre qui aime bien se faire croquer le portrait.  Tellement que le marché est inondé de ses photos et que ça fait forcément baisser les prix que les paparazzi peuvent obtenir en les vendant.  Néanmoins, les photos de la star aux formes généreuses, prises pendant qu'elle se baignait en bikini, lors de sa plus récente lune de miel, ont été adjugées pour la rondelette somme de $ 100 000.  Dire qu’au commencement de sa carrière, lorsqu'elle cherchait à se faire reconnaître du public et du milieu du show business, c'est elle qui payait les paparazzi pour qu’ils la photographient un peu partout.  En son temps, Britney Spears a recouru au même stratagème.

Ironiquement, cette recherche du concours ou de la complicité des paparazzi se produit également dans le cas des « étoiles» pâlissantes ou en déclin, dans des tentatives pour réanimer leur carrière.  Ainsi, on sait que Denise Richards et Tori Spelling ont fait ce type d’arrangements avec des photographes pour être prises en photos avec leurs enfants.  Parce que les enfants... on le sait, ça fait «vendre» et ça fait parler d'elles.  Et c’est justement ce qu'elles veulent, pour qu’on ne les oublie pas.


En certaines occasions, ce sont les circonstances et les conditions entourant la prise de photos qui font qu’elles se vendent à prix d’or.  La chance et le bon « timing » sont alors au rendez-vous.  Comme pour ce paparazzo qui a rencontré par hasard Amanda Bynes (photo ci-dessus) dans un restaurant.  Celle-ci, ne voulant absolument pas être photographiée ce jour-là, s’en est prise physiquement au photographe qui la mitraillait de son appareil.  Ce dernier en a fait une vidéo et un ensemble de clichés exclusifs qu’il est parvenu à vendre pour $ 85 000.  Bynes a dû recevoir de l'aide psychiatrique, peu de temps après cette altercation.  Oui, parfois, les paparazzi harceleurs peuvent vous rendre dingues...  Parlez-en à Lindsay Lohan, dont les photos ne valent cependant plus rien...

En général, les meilleurs paparazzi réussissent à bien vivre de leur métier en accumulant des revenus annuels dans les six chiffres (plus de $ 100 000).  S'ils sont plusieurs à prendre le même cliché d’une vedette, ça leur vaut une centaine de dollars.  Mais dans le cas d’une exclusivité, la même photo peut trouver preneurs à dix fois ce prix.

Cependant, leur gagne-pain représente souvent une activité compliquée, intense, compétitive et dangereuse.  Ils se retrouvent parfois dans des poursuites en voiture, dignes des films d’action.  Ils peuvent se heurter à des agents de sécurité engagés par des célébrités qui ne veulent pas être importunées ou qui tiennent jalousement à protéger leur vie privée.  Ils doivent aussi être très bien informés des déplacements ou de l’agenda des personnalités ciblées.

Somme toute, c'est un métier difficile qui ne leur vaut pas une bonne réputation chez les artistes et le public, en général.  Mais ça n’empêche pas ces gens de se précipiter pour acheter des revues où sont exposées les photos de paparazzi montrant toutes ces vedettes dans des situations ou des positions plus ou moins heureuses; que ce soit à l'occasion de mariages, de naissances, de scandales, ou pour illustrer le résultat de leur dernière chirurgie plastique...  On est loin des anciennes croyances des Amérindiens qui refusaient de se faire prendre en photo pour ne pas se faire voler leur âme...

mardi 17 juin 2014

LES BELLES À CROQUER DE LA COUPE DU MONDE DE FOOTBALL.


La lutte pour l'obtention de la Coupe du Monde de Football s'est entamée le 12 juin dernier au Brésil.  Les grands champions seront couronnés le 13 juillet.  Jusqu'à maintenant, le tournoi présente du jeu offensif et des matchs palpitants, au grand plaisir des foules qui y assistent et des 3,6 milliards de téléspectateurs qui le regardent sur petits et grands écrans à travers le monde entier.  Cet événement monstre, qui devrait attirer 3,7 millions de visiteurs au Brésil, est d'ores et déjà celui qui aura suscité le plus de messages sur les réseaux sociaux de la planète.  Depuis un an, ce Mondial a en effet été mentionné 19 millions de fois sur ces populaires moyens de communication modernes, dans pas moins de 230 pays autour du globe.  Un fort pourcentage de ces communications ont porté sur la démesure et les coûts astronomiques de cette grande fête autour du sport numéro un au monde.  Comme pour les derniers Jeux Olympiques, le mondial est devenu une affaire de corruption, de dépenses gigantesques incontrôlées, et d'injustice sociale.


Désabusés et choqués, beaucoup de Brésiliens dénoncent le fait, par exemple, que les stades que l'on a construits dans une douzaine de villes du pays, pour recevoir cette 20e Coupe du monde, ont coûté quatre fois plus d'argent que prévu.  On estime que ce Mondial aura coûté environ 14 milliards de dollars (comparé à cinq milliards pour celui d'Afrique du Sud, en 2010) pour des retombées économiques que l'on évalue à 70 milliards de dollars.  Ce dernier chiffre est mis en doute par de nombreux Brésiliens.  Des milliers de manifestants ont protesté notamment parce que des centaines de familles brésiliennes ont été expulsées de leur domicile, qui a ensuite été démoli pour faire de la place aux infrastructures et aux édifices requis pour tenir ce 2e Mondial dans cette contrée d'Amérique du Sud.  Le premier s'était déroulé en 1950.



L'organisation de cette Coupe du Monde a été déficiente et elle a accumulé de nombreux retards au calendrier des diverses constructions qui devaient être réalisées pour que le pays soit prêt à recevoir les joueurs des 32 nations participantes, ainsi que les millions de spectateurs locaux et étrangers.  On a même craint, à un certain moment, que le Brésil subisse le même sort que la Colombie, qui, en 1986, devait accueillir le Mondial mais qui, faute de moyens financiers suffisants, avait dû céder le tournoi au Mexique.  Bien des observateurs ont souligné que ces milliards de dollars dépensés pour cet événement grandiose auraient pu être utilisés à meilleur escient afin de renflouer les systèmes d'éducation et de santé nationaux, aux prises avec un sous-financement chronique.




On a aussi pris bonne note de l'augmentation de la violence et de la criminalité, dans le sillon de l'organisation de cette méga démonstration sportive.  Ainsi, outre la prostitution qui a pris une ampleur inégalée, le nombre de vols contre les piétons a augmenté de 43% au premier semestre de 2014, par rapport à la même période l'an passé.  Les Brésiliens ont certes démontré leur mécontentement, mais leurs manifestations ont souvent été réprimées durement par les forces policières.  Ce qu'ils ont aussi dénoncé vivement...


Mais tout ça n'a pas diminué l'enthousiasme débordant des passionnés du foot.  Une fois rendus dans les stades pour célébrer la grande fête des artistes du ballon rond, les spectateurs s'en donnent à coeur joie.  Souvent, les sièges des estrades ne servent pas à grand chose puisque les supporteurs des diverses équipes passent les matchs debout à crier leurs encouragements et leurs slogans de ralliement, ou à chanter leurs refrains partisans.  Les victoires des uns sont acclamées follement, tandis que les défaites des autres provoquent larmes et déprimes.




Si la compétition est forte sur les terrains, entre les joueurs, elle l'est également dans les gradins, entre les fans.  On rivalise d'enthousiasme et d'originalité pour arborer les plus beaux costumes, les déguisements les plus frappants, les maquillages les plus audacieux.  Certains exhibitionnistes dépassent les bornes, et des filles très sexy volent la vedette, comme en font foi les photos qui accompagnent ce texte.  Les Brésiliennes, en particulier, s'imposent par leur charme et leur beauté.  D'accord, ce Mondial a pu entraîner certains problèmes sérieux, mais, jusqu'à présent, du moins, ça se passe plutôt bien, et les partisans des diverses équipes nationales peuvent fêter ensemble, en toute amitié.


C'est incroyable le degré d'attention que suscite les parties impliquant les joueurs des pays les plus puissants de ce sport.  Ainsi, en Italie, tout s'arrête quand le club national est en action.  Plus de 80% des Italiens sont rivés sur les téléviseurs pour suivre les exploits de leurs fiers compétiteurs.  Alors, des touristes nord-américains, peu adeptes du soccer, auront la surprise de se retrouver bloqués sur les routes du pays quand des camionneurs italiens abandonnent en masse leur véhicule au milieu du chemin pour aller regarder le match impliquant la sélection nationale !



Tous ces représentants des nations participantes peuvent se taquiner ou crâner au sujet du club qui sortira gagnant de cette compétition de haut niveau.  Même si pas moins de 76 équipes se sont qualifiées au cours de l'histoire de la Coupe du Monde (dont les débuts remontent à 1930, en Uruguay), seulement huit ont remporté les grands honneurs de ce tournoi chaudement disputé.  Le Brésil, le pays le plus titré du Mondial avec six championnats, a encore des prétentions pour gagner de nouveau cette année.  D'autres vainqueurs multiples comme l'Italie (quatre titres), l'Allemagne (trois) et l'Argentine (deux) ont les mêmes visées.  À moins que, comme l'Espagne, en 2010, ce soit le tour d'un autre pays à conquérir pour la première fois la suprématie du football international.


En attendant, comme toutes ces belles à croquer du Mondial, dansons sur le rythme endiablé de la chanson "We are One, Ole, Ola", interprétée par Pitbull, Jennifer Lopez et Claudia Leitte.  Ci-dessous :




jeudi 13 février 2014

LES PLUS BELLES À CROQUER, EN BIKINI, SUR LA PLAGE...

Comme l'écrivait si bien le poète Nelligan, «Ah ! comme la neige a neigé, ma vitre est un jardin de givre».  On a beau avoir connu beaucoup de durs hivers lorsque l'on habite un pays nordique, on ne s'habitue jamais à ce climat rigoureux.  Le vent glacial, le froid arctique, ce soleil si blême qui semble presque éteint, nous incitent fortement à ne pas mettre le nez dehors et à rester bien au chaud dans nos logis.  Pour se remonter le moral, bien calé dans un bon divan devant un réconfortant feu de foyer, on ferme les yeux et on s'imagine sur une plage du Sud.  Transportés par la magie du rêve, dans ces endroits paradisiaques, diamétralement à l'envers de l'hiver frigorifique, on peut presque toucher aux créatures angéliques qui se prélassent au bord des mers tropicales.

On parle ici de ces superbes femmes qui sont les déesses des plages de sable chaud.  Celles qui ont épousé ces lieux.  Celles pour qui c'est un milieu naturel, auquel elles se sont adaptés et avec lequel elles font corps.  Celles pour qui la plage est un mode de vie.  Oubliez les voyageuses occasionnelles qui fréquentent les plages lors de leurs vacances annuelles et qui ont dû faire des efforts et des sacrifices inouïs pour être capables d'entrer dans leur costume de bain...après avoir perdu au moins une demi-douzaine de kilos !  Ces tricheuses ne sont pas des "vraies de vraies" belles de plage.


Pour avoir droit à ce statut, il faut remplir plusieurs conditions bien précises et satisfaire des critères assez sévères.  Il ne s'agit pas seulement de bien paraître, il faut d'abord avoir la bonne attitude.  Ce qui distingue la belle à croquer de plage c'est son attitude relaxe, très "cool".  Elle n'est ni stressée, ni énervée, ni crispée ou "pincée".  C'est le cas de le dire, la belle de plage est très...terre à terre et se laisse bercer par les vagues de l'océan.  À la limite, elle est aventureuse et aime flirter, sans rien forcer, tout naturellement...




Et puis, bien entendu, la belle à croquer de plage a un "look" typique.  Celui dont toutes les femmes rêvent.  Contrairement à ce que l'on pourrait penser, elle n'a pas un "look" recherché.  Elle n'a pas besoin de beaucoup d'artifices pour être à son mieux.  Elle est simple, garde un profil bas et "respire" la santé.  Elle n'a pas besoin de s'afficher et d'être prétentieuse.  Elle sait incarner l'été.  Elle sait s'imprégner de sa chaleur et de sa lumière, pour resplendir au grand jour.  Malheureusement pour elles, les filles rousses ne peuvent pas facilement aspirer à devenir des belles de plage.  Leur peau et leur teint blancs comme du lait est impossible à bronzer.  Elles rougissent au soleil, puis redeviennent pâles, quelques jours après leur séjour à la plage.  Le fameux "sun tan" des belles de plage ne s'obtient pas sans faire attention à son épiderme.  Bien sûr, l'usage d'exfoliant et de crème de bronzage est requis, mais il faut savoir doser son exposition au soleil entre les séances de bronzage, les baignades et la pratique de sports de plage comme le surf, la course, ou le volley-ball.  Le sable chaud, le soleil, l'azur de la mer et du ciel conviennent mieux aux brunettes et aux blondes foncées ou châtaines.  Selon la configuration de leur visage, leurs cheveux seront légèrement bouclés, droits, en chignon ou en queue.  Le soleil ardent ne favorise que les teintes naturelles ou les mèches colorées légèrement par des teintures artificielles.  La chevelure de ces beautés reflétera la lumière en des tons chatoyants.  Il faut éviter l'abus de produits chimiques, qui sous les forts rayons de l'astre du jour, abîmeront les cheveux et les rendront secs.  




Le maquillage des belles de plage sera également très léger et à l'épreuve de l'eau.  Un peu de mascara et de baume pour les lèvres feront l'affaire. Il faut surtout éviter les couleurs éclatantes.  Les tons clairs sont préférables.  En ce qui concerne les vêtements, les tissus légers et souples, les couleurs brillantes ou le blanc, sont de bons choix.  Outre l'incontournable bikini, les robes soleil, le short, les jolies blouses, la robe courte en jeans, font partie de la garde-robe à adopter.  L'originalité et les dernières tendances de la mode distingueront avantageusement la belle de plage du reste de la gent féminine qui fréquente les bords de mer.  Si attrayante soit-elle, la belle de plage ne paraîtra pas bien si son choix de costume est déplaisant, démodé, non seyant, mal agencé ou inapproprié.  Des accessoires comme des bijoux, une casquette, un chapeau ou des lunettes de soleil permettront à la belle de plage de compléter son "look d'enfer"...  Encore là, la modération a bien meilleur goût.  Il ne faut pas exagérer.  Un joli bracelet en cuir ou en coquillages, ainsi que des boucles d'oreilles discrètes, sont suffisants.




Côté caractère, la fille de plage idéale aura un bon sens de l'humour et se sentira bien dans sa peau.  D'esprit ouvert, elle saura être sexy et attirante mais elle fréquentera surtout des amis sûrs.  Elle ne fera pas dangereusement confiance au premier inconnu qui l'abordera.  On aime des belles de plage avec des formes très féminines.  Les filles du genre "mannequin", c'est-à-dire plutôt maigrichonnes, ne se qualifient pas nécessairement pour faire partie des rangs de ces adeptes des stations balnéaires.  Il en va de même pour les femmes mal proportionnées.  Étant plutôt du genre sportive, les belles de plage ne seront généralement pas trop forte du buste ou du fessier, mais elles seront quand même bien pourvues à ce point de vue.


Ce portrait d'ensemble de la belle de plage correspond davantage à un mode de vie plus propice aux jeunes femmes qui habitent les régions chaudes et les bords de mer du globe.  C'est pas mal injuste pour celles qui ne peuvent jouir de cette situation à longueur d'année.  Mais, que voulez-vous, n'est pas belle de plage qui veut !  Dans le diaporama qui suit, vous découvrirez quelques exemples superbes de filles de plage plus sexy les unes que les autres.  Et quoi de mieux qu'une musique (paradise) du groupe ColdPlay pour rehausser encore plus la beauté de ces images fantastiques !




mardi 2 juillet 2013

JOHANNA LUNDBACK : UNE BEAUTÉ SUÉDOISE QUI SE DÉMARQUE...


Le grand poète français Charles Baudelaire s'y connaissait pas mal en la matière...  Il a écrit un jour : «L'étrangeté est le condiment nécessaire de toute beauté.»  Cette réflexion s'applique à merveille dans le cas du mannequin suédois Johanna Lundback.  J'imagine que dans l'industrie de la mode, on choisit des candidates qui peuvent certes bien apprendre le métier mais qui possèdent surtout une beauté unique.  Elle ne doit pas trop ressembler à un mannequin déjà célèbre.  Elle doit se démarquer par certaines caractéristiques tout en respectant aussi des standards bien établis.  Contrairement à ce que l'on a pu déjà lire ou entendre, la beauté n'est pas qu'une équation de nombres.  Ici, nous ne traitons pas d'architecture grecque de l'antiquité.  Les recruteurs de talent des agences de mannequins désirent de la fraîcheur, une belle silhouette, une peau impeccable, une personne resplendissante de santé, avec un peu d'exotisme et de mystère.  Un mélange d'atouts physiques et de qualités visuelles qui sort de l'ordinaire et qui produit cet effet "wow" tant recherché.  On ne recherche pas la perfection qui, de toute façon n'existe pas et serait plutôt monotone.  Un petit défaut sur le visage peut même être charmant !  On peut affirmer sans se tromper que Johanna Lundback appartient à cette catégorie de mannequins exceptionnels.

La jeune femme de 21 ans, qui habite Kalix, dans la partie septentrionale de la Suède, est franchement surprenante car elle fracasse tous les préjugés que nous pouvons avoir concernant les fameuses reines de beauté de son pays.  Johanna n'a en effet rien de la classique suédoise blonde aux yeux bleus qui nous vient spontanément à l'esprit quand nous pensons aux femmes de cette contrée nordique.  Le noir profond de ses cheveux et de ses yeux, ainsi que sa peau brune naturelle, offrent un contraste frappant par rapport à ses consoeurs suédoises.  Elle ressemble davantage à une Brésilienne.  Cette singularité et cet effet de surprise a peut-être joué en sa faveur auprès de ceux qui l'ont découverte.  Cette Suédoise "hors série" présente une beauté à la fois différente et charmante.

On ne connaît encore guère de détails au sujet de sa personnalité et de sa vie privée.  On sait qu'en 2009 elle a terminé au 4e rang parmi les candidates de son pays qui espéraient participer à la finale internationale du concours de beauté "Miss Univers".  Professionnellement, on l'a surtout vu porter des maillots de bain et de la lingerie pour Nelly.  En peu de temps, elle a créé un "buzz" dans le milieu et parmi le public qui a vu son "travail".  Son athlète préférée est nulle autre que la très jolie joueuse de tennis Maria Sharapova.  Par ses écrits très succincts sur "Twitter", on a appris qu'elle trouve ses expériences de mannequinats très excitantes surtout à cause des nombreux voyages à l'étranger que ce métier lui permet de faire.  Elle découvre avec enthousiasme les grandes capitales comme Paris, Londres, Bruxelles, et elle est même allée en Inde dernièrement pour un "shooting" photos.  Mais elle aime aussi revenir chez elle quand elle est partie depuis trop longtemps à son goût.  Chose certaine, on n'a pas fini de la voir et d'en apprendre sur son compte !  À suivre absolument !        

lundi 3 décembre 2012

CE QUI FAIT LA FIERTÉ DE KATY PERRY.


Jamais dans l'histoire de la musique pop une artiste n'a connu un début de carrière aussi formidable.  Avec son second album, elle s'est même offert le record de Michael Jackson (Thriller) en plaçant six chansons en première position du palmarès Billboard.  En plus de lui décerner des trophées pour récompenser son travail, l'industrie du show business lui rend déjà hommage.  Des hommages que l'on rend normalement à des artistes bien plus âgés.  Dans les sondages grand public ou dans les classements des magazines pour hommes, elle n'est pas loin non plus des premiers rangs au palmarès des femmes les plus belles et les plus sexy de la planète.  Mais ce n'est pas cette gloire, aussi immense et fulgurante soit-elle, qui rend le plus fière la princesse du pop Katy Perry.

Âgée seulement de 28 ans, la super star au look flamboyant, née à Santa Barbara, a déjà atteint le but qu'elle s'était fixé à l'aube de la vingtaine en se lançant à la conquête de Los Angeles, après avoir abandonné l'école quatre ans plus tôt.  La jeune Katy avait confié à ses parents qu'elle désirait faire quelque chose de spécial de sa vie, en suivant un chemin à nul autre pareil.  Qu'elle ait réalisé son rêve aussi rapidement témoigne de sa grande ténacité, d'une vision fantastique, d'un pouvoir de persuasion énorme et d'un talent exceptionnel ancré dans une imagination fertile et un don hors de l'ordinaire pour la création.


Évidemment, son physique avantageux, qu'elle sait mettre en valeur, a été également un atout important dans sa vie professionnelle, mais toutes ses qualités ne lui ont pas facilement ouvert les portes de ces grandes compagnies de disques qui ont les moyens et les ressources pour créer de toutes pièces une super vedette.  En fait, malgré son audace et son potentiel artistique certain, Perry s'est heurtée à des portes closes, à des refus dédaigneux ou elle a dû accepter des propositions décevantes lorsqu'elle a tenté de décrocher ses premiers contrats dans l'industrie de la musique.  À sa place, bien d'autres aspirants-artistes auraient lancé la serviette et renoncé à leur rêve.  Elle a plutôt redoublé d'efforts en retournant sur le terrain et en chantant partout où un public voulait bien l'entendre, que ce soit dans des bars ou des hôtels.  En espérant, bien sûr, que des personnes influentes du monde du spectacle soient dans l'assistance, par hasard ou par curiosité, afin qu'elles découvrent son talent.

Parfois, si vous ne pouvez convaincre les puissants décideurs des grosses compagnies de vous accorder une chance, il se peut que vous ayez réussi à impressionner tout de même des gens de leur entourage.  Ce fut le cas de Angelica Cob-Baehler, une ex-directrice de la publicité chez Columbia, qui, un bon jour, persuade son patron, Jason Flom, de EMI's Capital Records, d'écouter des enregistrements de Katy Perry.  On est en 2007.  Les dirigeants de EMI décident de faire confiance à cette jeune chanteuse qui semble avoir du cran et qui démontre une foi inébranlable en ce qu'elle peut accomplir.  Ce sera la meilleure décision de l'histoire récente de l'entreprise.  Perry deviendra le porte-étendard et le fer de lance de EMI.  En peu de temps, EMI produit le premier vrai album (ONE OF THE BOYS) de sa jolie recrue.  Il connaît rapidement le succès (près de quatre millions de copies vendues) grâce à des tubes dynamiques ("I Kissed a Girl", "Hot N' Cold", "Waking Up in Vegas").  Les débuts sont donc plus que prometteurs, mais on a encore rien vu...


En 2010, avec son nouvel album "Teenage Dream", Katy Perry se hisse à des sommets jamais atteints par une chanteuse populaire.  Son succès et sa popularité explosent.  On l'entend et on la voit partout.  En une année, ses spectacles, ainsi que ses ventes de chansons et de disques génèrent 44 millions de dollars de revenus.  Ses nominations se multiplient aux différents galas de l'industrie du spectacle et de la musique.  Un milliard de visiteurs ont vu ses vidéos sur You Tube.  C'est une des artistes qui "draine" le plus d'admirateurs sur les réseaux sociaux.  Ses entreprises commerciales (ligne de parfums, cosmétiques et produits de beauté) sont florissantes.  Mais elle refuse de se laisser avaler par ce succès-monstre.  Elle garde les pieds sur terre et ne joue pas à la diva, comme le font bien des étoiles moins brillantes qu'elle.  Elle n'est pas du genre à se faire attendre à ses rendez-vous.  Elle se pointe au travail, un peu comme n'importe laquelle ouvrière, sans faire de chichi et sans gardes du corps !  Elle respecte ses engagements.  Elle est exigeante mais pas "chiante".  Bref, dans la vie quotidienne, loin des feux de la rampe, c'est une jeune femme "normale".  C'est ce qui fait le plus sa fierté.  Cette humilité contraste incroyablement avec sa présence scénique, qui ressemble plus à un feu d'artifices avec ces décors hauts en couleurs, ces effets spéciaux extravagants, les costumes étincelants de fille-bonbon de la colorée chanteuse ainsi que ses cheveux aux teintes surprenantes !

Pour se prémunir des affres du monde fou du show business, Katy ne sort pas beaucoup dans les endroits huppés fréquentés par les autres vedettes.  Elle a gardé les mêmes ami(e)s qui l'accompagnaient lorsqu'elle a décidé de se rendre à Los Angeles pour se faire connaître et réaliser ses rêves d'artiste.  Elle se préoccupe peu des paparazzis et de la presse à potins.  Elle adopte une attitude "zen" face à la jalousie et à la méchanceté qui caractérisent une partie du milieu artistique de Hollywood.  Sa philosophie, c'est que le temps se charge de vite reléguer dans l'oubli les cancans, les mensonges et les attaques personnelles à son sujet ou au sujet des membres de sa famille.  Katy n'a pas de temps à perdre à répondre à ces médisances qui ne valent pas la peine qu'on s'en occupe.


Autant que possible, Katy Perry tient à préserver sa vie privée.  C'est ainsi que, malgré les nombreuses spéculations des chroniqueurs des médias ou des commentateurs sur les réseaux sociaux, elle ne s'est pas étendu sur les raisons de son divorce (en juillet 2011) d'avec l'acteur anglais Russell Brand.  Elle-même prend bien garde de ne pas se prononcer sur les relations de couple des autres vedettes de la colonie artistique.  «Personne ne sait réellement ce qui se passe (dans ce genre d'histoires) exceptées les deux personnes concernées» se contentera-t-elle d'indiquer.  Ce que l'on sait cependant, c'est que le naufrage de son court mariage lui a fait énormément de chagrin.  Dans le film PART OF ME qui a paru sur les écrans de cinéma l'été dernier, et qui comporte des éléments documentaires et biographiques sur Katy Perry, on peut apercevoir la chanteuse pleurant en arrière-scène durant sa tournée de spectacles de l'an passé.  Ces larmes et ce désarroi apparent correspondent justement à la période du divorce.  Dans PART OF ME elle explique qu'elle a dû se faire violence et se ressaisir malgré sa grande peine d'amour.  Katy a réalisé que ses problèmes personnels ne devaient pas affecter ses performances sur scène.  Les spectateurs qui remplissaient ses salles n'avaient pas payé pour voir et entendre une chanteuse triste et déprimée offrir un show qui ne répondait pas à leurs attentes.  "The show must go on", comme on dit dans le métier...  Mais il paraît que son ex-conjoint, Russell Brand, a protesté parce qu'il estimait qu'il passait pour le méchant dans ce passage du film montrant la jolie Katy en pleurs.

Perry misait beaucoup sur PART OF ME pour accroître encore davantage sa popularité, un peu comme Justin Bieber l'avait fait en 2011 avec le film en 3D intitulé NEVER SAY NEVER.  Mais alors que ce portrait du célèbre jeune chanteur canadien a rapporté des recettes de près de 100 millions de dollars, PART OF ME n'a pu faire mieux que des revenus aux guichets d'un peu plus de 25 millions de dollars.  Les deux productions cinématographiques ont nécessité un investissement semblable, soit environ 12 ou 13 millions de dollars.  Perry croyait tellement à ce projet qu'elle y a contribué à la hauteur de deux millions de dollars de son propre portefeuille.  Vus les résultats, par rapport aux attentes, PART OF ME peut être qualifié de demi-succès ou de déception.  Généralement, Katy a un bon flair en ce qui concerne ses projets artistiques.  Elle connaît bien son public et elle sait instinctivement ce qui peut lui plaire.  Ses fantasmes artistiques coûtent cher à réaliser, et ils effraient souvent son gérant et les producteurs qui travaillent chez EMI.  Par exemple, son numéro présenté aux Much Music Awards (ci-dessous) le 17 juin dernier, a coûté $ 200 000.  Mais jusqu'ici, ce genre d'extravagance a rapporté de gros bénéfices en faisant toujours avancer la carrière de cette audacieuse "show girl" dont l'arbre généalogique comprend des racines portugaises. Malgré leurs craintes en ce qui a trait à l'ampleur des moyens qu'ils déploient pour satisfaire les créations de Perry, les producteurs qui oeuvrent chez EMI ont appris à ne jamais parier contre les idées "flyées" de leur protégée.  Katy estime personnellement qu'elle est "efficace" dans l'art de concevoir de bons numéros ou de belles mises en scène.


Il va sans dire que même si votre cote de popularité est à son zénith, vous ne pouvez pas plaire à tout le monde.  Il y a des gens qui ne comprennent pas ou n'acceptent pas que cette jeune femme, qui a pourtant grandi dans une église, à cause de ses parents qui sont tous les deux des pasteurs du mouvement religieux "Born Again Christians", soit aussi sexy et écrive des chansons dont certaines paroles sont particulièrement osées et provocantes.  On montre aussi du doigt certaines images de ses vidéos clips, les pochettes de ses albums et quelques affiches sur lesquelles Perry est presque complètement nue.  Quand on lui fait part de ces critiques, la "California gurl" répond par un clin d'oeil coquin et un sourire entendu.  Elle est loin d'être la première ou la dernière à se forger une image de femme sexy.  Déjà dans les années 1940 ou 1950, on accusait certaines chanteuses américaines d'être obscènes parce qu'elles montraient un peu trop leurs jambes.  Perry n'est pas plus indécente que Britney Spears, Miley Cyrus ou autres Beyoncé...


Les parents de Katy Perry ne sont certainement pas d'accord avec tout ce que dit ou fait leur célèbre fille, mais ils l'aiment comme ils aiment leurs autres enfants.  Il y a des gens qui pensent que l'interprète de la chanson I KISSED A GIRL est devenue une mauvaise fille ou une dévergondée en réaction contre l'éducation trop stricte ou trop sévère imposée par ses parents religieux.  Cela ne fut absolument pas le cas, jure Perry.  Elle n'est certes pas une fervente catholique pratiquante mais elle a conservé une base spirituelle et une foi en Jésus, comme l'atteste le tatouage situé sous son poignet gauche.  Si Katy prie régulièrement, c'est pour demeurer humble et honnête.  La faveur qu'elle demande à Dieu, c'est de ne pas basculer dans la vanité du monde artificiel et superficiel du faux paradis hollywoodien.  Perry n'oublie pas non plus que c'est en chantant dans une église qu'elle a découvert sa voix, alors qu'elle n'était encore qu'une adolescente.  À 16 ans, elle a même fait un album "gospel", mais il n'a pas retenu l'attention du public.  Quatre années plus tard, les Disques Columbia vont la jumeler avec THE MATRIX, l'équipe d'auteurs-compositeurs qui a notamment écrit et mis en musique des tubes comme "Complicated" et "Sk8ter Boi" pour Avril Lavigne.  En résultera un album, sous le nom de THE MATRIX, qui restera sur les tablettes avant de sortir sur le marché en 2009, après que Perry soit devenue une star.

Les années qui ont précédé la mise en orbite de la fabuleuse carrière de Katy Perry ont été difficiles.  Avant de se tailler une place dans le monde du show business, elle avait accumulé pas mal de dettes envers sa famille et envers son premier gérant, Bradford Cobb, un homme affable et gentil, natif du Mississipi, qui croyait beaucoup en elle.  Il est venu souvent au secours de sa protégée en signant des chèques pour payer un mois de loyer en retard ou effectuer un paiement pour éviter qu'elle se fasse saisir sa Volkswagen Jetta noire.  À un moment donné, Katy devait $ 20 000 à son mentor.


Cobb avait vu juste.  Katy Perry était un diamant brut qui n'avait besoin que d'un peu de taillage et de polissage pour révéler toute sa valeur.  Si certains gros bonnets de l'industrie de la musique ont d'abord refusé de l'aider parce qu'elle n'avait rien prouvé et parce qu'ils n'aimaient pas son approche directe et son franc parler, les professionnels qui ont ensuite travaillé avec Katy ont apprécié son caractère passionné et sa volonté de bien faire les choses.  Son souci du détail, ses remarques et ses suggestions judicieuses, sa fiabilité et sa ponctualité, et le don qu'elle a de trouver toujours la meilleure solution à un problème donné, font de cette jeune femme intelligente une perle rare pour le travail en studio.  Que ce soit pour des enregistrements, des numéros devant public ou le tournage de vidéos, les gens de l'entourage de Katy Perry savent qu'elle aura préalablement fait ses devoirs et qu'elle sera prête à donner le meilleur d'elle-même.  Elle sera en forme et bien éveillée contrairement à certaines autres vedettes qui ont la fâcheuse habitude de se présenter au travail en retard et mal en point, après avoir trop traîné dans les clubs de nuit.

Même si elle a été écorchée par un divorce éprouvant, Katy Perry croit toujours en l'amour et au mariage.  Elle fréquente présentement John Mayer et compte bien faire vie commune avec lui.  La chanteuse, qui nourrit aussi un amour obsessif pour la race féline, prépare également un nouvel album qui devrait sortir l'été prochain.  Il sera intéressant de découvrir quelle orientation elle donnera à ce matériel tout frais.  Poursuivra-t-elle dans la même veine "sucrée" qui a fait son succès ?  Ou bien nous surprendra-t-elle en empruntant une voie insoupçonnée ?  Peu importe où son imagination fertile et son heureuse inspiration la guideront, bien téméraires seraient ceux qui oseraient parier contre elle !

mercredi 18 juillet 2012

IL Y A 50 ANS, DANS SON FAMEUX BIKINI BLANC, URSULA ANDRESS SORTAIT DE LA MER POUR ENTRER DANS L'HISTOIRE.


Il faut se replacer dans le contexte de l'époque pour saisir toute l'ampleur du choc causé par cette célèbre scène cinématographique, une des plus marquantes et des plus "sexy" de l'histoire du 7e art. Cet extrait du premier film de la série des James Bond (James Bond contre Dr No, 1962) ressemble à un rêve nimbé de beauté, de grâce et de poésie, et, d'après des sondages, il demeure le plus mémorable de tous les films d'espionnage et d'action créés à partir de l'oeuvre de l'écrivain britannique Ian Fleming. Il y a 50 ans, au son d'un calypso envoûtant, dans le décor enchanteur de la plage Laughing Waters, au nord de la Jamaïque, une nouvelle actrice, belle comme une déesse, la Suissesse Ursula Andress, sortait de la mer des Caraïbes, en tenant des coquillages dans ses mains. Ces "sculptures maritimes" s'harmonisaient parfaitement avec le bikini blanc super sexy porté par cette beauté au corps ruisselant, paré de perles de soleil.

Cette apparition, ce moment de grâce, ce personnage de Honey Ryder (une plongeuse qui recueille des coquillages), habiteront les rêves torrides des hommes des années '60. Cette scène déterminera aussi la suite de la vie et de la carrière de cette séduisante débutante, issue d'une famille protestante d'origine allemande. Peu habitués à voir sur grand écran, et dans toute sa splendeur, une telle beauté si légèrement vêtue, les cinéphiles anglais seront très impressionnés et ils feront preuve d'humour en donnant le surnom de "Ursula Undress" à la nouvelle "pin up". À noter que la voix du personnage de Honey Ryder, dans James Bond contre Dr No, était doublée par Nikki van der Zyl, car au début de la carrière cinématographique de mademoiselle Andress, son anglais était imparfait et elle avait un fort accent allemand. Et dans cette scène si célèbre, lorsqu'elle entonne une chanson, sur la plage, c'est la voix de Diana Coupland que l'on entend, en réalité. Autre supercherie, le bronzage, qui rehausse encore davantage la beauté du corps de l'actrice suisse, a été amplifié artificiellement par les techniciens du film.

Comme Marilyn Monroe, dans la décennie 1940, et, plus tard Brigitte Bardot, Raquel Welch et Gina Lollobrigida; Ursula Andress deviendra un sexe symbole, une ensorceleuse de la gent masculine. Son succès fulgurant arrive presque en même temps que l'émancipation de la femme et la révolution sexuelle qui l'accompagne. La façon spectaculaire avec laquelle cette ravissante Bernoise mettra en valeur cet épatant bikini blanc, (qu'elle aurait dessiné elle-même et qui s'est vendu pour $ 59 755 aux enchères, en 2001), aidera à populariser ces minuscules costumes de bain, tout en ébranlant quelques tabous imposés par la religion et les "bonnes moeurs" de l'époque. Jugé indécent après sa création en 1946, par l'ingénieur français Louis Réard, le bikini n'était guère en vogue avant que la puissance de l'imagerie cinématographique contribue à changer les choses, dans les sociétés les plus évoluées des pays occidentaux. Mais, dans le fond, ce mouvement populaire n'était que le prolongement de l'immense soif de liberté qui s'est manifestée après la fin de la Seconde Guerre Mondiale.



Comme toutes les grandes vedettes et tous les "monstres sacrés" qui sont entrés dans la légende, Ursula Andress baigne encore aujourd'hui, à 76 ans, dans une aura où il est parfois ardu de distinguer le vrai du faux, et de séparer les rumeurs des faits historiques. Disant ne jamais cesser de s'étonner de la chance extraordinaire qui a fait d'elle une femme comblée par une vie passionnante, enrichie d'expériences captivantes et de rencontres avec des personnes exceptionnelles, l'ancienne actrice, retraitée depuis longtemps, préfère maintenant demeurer loin des objectifs de caméras afin que le public garde en mémoire de belles images et de bons souvenirs d'elle. Parce qu'elle a toujours soigné son apparence et qu'elle a eu recours à la chirurgie plastique, Ursula a pu conserver sa beauté légendaire jusqu'à un âge avancé. Mais lorsqu'elle regarde les photographies qui témoignent de sa jeunesse, l'inimitable ex-Bond Girl fait remarquer, avec humour, qu'en ce temps-là, se faire belle était beaucoup plus facile et rapide que ce l'est aujourd'hui, dans sa vieillesse !

Ces dernières années, ses apparitions publiques se sont surtout limitées aux interventions qu'elle a faites pour sensibiliser la population à l'ostéoporose, une maladie insidieuse dont elle est atteinte. Elle redoute de perdre sa santé car elle a toujours été une femme active : «Je serais misérable si je devais rester au lit. Je serais embarrassée et insupportable si quelqu'un devait avoir soin de moi. Si je ne peux être active, je veux partir...»

Le cinéma, c'est bien fini pour elle, sauf, peut-être, si on lui offrait un rôle dans un film sur l'art... De nos jours, déplore-t-elle, il y a trop de violence et d'effets spéciaux sur les grands écrans. Produire de bons films, ça coûte beaucoup trop cher. Autrefois, on pouvait faire des films d'action remplis d'aventures, avec juste ce qu'il fallait comme effets spéciaux. On mettait l'accent sur des intrigues pas trop compliquées mais qui se tenaient bien.

Toute sa vie, Andress a gardé le culte du beau. Elle a d'ailleurs étudié la peinture, la sculpture et la danse, à Paris. C'est encore une collectionneuse très passionnée. Elle adore faire le tour des antiquaires et des marchés aux puces, partout où elle va. C'est son passe-temps favori. Elle achète des meubles antiques, des tapis, des peintures, des cadres, de la poterie, de la porcelaine, des boiseries, etc. «Mon chez moi c'est le monde. Je vis un peu en Espagne, aux États-Unis, en Italie et en Suisse, et je collectionne des objets partout sur la planète - Shanghai, dans les Andes, Kuala Lumpur, Hongrie, Roumanie.» Ses nombreux séjours à l'étranger lui ont permis d'apprendre à parler couramment l'anglais, le français, et l'italien.

Si Ursula n'avait pas fait une carrière d'actrice, elle aurait été décoratrice ou designer d'intérieur. Elle possède tellement de pièces de collection qu'elle doit les remiser dans des entrepôts. Que des voleurs ne s'avisent pas de lui subtiliser des parties de son trésor. Quelques-uns l'ont déjà fait, et elle les a poursuivis pendant des mois, jusqu'à ce qu'elle les retrouve ! Une aventure digne de...James Bond !



Ursula Andress ne s'est jamais prise pour une grande actrice, même après avoir gagné un Golden Globe en 1964. Le cinéma ne représentait pas son principal point d'intérêt dans la vie. C'était davantage un moyen pour s'offrir la vie dont elle rêvait depuis toujours : voyager partout autour du monde, connaître un grand éventail de cultures authentiques, en vivant parmi les communautés locales. «Aujourd'hui, le monde est devenu si petit. C'est si triste que tout devienne pareil, que les traditions et les cultures différentes disparaissent.» Le Londres qu'elle a connu et aimé, dans les années '60, n'existe plus. «J'ai bien apprécié Londres dans les années '60. Tout y était plaisant. C'était une ville heureuse, une ville anglaise. Mais maintenant il n'y a plus d'Anglais dans Londres», s'exclame-t-elle, dépitée... Parce que les humains détruisent la nature et ne font pas attention à leur environnement, Ursula n'est guère optimiste pour l'avenir.

Fille d'un diplomate allemand, qui a été expulsé de la Suisse et qui a disparu durant la Deuxième Guerre Mondiale, Ursula a vécu une partie de son enfance sur la ferme de son grand-père, un homme austère et autoritaire. Enfant très timide, elle rêvait de liberté. Dès sa pré-adolescence, elle se rendait compte du pouvoir d'attraction qu'elle exerçait sur les garçons quand elle se rendait à la piscine publique ! Plus tard, à 17 ans, après être retournée dans le canton de Berne, là où elle est née, Andress séduit l'acteur français Daniel Gélin, venu tourner, dans les parages, L'Affaire Maurizius, du réalisateur Julien Duvivier. Celui-ci, accompagné de son équipe, avait fait du repérage à l'école que fréquentait Ursula. Cette dernière avait d'ailleurs servi de guide à la troupe d'acteurs et d'actrices du long métrage. Gélin tombe amoureux d'elle et l'entraîne ensuite avec lui à Paris. Elle le suivra aussi à Rome, où il sombrera bientôt dans la toxicomanie, ce qui brisera sa relation avec Ursula.



Après avoir tenu quelques rôles "accessoires" dans de petits films italiens, Ursula rencontre Marlon Brando et elle a une aventure passagère avec lui. L'acteur américain l'encourage à tenter sa chance à Hollywood. Ce qu'elle fera, mais sans grande conviction. Que ce soit pour apprendre les rudiments du métier ou la langue anglaise, Andress n'y met pas tous les efforts qu'il faudrait. De nature volage, bohème et aventureuse, cette brunette à la beauté insolente s'intéresse plus aux acteurs qu'à ce qu'ils font. Elle flirtera avec James Dean avant de succomber aux charmes de John Derek, qu'elle épousera à Las Vegas, en 1957. Le couple divorcera en 1966 et Ursula vivra ensuite une multitude d'aventures amoureuses avec d'autres acteurs (dont une relation assez tumultueuse avec Jean-Paul Belmondo). Andress expliquera ce besoin constant de changer de pays et d'amants, par son caractère assez bouillant de gitane. Cette facette de sa personnalité contraste étrangement avec le manque d'expressivité et le style plutôt "glacial" ou "distant" de son jeu d'actrice. Loin des plateaux de tournage, c'est une nomade curieuse, à la recherche du changement et de nouveaux horizons. Cette "bombe sexuelle", mesurant 1 mètre 65 (5 pieds, cinq pouces), a la bougeotte, et elle mourrait d'ennui si on la condamnait à faire du "sur place".

Cinq ans après le mariage d'Ursula, et deux semaines avant le début du tournage du film James Bond contre Dr No, les producteurs n'ont toujours pas trouvé l'actrice qui jouera le personnage de Honey Ryder. Ils tombent par hasard sur une photo appartenant à John Derek et qui, selon la légende, montrait sa femme, Ursula Andress, très légèrement vêtue, dans un concours de t-shirts mouillés ! Les directeurs du film lui offre le rôle de Honey Ryder sans même l'avoir rencontrée ! La jolie jeune suissesse hésite avant d'accepter. Enthousiasmé par la qualité du scénario de ce premier James Bond, son ami Kirk Douglas la convainc de saisir cette belle opportunité, qui lui rapportera $ 10 000 et...une célébrité instantanée ! Elle devient alors rapidement la femme la plus désirable et la plus photographiée au monde. Du coup, elle met la barre très haute pour toutes les autres Bond Girls qui vont lui succéder, sans jamais la surpasser, dans le coeur des cinéphiles britanniques. En 1965, elle pose nue pour la revue PLAYBOY, au grand plaisir de ses nombreux admirateurs ! Quand on lui demande pourquoi elle a osé faire ça, elle répond tout simplement : «C'est parce que je suis belle»...



Ursula Andress a toujours su que, si on lui avait confié des rôles au cinéma, c'était en raison de ses attributs physiques. Après son expérience avec PLAYBOY, ce sera encore plus flagrant. Ils seront rares les films où on n'exigera pas qu'elle joue au moins une scène de nudité. Ursula acceptera cette situation sans se plaindre, consciente qu'elle est devenue un sexe symbole, et que ce statut la cantonne dans des rôles reliés à sa réputation. Il faut spécifier qu'elle-même ne s'estimait pas assez solide ou compétente pour jouer de grands rôles : «J'ai choisi de faire des films légers et drôles ou des films d'action, à l'exclusion de films dramatiques et psychologiques, par pudeur, par peur, par manque de confiance.» (...) «M'engager tout entière dans un film où il faudrait que j'apporte des sentiments personnels, une partie de mon âme, cela me fait peur.» Andress a parfois rompu des engagements avec des maisons de production (entre autres, Paramount) quand on a voulu faire d'elle quelqu'un qu'elle n'était pas...

Finalement, son rôle le plus important sera celui de mère. À partir des années '80, après la naissance de son fils unique (Dimitri, dont le père est l'acteur Harry Hamlin) Andress délaissera progressivement son métier, en se contentant de quelques rôles épisodiques à la télévision et au cinéma, en Europe. En ce temps-là, accoucher d'un enfant, à l'âge de 43 ans, c'était rare et mal vu. Mais la nouvelle mère n'était pas du genre à faire les choses comme les autres. Libre de ses actes et de ses opinions, souvent controversées, Ursula n'a jamais craint d'aller à contre-courant de la société bien-pensante... Ce qui comptait vraiment pour elle c'était d'être honnête, heureuse et de vivre sa vie.

Ursula Andress a côtoyé les plus grandes stars de son époque. Elle a même joué dans un film, aux côtés d'un certain Elvis Presley... On a rapporté que le "King" du Rock & Roll était tellement intimidé par cette femme "super sexy", qu'il était affolé à l'idée de devoir enlever sa chemise devant elle. Andress se souvient de leur rencontre : «Au début, je ne l'aimais pas. Vous savez, vous jugez les gens sur ce que vous avez lu à leur sujet. Mais Elvis était adorable, si gentil, aimable et affable. Nous sommes ensuite demeurés des amis. Je le voyais une ou deux fois par année. Mais c'était un être tourmenté...»

C'est fascinant de songer qu'une scène de film puisse avoir un impact aussi fort que celle qui a fait d'Ursula Andress un sexe symbole, en 1962. Mais cette Suissesse sensuelle n'était pas n'importe qui. On se souviendra encore d'elle dans cinquante ans... Inoubliable, comme le chantait Nat King Cole...

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