lundi 13 décembre 2021

JAYDE NICOLE : DE MANNEQUIN COQUIN À FEMME D'AFFAIRES AVISÉE...


Le magazine PLAYBOY n'affiche plus de femme nue dans ses pages.  En remontant aux débuts de cette publication jadis jugée scandaleuse, beaucoup de splendides représentantes de la gent féminine ont profité de leurs photographies osées, dans cette revue à sensation du magnat de la presse Hugh Hefner, pour lancer une belle carrière dans le monde de la mode.

D'autres "pin-up" de Playboy ont fait leur marque comme actrice au cinéma ou à la télévision.  À titre d'exemples, mentionnons Marilyn Monroe qui fut la première vedette à tout dévoiler dans le numéro initial de Playboy, celui de décembre 1954. Jayne Mansfield (playmate du mois en février 1955), Anna Nicole Smith (mai 1992), Victoria Silvstedt (décembre 1996) ont également atteint le statut de "star" après avoir posé nue pour Playboy.

Mais, somme toute, la grande majorité des playmates de Playboy n'ont pas connu la gloire.  Elles ont certes utilisé cette expérience spéciale comme tremplin pour se tailler une place dans le monde du show business, mais rarement dans des rôles majeurs.



La canadienne Jayde Nicole, (photos ci-dessus), playmate de l'année 2008, a maintenant 35 ans, mais elle tarde à s'affirmer à Hollywood.  Ses fans du Canada, en particulier, s'attendaient à plus de belles choses de leur compatriote native de la banlieu de Toronto.  Ils espéraient la voir suivre les traces de Pamela Anderson, (photo ci-dessous) une autre canadienne, dont la renommée a commencé quand elle est apparue en costume d'Ève dans le Playboy de février 1990.


Physiquement, en dépit de leurs courbes généreuses, les deux "sexy bombs" du pays du premier ministre Justin Trudeau ne se ressemblent guère.  Anderson, une blonde aux yeux bleu, à la Brigitte Bardot; contraste avec Nicole, dont les yeux en amande sont très singuliers et qui arbore une longue chevelure de jais.  Elles ont toutefois en commun d'avoir prêté leur concours à PETA, un organisme de défense et de protection des animaux.


Outre ses titres de playmate du mois de janvier 2007 et de playmate de l'année 2008 dans PLAYBOY, le c.v. de Jayde ne montre qu'une brève apparition dans un film italien, en 2009, ainsi que des petites participations à des télé-réalités. 

En 2009, elle a bénéficié de sa liaison avec Brody Jenner (fils cadet de Bruce Jenner) pour tourner dans la saison 5 de la télé-série "The Hills".  On l'a également vu un peu en 2011 avec une autre ex-playmate Holly Madison dans "Holly's World", une émission de télé qui n'a pas du tout marché.

Après une longue éclipse, elle est réapparue le premier avril 2016 dans la saison 5 de la télé-série de son amie (une autre playmate de Payboy), Kendra Wilkinson (photo ci-dessus): "Kendra On Top".  Mais Nicole n'était qu'une invitée, contrairement à une autre amie de Wilkinson, Jessica Hall (photo ci-dessous), qui joue un rôle récurrent dans cette télé-réalité.  Et... oui, Hall s'est déjà aussi illustrée dans le magazine de Hugh Hefner !  


Ces dernières années, la carrière de Jayde Nicole s'est orientée vers les médias sociaux (deux millions d'abonnés sur Instagram).  Elle a également touché au domaine du fitness, puis elle est devenue une femme d'affaires.

Avec Jessica Hall, une autre ancienne de Playboy, elle est propriétaire d'un restaurant végan mexicain, le Sugar Taco, à Los Angeles, Californie.  Elle veut éventuellement en faire une chaîne, et ouvrir d'autres Sugar Taco un peu partout aux USA et ailleurs dans le monde...

dimanche 3 octobre 2021

BELLES À CROQUER «MADE IN JAPAN».


Le Japon manque de ressources naturelles et de matières premières.  Il doit donc s'approvisionner à l'extérieur de son territoire et compter sur des pays qui sont plus favorisés dans ce domaine.  Mais une fois dotés de ces produits de base, les Japonais savent en faire bon usage, les transformer, et fabriquer de la marchandise d'excellente qualité.  Et les spécialistes du marketing du pays du soleil levant n'ont pas leurs égaux pour vendre ensuite ces produits dans le monde entier.  Pensons seulement à leur industrie de l'automobile. 

Pour commercialiser leurs voitures, notamment par la publicité, dans de grandes foires populaires ou dans de somptueux salons d'exposition, les Japonais ont compris depuis longtemps que l'association "filles sexy & autos de luxe" est gagnante.  La meilleure façon d'attirer l'attention des clients consommateurs est de leur présenter leurs véhicules à l'aide d'aguichantes et jolies demoiselles, très légèrement vêtues.

Le seul danger, c'est que ces charmantes créatures finissent par éclipser la marchandise.  Ce qui arrive fréquemment.  C'est pourquoi, certains constructeurs d'automobiles japonais ont décidé de changer leur approche.  On voit moins de "bombes sexuelles" près de leurs modèles de voiture, dans les salles d'exposition ou dans leurs messages publicitaires.  On est plus...subtil, disons.



Si cela peut être possible, ces mannequins engagés pour faire la promotion d'une vaste gamme de produits de toutes sortes, sont encore plus sexy que les «pit girls» ou «umbrella girls» des courses de Formule 1, aujourd'hui presque complètement disparues .

Comme les geishas japonaises d'autrefois, ces filles sont généralement très jeunes (fin de l'adolescence, début vingtaine).  Elles apportent beaucoup de soins à leur apparence physique : propreté, épiderme, manucure, coiffure, maquillage, costumes, accessoires, bijoux, etc.

Si dans les sociétés, où le mouvement féministe est fort, ce genre d'exhibitionnisme est vu comme étant sexiste, il n'en va pas de même au Japon.  Au contraire, ces hôtesses super sexy ont parfois même un statut de vedette et d'idole.  Elles ont leur fans qui suivent de près leurs activités et leurs apparitions.  Très en demande, ces stars de la promotion sont très bien rémunérées.


Selon la renommée qu'elles peuvent acquérir, les hôtesses japonaises deviennent parfois des top modèles ou des actrices célèbres (comme Naoko Iijima, photo ci-dessus).  Leur physique attrayant inspire même les illustrateurs des populaires bandes dessinées nippones.

Si elles possèdent une voix pas trop vilaine, elles peuvent même aspirer à une carrière de chanteuse.  L'industrie de la musique est très stéréotypée au Japon.  On accorde autant d'importance au "contenant" (apparence très sexy avec vêtements à l'avenant) qu'au contenu.  On fabrique, avec tous les artifices nécessaires, des vedettes "pop", typiquement nationales.

À l'extrême, des hôtesses peuvent aussi devenir des stars du porno.  Dans les mises en scène de ces films "hard" on retrouvera même parfois ces nouvelles actrices dans leur costume...d'hôtesse, qui finira, on le devine, par être retroussé et enlevé...




Autre preuve du statut de vedette des hôtesses japonaises, un magazine, appelé "Gals Paradise", leur est entièrement consacré.  D'autres revues misent également sur leur popularité en publiant régulièrement leur "Top 10" des Reines des courses motorisées.  C'est ainsi, par exemple, que la belle Megu Aoyama (photo ci-dessus) a été couronnée "Reine des courses" pour la saison 2012-2013.  Disons que la grosseur de sa couronne ne rendait pas justice à son mérite et à sa beauté !


Le diaporama ci-dessous montre d'autres hôtesses ou Reines des courses japonaises (quelques Coréennes aussi).  Puisqu'elles attirent tous les regards partout où elles vont, j'ai choisi la pièce musicale "All Eyes on You" du prolifique artiste américain Meek Mill (avec la participation remarquable de Nicki Minaj et de Chris Brown) pour accompagner ce montage.




Mill (photo ci-dessus avec sa copine Nicki), a déjà revendiqué pas moins de trois titres parmi les plus grands succès au palmarès "Hot 100" du Billboard, aux États-Unis.




dimanche 23 mai 2021

JORDAN CARVER : UNE TOP MODÈLE PAS COMME LES AUTRES !

Ces dernières années, la profession de mannequin féminin a commencé à changer.  On voit un peu moins de modèles, à peine sortie de l'adolescence, affichant une silhouette super svelte, très maigres, frôlant l'anorexie...

Depuis la dernière décennie, les mouvements féministes ont dénoncé les exigences corporelles abusives et discriminatoires des riches producteurs de l'industrie de la mode, à l'endroit de ces jeunes femmes victimes d'une forme détournée d'exploitation qui les oblige à faire des sacrifices, et à observer une dure discipline, afin de respecter des standards physiques très stricts dont dépend leur emploi et leur carrière.

Peu à peu, petit à petit, les designers accordent des contrats à des mannequins "hors normes", de taille "forte", pour défiler dans leurs parades de mode.  Une mode et des vêtements qui peuvent convenir à la morphologie de beaucoup plus de femmes.  Pas seulement les grandes et minces...

La top modèle allemande Jordan Carver a pu bénéficier de cette évolution des mentalités des créateurs de mode, à ses débuts dans le métier, il y a une douzaine d'années.  Elle a ainsi pu faire son entrée et percer rapidement dans ce milieu pourtant très sélect, qui, selon les standards d'avant, lui aurait été interdit.

Après avoir quitté un emploi de gérante d'hôtel, qui ne l'intéressait plus, Carver s'était déniché une place de maquilleuse dans une agence française oeuvrant dans le domaine de la mode.  Côtoyant des mannequins à la silhouette "taillée au couteau" elle ne songeait même pas à devenir une des leurs.  Elle ne croyait pas avoir le physique de l'emploi.

Jusqu'à ce qu'un photographe, qui travaillait dans les studios de l'agence, la remarque et lui affirme qu'elle avait un excellent potentiel en tant que modèle.  

Remarquez que, lorsqu'on la regarde de dos, cette jolie femme, née Ina-Maria Schnitzer (de son vrai nom), près de Munich, le 30 janvier 1986, semble entrer dans les standards traditionnels du mannequinat : taille fine, petit fessier, longues jambes, ensemble bien proportionné.  Une physionomie semblable à tous les top modèles célèbres.

C'est lorsqu'elle se retourne que la  "différence" saute aux yeux !  Oubliez les filles maigrichonnes, au buste minuscule, qui paradent généralement sur les catwalks.  Jordan Carver arbore une poitrine énorme aux dimensions disproportionnées par rapport à ses autres mensurations (43-24-35 en pouces, ou 109-60-89 en centimètres).

Le plus drôle c'est qu'au début de son adolescence, cette fille, du genre "tomboy", faisait rire d'elle parce qu'elle avait de tout petits seins.  Selon ses propres dires, elle ressemblait à un "petit poulet"...

Cependant, vers l'âge de 14-15 ans, son buste explose !  Mais, considérant que les poitrines plantureuses et volumineuses étaient "courantes" du côté féminin de sa famille, Ina-Maria ne fut pas vraiment surprise de voir se développer autant et si "généreusement" cette partie de son corps.

Rendue à l'âge adulte, la jeune femme allemande, aujourd'hui mère d'un garçon de quatre ans, portait des brassières de grandeur "E".  Mais elle n'était pas encore satisfaite !  C'est alors qu'elle  recours à la chirurgie plastique pour se payer, entre autres interventions, une augmentation mammaire qui nécessitera ensuite des soutiens-gorge de taille HH (ou JJ, selon certaines rumeurs !).

Il va sans dire qu'avec de tels "attributs", Jordan Carver ne passe pas inaperçue !  Les hommes se retournent sur son passage, et les femmes en sont jalouses !  Cet imposant buste deviendra sa "marque de commerce" et la fera également remarquer par les agences de mannequins.  On comprend pourquoi on aura souvent recours à ses services pour des photos en bikini ou en lingerie fine.  

Surprendre, déroger aux canons de beauté habituels, plaît aux gens de l'industrie, ainsi qu'aux agences de publicité (elle est porte-parole pour certaines marques commerciales), aux magazines, et aux médias télévisuels.

Très rapidement, Jordan Carver réalise que son sex-appeal est très "vendeur".  Elle devient sa propre entreprise et apprend comment se mettre en valeur (marketing).

Elle quitte l'Allemagne pour les États-Unis (Californie) pour exploiter ce filon.  Les contrats s'accumulent : Redcom, Zoo magazine, Haute Shop LA, COBRA, ALUFEM, Slitz, Playboy, Bild magazine.

La télé la réclame aussi.  Elle fait de nombreuses apparitions au petit écran, dans des séries comme "Taff", au "WGN Morning News", à TMZ, et dans la télé-réalité "Wild Girl in High Heels Through Africa.

Le grand écran l'appelle également.  Elle tourne dans "Who killed Johnny".  Carver a d'ailleurs de nouvelles ambitions à titre d'actrice même si, présentement, c'est son "rôle" de mère qu'elle préfère et privilégie avant tout.

Elle est discrète en ce qui concerne sa vie amoureuse.  On ne lui connaît que des relations éphémères et elle refuse de révéler l'identité du père de son enfant.  Elle dément les rumeurs voulant qu'elle soit lesbienne.  Si elle n'a pas d'homme dans sa vie, du moins pour l'instant, c'est à cause de son métier, de sa réputation de sex-symbol, et parce que, selon ses dires, aucun conjoint ne supporterait de voir tous ces mille prétendants qui lui tournent sans cesse autour...

Elle connaît des hauts et des bas en début de carrière, mais cette travailleuse acharnée, au fort caractère, fait preuve de persévérance et capitalise sur une habile utilisation des réseaux sociaux.  Une stratégie qui lui rapportera gros.

Dès 2010-2011, Carver crée son propre site internet, qui sera suivi par l'élaboration de sa page Facebook (près de six millions d'abonnés maintenant), avant de se retrouver sur Instagram (deux millions de fans actuellement) et de faire de nombreuses publications sur Twitter (200 000 followers).

Ajouter à cela sa chaîne sur YouTube (JordanCarverTV) et vous comprendrez qu'on peut voir cette multi-talentueuse femme d'affaires partout, y compris dans des vidéos de yoga où on peut l'admirer en gourou du fitness et de la saine alimentation...  Deux éléments de bon ton et très à la mode chez les célébrités soucieuses de leur image de marque...

Pour augmenter son "exposition", attirer l'attention, et faire parler d'elle, Jordan Carver ne déteste pas la controverse.  Elle la recherche même.  C'est une autre façon de se démarquer et de réussir dans l'exigeant milieu du showbizz où les artistes qui échouent sont bien plus nombreux que ceux qui deviennent des stars.  Sa fortune personnelle, estimée à deux millions de dollars, prouve que son plan d'affaires est payant et couronné de succès.

Ce succès n'est pas uniquement attribuable à son physique "remarquable".  Elle le doit avant tout à sa personnalité et à ses origines.

L'arbre généalogique de Jordan Carver plonge ses racines non seulement en sol allemand mais également en territoire italien.  De ses ancêtres italiens elle pense avoir hérité son tempérament passionné et son goût pour "l'amore".

D'autre part, si elle est ponctuelle, ordonnée, et sait précisément et décidément ce qu'elle veut, elle le doit au caractère particulier de sa Bavière natale.  Jordan trouve que cette "mixité" la sert bien, tout comme la bonne génétique de ses parents.

Elle s'estime chanceuse d'avoir une bonne dose de ce sang chaud, typiquement italien, et, par ricochet, elle écorche un peu ses consoeurs allemandes qu'elle décrit comme étant froides, inexpressives, coincées, et ni belles, ni sexy !  Elle semble avoir une meilleure opinion de son pays d'adoption, les États-Unis d'Amérique...

Voici quelques "looks accrocheurs" de l'irrésistible top modèle Jordan Carver !


 

mercredi 17 mars 2021

MONICA BELLUCCI SAIT RECONNAÎTRE LA BEAUTÉ ITALIENNE PARTOUT DANS LE MONDE...


Peut-être cela vous est-il arrivé durant un repas animé entre parents et amis.  Ou durant une belle soirée avec eux, à l'extérieur, en prenant une boisson alcoolisée.

Dans une atmosphère détendue, un débat se met à échauffer les esprits lorsqu'on se met à parler de beaux hommes ou de jolies femmes.  À savoir, par exemple, dans quelles nationalités retrouve-t-on les plus charmants spécimens de la race humaine ?  Les messieurs se prononceront avec assurance et conviction au sujet de telles ou telles jolies femmes, de tel ou tel pays, ou race.

Leurs amies, elles, jalouses (surtout si les hommes ne les choisissent pas comme les plus belles des plus belles), contesteront leur goût et diront peut-être qu'ils ont des préjugés ou qu'ils tiennent des propos de machos !
 
Si on examine d'abord la question, au sujet des femmes.  Alors miroir, miroir, qui est la plus belle ?  La Suédoise ?  La Brésilienne ?  L'Américaine ?  l'Italienne ?  La Thaïlandaise ?  La Sud-Africaine ?

C'est un débat assez vain puisqu'il n'existe pas de définition universelle de la beauté.  Beaucoup de philosophes ou de savants ont tenté de le faire, sans succès.  La beauté change, selon les époques, selon les différentes cultures.  

La beauté d'un humain est dans l'oeil de celui ou celle qui le regarde.  On la ressent sans pouvoir la définir.  On la ressent par le plaisir qu'elle donne en la regardant.  On la ressent quand la personne admirée bouge ou s'anime.  Par ce qu'elle dégage.



Je serais tenté d'approuver le très «cartésien» (!) Descartes (portrait ci-dessus) le célèbre philosophe, mathématicien et physicien français, pour qui la beauté est une question de nombre.  En ce sens que : supposons que nous avons dans une pièce, un groupe de personnes assez diversifié, que nous appellerons des juges.  Devant eux on place un «échantillon» de candidats et de candidates que les juges devront évaluer selon leur beauté.
Pour Descartes, c'est simple, les candidats ou les candidates dont la beauté sera soulignée par le plus grand nombre de juges est effectivement beau ou belle.

Ce genre d'expérience ressemble un peu aux sondages que conduisent certains médias d'information ou de divertissement.  Il y a une dizaine d'années, un sondage Zoover, basé sur des avis de voyageurs, a demandé quelles étaient les femmes les plus séduisantes d'Europe.

Résultats : d'abord c'est rassurant de constater que chaque voyageur interrogé s'est prononcé en faveur des femmes de sa propre nationalité.  Mais puisqu'on leur demandait plus qu'un choix, on a pu dresser un palmarès plus objectif des femmes les plus séduisantes d'Europe.  Notez, on cherche les plus séduisantes, peut-être une nuance par rapport à «les plus sexy» ou «les plus belles»...

D'abord, au bas du classement, on voit les Anglaises, avec un peu moins de 4% des votes.  Les Grecques et les Allemandes ne font guère mieux, en frôlant la barre des 5%.  Les Françaises sont loin du top 5 en obtenant la faveur de 12% des suffrages.  Les Italiennes sont en or, sur la plus haute marche du podium avec 25%.  Suivent : les Suédoises, les Polonaises et les Espagnoles.     

Qu'est-ce qui peut expliquer cette palme décernée aux Italiennes (les femmes interrogées dans le sondage ont également choisi les Italiens comme les hommes les plus séduisants d'Europe) ?  Les «connaisseurs» et les amis que j'ai consultés à ce sujet rejoignent pas mal mon opinion personnelle.



Tout le monde n'est pas allé en Italie pour se faire sa propre idée sur le degré de séduction des femmes de là-bas.  Nos premières références tournent autour des vedettes de cinéma italiennes présentes ou passées : les Sophia Loren, Claudia Cardinale, Gina Lollobrigida (photo ci-dessus) et autres Monica Bellucci ou Caterina Murino (photo ci-dessous).  On les a vues dans des films ou on a vu leurs photos dans des magazines.

Évidemment, toutes les Italiennes ne leur ressemblent pas.  Mais, en général, on dit qu'elles sont sensuelles.  Elles aiment les hommes et elles veulent leur plaire.



Pour ce faire, elles sont volontiers sexy.  Elles soignent leur corps et elles le mettent en valeur avec de beaux vêtements (les couturiers italiens sont renommés) et des produits de beauté.  Elles se maquillent bien.  Utilisent un rouge à lèvres souvent provocant !  Se coiffent à merveille (selon un sondage que j'ai lu récemment, c'est la chevelure d'une femme qui attire d'abord le regard des hommes).  Habitant un pays de soleil, leur peau bronzée constitue également un atout de séduction.

Monica Bellucci, une des plus belles femmes du monde, même à 56 ans, abonde dans ce sens : «J'ai une famille très féminine, très italienne.  On fait toutes attention à nous, on prend soin de soi.  C'est un devoir chez nous.» 

Leur façon de bouger, ou de gesticuler lorsqu'elles parlent, est particulière, singulière, passionnée, charmante.  Monica Bellucci, qui voyage beaucoup à travers le monde, et qui parle quatre langues, affirme qu'elle peut reconnaître une Italienne partout, rien qu'en observant sa démarche...



Leur caractère latin les anime fortement et font qu'elles aiment ardemment ou qu'elles piquent souvent des colères.  Alors, dans ce cas, tous les sens de ces brunes incendiaires entrent en ébullition.  Les traits de leur visage s'enflamment.  Leurs jolies yeux lancent des éclairs.  Ce qui peut être assez effrayant.  Mais le volcan d'énergie, qu'elles déclenchent ainsi, les rend encore plus vivantes et plus belles !  

Diverses études établissent un lien entre la beauté et la confiance.  Une belle personne est plus encline à s'affirmer, à démontrer de la force de caractère, que ce soit dans la vie en société, dans leur travail, ou leur vie amoureuse.

Pour Monica Bellucci : «L'amour et la sexualité c'est une question d'énergie, pas d'âge.»  Comme la beauté d'ailleurs.  C'est un cadeau de la nature, comme la santé.  Dans sa jeunesse, elle possédait la «beauté du diable».  À l'âge mûr, elle affirme qu'avec l'expérience de la vie, elle a su devenir belle autrement.

samedi 31 octobre 2020

DES BELLES À CROQUER POUR L'HALLOWEEN !


À première vue, tout oppose Halloween et filles sexy.  On associe à cette très ancienne fête des peuples celtiques : la noirceur, la nuit, la peur, l'horreur.  Les filles sexy sont au contraire resplendissantes et attirantes.

Au fil des siècles, l'Halloween a évolué de plus en plus vers le macabre, la mort, la magie noire, les monstres.  Évidemment, ces concepts renvoient à la laideur et à l'horreur.

Puis, avec l'avènement de la révolution sexuelle et de l'hyper-sexualisation, les jeunes femmes sont devenues de plus en plus sexy.  Elles font rêver les hommes.  Alors, le 31 octobre, comment ces créatures de rêve peuvent-elles se déguiser sans sacrifier leur beauté et leur sex appeal ?



Plusieurs déguisements typiques de l'Halloween ne seront pas appropriés pour ces belles.  Par exemple, on ne les imagine pas du tout dans des costumes de fantômes ou de momies, car ces bandelettes ou ce long voile percé de seulement quelques trous pour les yeux et les bras masqueraient complètement leurs formes superbes.  Des rondeurs qu'elles veulent toujours, au contraire, montrer et mettre en valeur. 

Ce qui disqualifie d'emblée les costumes de squelettes ou de Frankenstein !  Ces cover girls ne voudront pas non plus déparer leur jolie minois en le couvrant de faux sang, de cicatrices factices ou de vilaines verrues en se glissant dans la peau de sorcières, de vampires, ou de zombies.



Au cours des dernières décennies, la forte commercialisation de la fête a entraîné beaucoup de changements dans la façon de se déguiser.  Si les enfants, qui, à cette occasion, vont de maison en maison pour récolter des bonbons, ont conservé pas mal leur "look" apeurant, il n'en va pas de même pour les adultes qui célèbrent cette grande mascarade lors de partys bien arrosés.

Dans de telles réunions festives, la mode est davantage aux déguisements sous formes de costumes faisant référence à certains corps de métiers comme : navigateurs, policiers, soldats, pilotes de course, etc.  En cela, les filles sexy copient fréquemment le style et les idées des cheerleaders de la Ligue Nationale de football des États-Unis.



On aime également s'identifier à des personnages historiques comme les Amérindiens et les pirates; ou à des super héros créés par le cinéma (wonder woman, cat woman, anges).

On empruntera aussi des motifs de "décoration" au monde des animaux (araignées, chauve-souris, oiseaux, papillons, libellules).  Ça fait plus "carnaval" que Halloween mais, enfin... ces accrocs aux traditions halloweeniennes sont plaisantes et ajoutent de la couleur à la fête.



Un thème d'halloween qui a fleuri abondamment chez les meneuses de claques des sports professionnels américains est celui de la fille-bonbon.  Mis de l'avant notamment par les pom pom girls de l'équipe de Football des Cardinals de l'Arizona (NFL - photo ci-dessus), ce thème confirme la direction commerciale prise par l'Halloween ces dernières années.

C'est la fête des bonbons et des gâteries, autant pour les enfants que pour les filles sexy...



Ce sont les immigrants irlandais fuyant la terrible famine de la période 1845-1851 qui ont introduit l'Halloween aux USA.  Les américains, très patriotiques, apprécient les costumes de la fête qui leur rappellent leurs forces armées ou leur drapeau. 

Cela est d'autant plus vrai quand leurs couleurs sont portées avec autant de grâce et de beauté par une ravissante représentante comme celle qui apparaît ci-dessus.



Il y a moyen pour les filles sexy d'être originales et d'échapper aux stéréotypes et aux clichés qui caractérisent généralement les costumes d'Halloween.  On peut respecter l'esprit de la fête tout en étant à son mieux dans un déguisement séduisant.

Un splendide et sexy accoutrement de chaperon rouge (photo sous le titre) marie à la fois le rouge sang à la peur du gros méchant loup, qui est en vedette dans ce conte pour enfants.

Sans se grimer en sorcière au visage hideux, une charmante participante aux festivités de l'Halloween pourra porter un petit chapeau (photo ci-dessus) faisant allusion à celui de ces créatures repoussantes concoctant des potions magiques, jetant de mauvais sorts et voyageant dans le ciel sur un balai.



Le mois d'octobre étant aussi celui de la célèbre Oktoberfest, originaire de Munich en Allemagne, quelle belle idée d'adopter une tenue inspirée de celle des bavarois lors de l'Halloween.  C'est ce qu'a fait avec brio cette magnifique cheerleader des Titans du Tennessee (NFL - photo ci-dessus).



Et si, à titre de fille sexy, vous êtes à court d'idées pour vous trouver un beau costume d'Halloween, eh bien, déguisez-vous en meneuse de claque ! Vous serez très populaire à votre party ! 

mercredi 19 août 2020

HÔTESSES SEXY : UNE ESPÈCE EN VOIE DE DISPARITION ?


Dans une foire commerciale, un congrès, une convention ou lors d'une exposition, vous est-il déjà arrivé de vous retrouver devant une hôtesse presque nue sollicitant votre attention pour vous vendre un produit ou un service ?  Si oui, quelle a été votre réaction ?  Vous étiez surpris ?  Très intéressé ?  Mal à l'aise ?

Selon un adage assez répandu, «le sexe est vendeur», notamment dans le domaine commercial ou en publicité.  On le constate aussi dans les médias d'information, la presse à potins ou dans l'industrie du divertissement (télévision, cinéma, arts et spectacles).  D'ailleurs, par exemple, on ne compte plus les émissions de télé précédées d'avertissements par rapport à la violence, aux scènes de nudité ou aux thèmes sensibles (pour adultes) qu'elles contiennent et qui  pourraient offenser certains téléspectateurs...  Étant donné la grande popularité de ce genre de programmes, il faut croire qu'il correspond au goût, à l'intérêt et au niveau de tolérance de l'auditoire.  Ou est-ce le reflet de nos sociétés occidentales hyper-sexualisées ?

En va t-il de même dans les kiosques commerciaux ou nos centres d'achat ?  Pour attirer de potentiels clients, les commerçants ou les organisateurs de foire sont-ils légitimés d'engager de jolies jeunes hôtesses, ou agentes de renseignements, légèrement vêtues, pour attirer l'attention et faire la promotion de leur marchandise ou de leurs services ?  Ce n'est pas un phénomène généralisé, mais on voit plus souvent ce genre de vendeuses aguichantes chez des marchands s'adressant surtout à une clientèle masculine.  Ces hôtesses au sex-appeal indéniable se retrouveront, parfois dans des poses assez suggestives, sur le capot de voitures de luxe exposées à la convoitise de potentiels acheteurs autant captivés par les courbes des bolides que par celles du ravissant mannequin qui les accompagne...


Même chose pour ce qui est de mousser les ventes de boissons alcoolisées ou énergétiques, certains articles ou spectacles de sports, ou encore des jeux électroniques, etc.  Si des belles à croquer affichent la marque de ces produits sur des bikinis, des mini-jupes, de courtes robes «tubes» ou des combinaisons moulantes très décolletées, elles peuvent posséder un argument ou un atout de vente très convaincant !

Mais depuis une dizaine d'années, cette pratique d'utiliser des «show girls» sexy dans les commerces, a semé la controverse et a été dénoncée comme étant sexiste, en particulier par les mouvements féministes ou, plus récemment, par le mouvement #MeToo.  L'hôtesse «femme objet» a de moins en moins la cote.  On en trouve plus rarement, le code vestimentaire et le code de conduite sont plus stricts, et on engage davantage d'hommes pour ce genre d'emploi.  La quasi nudité est proscrite.  Les bustiers trop échancrés -ou les «tube tops»- ne sont plus tellement acceptés.  On a tendance à allonger les robes.  Les combinaisons moulantes ou en latex ne sont plus guère tolérées.


En janvier 2018, un des bastions traditionnels des hôtesses sexy est tombé : celui des courses automobiles de formule 1.  Malgré les protestations de certains fans, d'organisateurs, de commanditaires, ou de plusieurs hôtesses elles-mêmes, on a banni des pistes et de leurs environs celles que l'on appelait : «grid girls», «pit» ou «paddock girs», «umbrella girls» ou «race queens».  Pour expliquer cette décision mettant fin à plusieurs décennies de tradition, on a mentionné le fait qu'elle ne correspondait pas à l'image de marque de l'organisation et qu'elle ne répondait pas aux normes sociales acceptables.

La société et la condition féminine évoluent, souvent par cycles.  Ce qui était acceptable jadis, ne l'est plus aujourd'hui ou le redeviendra peut-être ?  Les opinions ou les modes varient selon les points de vue ou les pays, selon que l'on est féministe, puritain ou libéral...  Selon que l'on soit spectateur, homme, femme, employeur ou employée.  Cette histoire ou cette controverse au sujet des hôtesses sexy est fascinante.  Nous y reviendrons...

mercredi 25 septembre 2019

BELLES À CROQUER AVEC LEUR CLUB DE SPORT PRÉFÉRÉ DANS LA PEAU !


Même après plus de 25 ans de popularité, la mode du tatouage continue de faire rage un peu partout sur la planète.  L'autre jour, alors que j'attendais l'ascenseur dans un grand hôtel de ma ville, j'ai sursauté quand la porte s'est ouverte sur un individu dont le visage était entièrement tatoué.  Ça peut laisser une impression effrayante...  On se demande jusqu'où cette tendance va aller.  Les gens non tatouées (je suis du nombre) commencent à se sentir...marginales.  Peu m'importe, je préfère un épiderme indemne à un corps couvert d'une confusion de dessins à l'encre qui finissent par ressembler à...de la saleté.

J'admets qu'un tatouage artistique, sobre, discret, et bien exécuté, peut être esthétique et mettre en valeur une personne déjà avantagée physiquement.  À moins que cette marque sur la peau ne transmettre un symbole ou un message carrément haineux ou de mauvais goût.  On peut se distinguer ou se singulariser d'une bonne ou...d'une mauvaise façon.  Il y en a toujours qui exagèrent.  Dans ce domaine comme dans bien d'autres, la modération est de bon aloi.

Se faire graver une substance étrangère (toxique ?) dans la peau ne m'inspire rien de bon.  Ce n'est pas naturel.  Selon des recherches menées par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de la santé (France), la Food and Drug Administration États-Unis) et soutenues par les mises en garde du Syndicat national des dermatologues-vénéréologues, les composants des encres injectées sous la peau contiennent des métaux toxiques : hydrocarbures aromatiques polycycliques, chrome, cuivre, mercure, aluminium, nickel, cobalt... Mais aussi des pigments utilisés dans la peinture automobile ou les toners d’imprimantes.

Cette grande vogue du tatouage a entraîné dans son sillage la peinture corporelle.  Par exemple, pour marquer son allégeance ou son appartenance à un groupe, un pays, ou à une équipe de sport, on va se faire peindre le corps aux couleurs de cette entité.


Le phénomène a tellement pris de l'ampleur, ces dernières années, que, dans certains cas, comme dans les stades de football collégial, aux États-Unis, les autorités ont dû adopter des règlements interdisant aux spectateurs d'exhiber leur corps recouvert entièrement ou partiellement de peinture, ou d'un maquillage élaboré.

Ces règles sont imposées autant au nom de la décence et pour prévenir des problèmes de comportement, que pour des raisons d'hygiène.  En effet, après les matchs, ces spectateurs peinturlurés vont se nettoyer dans les toilettes des stades, en salissant tout sur leur passage.  Sans compter que, plus souvent qu'autrement, ces individus sont des obèses masculins qui exposent leur grosse panse dégueulasse, montrant des dessins ou un logo d'équipe affreusement barbouillés et franchement dégoûtants !

Du reste, cette manière d'afficher sa partisanerie n'a rien de nouveau.  Déjà, dans les temps pré-historiques, les membres des tribus primitives (encore aujourd'hui chez les Papous) se peignaient le corps pour marquer leur appartenance à un clan bien identifié et pour se différencier des tribus ennemies.

On se souvient également des Amérindiens qui portaient jadis leur peinture de guerre avant d'aller se battre.  De nos jours, comme ce fut le cas lors du dernier Mundial de Football au Brésil, ce sont les partisans de sports qui manifestent leur appui à leur club favori en se peignant la peau de ses couleurs, de son logo ou du drapeau de leur pays...   

Bien sûr, le "body painting" moderne est bien plus sophistiqué, que ce soit au chapitre du design, des couleurs, des techniques et du matériel employés. 

Les modèles actuels "offrent" la beauté de leur corps à un art véritable, reconnu comme tel.  J'en ai traité abondamment sur mon site VISIONS FANTASMAGORIQUES.  Les artistes qui pratiquent cette discipline sur des toiles vivantes (!), en utilisant, entre autres, la fameuse technique du "trompe-l'oeil" peuvent créer de véritables chefs-d'oeuvre.


Mais quand le corps humain sert de canevas, ce n'est pas toujours simple.  Un des problèmes rencontrés par ces peintres spéciaux, est la transpiration de leurs modèles.  Sous l'effet de la sudation, le maquillage ou l'enduis de peinture disparaît (comme on peut le constater sur la photo ci-dessus, sous le sein droit du modèle).

Voici un montage de quelques réussites d'art corporel (pas si nombreuses) sur de jolies femmes qui ont littéralement leur équipe de sport favorite dans la peau.  Le tout agrémenté de la chanson TALKING BODY de Tove Lo.



LE TOP-10 DES CHEERLEADERS DE NOËL DANS LA NFL ! Elles sont belles à croquer les cheerleaders de la Ligue Nationale de Football (NFL).  Et e...